VOUS AVEZ DIT « JÉSUS » ?
« ...Tu lui donneras le nom de Jésus ;
c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés. »
(Matthieu 1.21)
L’heure avait sonné, dans les cieux et pour la terre. Dieu préparait la venue de son Fils bien-aimé. Les temps étaient accomplis. Jésus allait naître d’une femme (Galates 4.4).
Enfin ! Histoire de refaire l’Histoire, côté cœur cette fois. La pierre du Sinaï était décidément trop dure. Celle de notre entendement plus dure encore. Le salut promis serait bientôt emmailloté et couché à Bethléhem. Emmanuel marcherait avec les hommes. C’était écrit.
Quelle naissance ! La plus belle, la plus pure ! Les fièvres d’une chrétienté agonisante, et les vomissures d’un paganisme infernal auraient bien le temps de salir un si bel événement !
Merveilleux nom de Jésus ! Rien ne peut effacer ce nom. Vingt siècles, faits d’obscurantisme et de lumière, de déchéance et de réveils, ne sont pas venus à bout de ce nom. Les lions de César, les croix de Néron, les bûchers de Lyon, et tous les cocktails d’atrocités ont échoué. Le nom de Jésus est au-dessus de tout nom. Bientôt, tout genou fléchira devant lui. Vienne l’antéchrist ! Son temps est compté. Il sera détruit par le souffle du Messie. Le nom de Jésus, lui, sera acclamé pour l’éternité.
Non, vraiment, rien ne peut effacer ce nom. Ni tes craintes, ni tes souffrances, ni ta maladie, ni ton angoisse, ni tes ennuis, ni tes soucis, ni le monde, ni les desseins du diable.
Tombe à genoux, et adore ton Sauveur ! Il en est digne.
Paul BALLIERE
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