PARTAGES BENIS

 

PARTAGES BÉNIS

 

          Des amis de notre site nous ont transmis plusieurs messages d’hommes de Dieu. Nous partageons ces précieuses pensées avec vous aujourd’hui.

 

          Tout d’abord, un grand merci à Angelo, pour ces quelques lignes...

          « Une des meilleures façons de perdre des amis et d'être rejeté, c'est d'aller jusqu'au bout avec Dieu. Soyez sérieux à propos des choses spirituelles, abandonnez toutes vos idoles, tournez-vous vers le Seigneur de tout votre cœur et faites en sorte que Jésus possède tout votre être, tournez les yeux des choses de ce monde, et vous devenez soudain un fanatique religieux aux yeux des gens. Vous devez alors vous attendre au pire rejet que vous n’ayez jamais connu. »

David Wilkerson

 

          Nous remercions également André, pour l’envoi de ce message...

          Dans l’exercice de son ministère, Charles Spurgeon a enduré la critique et la calomnie publique, quelquefois très méchantes. Sa femme tenait un album (de coupures de journaux, de photos...) des grandes critiques durant les années 1855-1856. En 1857, il a écrit :

          « Je suis souvent tombé à genoux, avec la sueur chaude sur mon front à cause de quelque calomnie nouvelle ; en agonie de chagrin, en mon cœur presque brisé.

          Les hommes ne peuvent pas dire de moi plus de mal qu’ils n’en ont déjà dit. J’ai été calomnié de la tête au pied, et on a fait de moi une fausse image. Je ne suis plus beau, et il n’y a personne qui peut m'endommager maintenant. »

 

          Dans l'une de ses prédications, Spurgeon apporte avec force son expérience profonde vécue avec son Dieu :

          « Votre affaire unique doit être le témoignage que vous rendez à Jésus, et vous ne pouvez être arrêtés tant qu'il n'est pas achevé. Vous pouvez être calomniés, et vos actions dénaturées, être abandonnés de vos amis et trahis par ceux qui avaient votre confiance ; le plan de Dieu à votre égard n'en sera point entravé. Le Seigneur vous apparaîtra dans votre nuit de tristesse, vous disant : « Il faut encore que tu me rendes témoignage ». Ayez bon courage et réjouissez-vous dans le Seigneur. Cette promesse, si elle n'est pas pour vous maintenant, pourra l'être bientôt. Serrez-la précieusement. Souvenez vous aussi de prier pour les missionnaires et ceux qui sont persécutés afin que le Seigneur les garde jusqu'à l'achèvement de leur travail terrestre ».

Charles Spurgeon

 

          Merci enfin à Lady pour les textes de Sparks et de Tozer...

          « Quand le Seigneur fait une chose nouvelle, (et le Seigneur cherche à avoir son témoignage suprême au sujet de ce qui est tout à fait conforme à lui ; au ciel, l'homme, dans la chair, dans sa nature, n'a aucune place), une chose qui est entièrement de lui, cela implique un coût, la perte de la faveur des gens, la perte des amis; cela implique des incompréhensions, des mauvaises interprétations; cela implique, dans les critiques, dans les jugements, que l'on vous traite de personnes extrémistes, singulières et différentes de tout le monde; tout cela ! L'issue est la suivante : allez-vous être entièrement dedans avec Dieu, ou allez-vous rester dans les rangs et vous conformer ? »

Sparks

 

          « Un prédicateur se fait la réputation d'être " intrépide " parce qu’il a des messages durs, mais devant son propre petit groupe, il se montre flatteur et servile ; il n’ose pas exprimer une opinion qu'il sait être contraire à l'opinion générale du groupe de son comité qu'il fréquente. Il est parfaitement prêt à se faire des ennemis de tous ceux qui ne partagent pas les opinions de sa dénomination, mais il prend bien garde de ne pas offenser ceux qui, dans sa dénomination, pourraient lui faire du mal.

          Un homme qui continue à se soucier de l'approbation d'autres personnes, quelles qu'elles soient, demeure charnel. L'homme selon le cœur de Dieu doit être mort à l'approbation, non seulement de ses ennemis, mais aussi de ses amis. Il doit être prêt à offenser aussi bien les personnes les plus importantes que les moins importantes. Il doit être aussi prêt à reprendre son supérieur comme celui qui lui est inférieur sur l'échelle ecclésiastique.

          Nous n'irons jamais aussi loin que nous le devrions dans nos vies spirituelles, tant que nous ne serons pas assez attachés à Christ pour ne chercher d'autre approbation que son seul sourire. Cet effort continuel pour plaire aux hommes cessera dès lors que nous serons complètement perdus en lui. Le cercle de personnes dont nous cherchons l'approbation se réduira à un seul. Seulement alors, mais pas un seul instant plus tôt, connaîtrons-nous la vraie liberté. »

Tozer