LA NEUVIÈME PLAIE (suite)

 

Le rôle de la lumière dans le Réveil de l’Église

 

Chapitre 12

 

LA NEUVIÈME PLAIE

(suite)

 

Les ténèbres sont venues de Dieu

 

          Le livre de l'Exode affirme que c'est l’Éternel qui a dit : « Qu'il y ait des ténèbres sur le pays d’Égypte. » (Exode 10.21) Et il y eut des ténèbres. Dieu parle et la chose arrive. C'est pourquoi j'ai fait précédemment allusion au jugement de Dieu. Rappelez-vous les paroles d'Esaïe :

 

          « Je suis l’Éternel, et il n'y en a point d'autre. Je forme la lumière, et je crée les ténèbres. » (Esaïe 45.6-7)

 

          Quand Dieu crée les ténèbres, ce n'est pas pour bénir ! Il est lumière, et le Père des lumières. Lorsqu'il crée les ténèbres, il engendre quelque chose d'étranger à sa nature divine. C'est donc un jugement.

 

          La main du Seigneur fut sur Bar-Jésus. Il fut aveugle, et pour un temps il ne vit pas le soleil. L'obscurité et les ténèbres tombèrent sur lui (Actes 13.5-12). C'était un jugement de Dieu.

 

          Les deux anges venus à Sodome frappèrent d'aveuglement les impies qui entouraient la maison de Lot. Tous, depuis le plus petit jusqu'au plus grand, se donnèrent une peine inutile pour trouver la porte (Genèse 19.10). C'était un jugement de l’Éternel.

 

          Les Syriens descendirent à Dothan avec des chevaux, des chars et une forte troupe, ils enveloppèrent la ville pour prendre Élisée. L'homme de Dieu adressa alors cette prière à l’Éternel : « Daigne frapper d'aveuglement cette nation ! » (2 Rois 6.18) Et Dieu exerça ses jugements sur les Syriens. Il les frappa d'aveuglement, selon la parole du prophète.

 

          L'humanité mûrit pour le jugement. Elle s'enfonce dans les ténèbres. Les nuages de la colère divine s'amoncellent au-dessus de la terre. Sauvons-nous de cette génération perverse. Sortons du milieu d'elle. Séparons-nous.

 

Caractéristiques des ténèbres de la neuvième plaie

 

          La première caractéristique est l'épaisseur de ces ténèbres. « L’Éternel dit à Moïse : Étends ta main vers le ciel, et qu'il y ait des ténèbres sur le pays d’Égypte., et que l'on puisse les toucher ...et il y eut d'épaisses ténèbres. » (Exode 10.21-22) Elles étaient si épaisses qu'on pouvait les toucher. Ce qui veut dire que les Égyptiens n'étaient pas seulement dans les ténèbres, mais ils avaient un contact avec elles. Il en est ainsi de notre génération. Elle touche les ténèbres. Beaucoup de supports l'y aident : la télévision, internet, la littérature, le cinéma, le théâtre, la musique, certains loisirs, et tant d'autres choses.

          La seconde caractéristique est l'isolement et l'individualisme. Ils sont la conséquence immédiate de l'épaisseur de ces ténèbres. « On ne se voyait pas les uns les autres », dit l’Écriture (Exode 10.23). C'est le visage de notre société, marquée par l’égoïsme. Lorsque le Saint-Esprit annonce que « dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles », il en donne la raison. Voici la première : « Car les hommes seront égoïstes », ou « amoureux d'eux-mêmes » (2 Timothée 3.1-2). Seuls les aveugles spirituels ne peuvent voir la réalité en face. Nous sommes entrés dans la neuvième plaie. Les gens ne se voient plus les uns les autres. C'est le paradoxe d'une société submergée par les moyens de communication. Si on aperçoit l'autre, c'est pour le dévorer : il est un concurrent, un adversaire, une personne à battre, ou à abattre. Il est peut-être un objet de convoitise avec lequel on s'apprête à satisfaire des passions égoïstes. Ne faites-vous pas ce constat ? Ce que je dis est vrai sur le plan professionnel, sportif, social, familial. Or, le second commandement consiste précisément à aimer le prochain comme on s'aime soi-même. Dans la lumière de Dieu, on voit le prochain, et on l'aime. Dans les ténèbres, on ne voit plus les autres.

          La troisième caractéristique est l'immobilisme. La Bible déclare : « Personne ne se leva de sa place pendant trois jours. » (Exode 10.23) Chacun fut rendu à l'impuissance. Personne ne put faire quoi que ce soit pour changer la situation. Aucun mouvement, aucune solution, aucune initiative n'était possible. Ce fut le prélude angoissant de ce qui surviendrait de plus terrible encore. Mais à ce moment-là, personne ne s'en doutait. La vie familiale, même dans ce qu'elle avait de plus ordinaire, de plus légitime, était stoppée. La vie professionnelle, les échanges commerciaux, les entreprises humaines, les projets, les relations, les investissements, tout était subitement plongé dans l’immobilisme total, de par la volonté de Dieu. La main de Dieu venait d'immobiliser une machine aussi puissante que l'était l’Égypte.

 

          Amis chrétiens, regardez maintenant notre monde. Examinez bien ce qui se passe sous vos yeux. La neuvième plaie s'est abattue sur l'humanité.

 

Le lieu du soleil

 

          Durant cette période, savez-vous ce qui s'est passé pour les enfants d'Israël ?

 

          « Mais il y avait de la lumière dans les lieux où habitaient tous les enfants d'Israël. » (Exode 10.23)

 

          Le « mais » qui introduit cette phrase est très réconfortant. Le peuple élu a connu la bénédiction et la protection de l’Éternel, alors que l’Égypte., dans la même période, subissait ses jugements.

          Jusqu'à l'enlèvement, l’Église connaîtra des moments très difficiles. Mais je crois qu'elle sera au bénéfice de la protection de son Seigneur, et qu'elle sera comblée des richesses incompréhensibles de Christ.

          Deux choses ont fait la différence entre les Égyptiens et les enfants de Jacob. D'une part, un peuple portait en lui le nom et les desseins de Dieu : Israël. D'autre part, ce peuple habitait un territoire sur lequel Dieu veillait : Goshen. Israël n'a ni choisi, ni réclamé ce pays. Il lui fut échu en partage par la providence divine. Qui l'a établi là ? Pharaon ? Non, Joseph ! S'adressant à ses frères, il dit :

 

          « ...C'est pour vous sauver que Dieu m'a envoyé devant vous...Dieu m'a envoyé devant vous pour vous faire subsister dans le pays, et pour vous faire vivre par une grande délivrance...Hâtez-vous de remonter auprès de mon père, et vous lui direz : Ainsi a parlé ton fils Joseph : Dieu m'a établi seigneur de toute l’Égypte. ; descends vers moi, ne tarde pas ! Tu habiteras dans le pays de Goshen, et tu seras près de moi, toi, tes fils, et les fils de tes fils...Là je te nourrirai...ainsi tu ne périras pas, toi, ta maison, et tout ce qui est à toi. » (Genèse 45.5, 7, 9, 10, 11)

 

          Un peu plus tard, Pharaon confirma la qualité de cette contrée. Il dit à Joseph :

 

          « Ton père et tes frères sont venus auprès de toi. Le pays d’Égypte. est devant toi ; établis ton père et tes frères dans la meilleure partie du pays. Qu’ils habitent dans le pays de Goshen. » (Genèse 47.5-6)

 

          Notre divin Joseph, le Seigneur Jésus, nous a établis dans un territoire spirituel privilégié. C'est là que nous avons trouvé le salut. C'est là aussi qu'il nous a fait vivre par une grande délivrance. C'est là encore que nous demeurons près de lui. C'est là enfin que nous sommes nourris. En Christ, nous jouissons du meilleur.

 

          Ainsi, quand Dieu envoya les mouches contre l’Égypte., il distingua le pays de Goshen, ainsi qu'il le dit :

 

          «...Je vais envoyer les mouches venimeuses contre toi (Pharaon)...Mais, en ce jour-là, je distinguerai le pays de Goshen où habite mon peuple, et là il n’y aura point de mouches, afin que tu saches que moi, l’Éternel, je suis au milieu de ce pays. J'établirai une distinction entre mon peuple et ton peuple. » (Exode 8.17,18,19)

 

          Quand l’Éternel frappa les chevaux, les ânes, les chameaux, les bœufs et les brebis des Égyptiens, il distingua entre les troupeaux d'Israël, et les troupeaux des Égyptiens, et il ne périt pas une bête des troupeaux des enfants d'Israël (Exode 9.1-7).

 

          Plus tard, l’Éternel envoya des tonnerres et de la grêle, et le feu se promenait sur la terre. Le résultat fut une dévastation épouvantable dans tout le pays. Que se passa-t-il en Goshen ? Rien !

 

          « Ce fut seulement dans le pays de Goshen, où étaient les enfants d'Israël, qu'il n'y eut point de grêle. » (Exode 9.26)

 

          Je n'écris pas ces choses pour créer en vous de vaines illusions. Nous aurons des tribulations dans le monde. Jésus nous a avertis. Nous connaîtrons très certainement de grandes souffrances. Néanmoins, le Seigneur prendra soin des siens.

          Je parle ici de votre Goshen spirituel. Où sera la différence entre le monde et vous dans les heures sombres qui s'approchent ? Si vous portez en vous le nom et les desseins de Dieu, vous vivrez. Dieu n'est pas intéressé par votre carte de membre de l’Église, ni par le fait que vous vous appelez « chrétien ». Ce qui importe, au temps de la neuvième plaie, c'est de porter en vous le caractère de Dieu et de vivre dans la connaissance de ses voies. Christ vit-il sa vie en vous ? Êtes-vous participants de la nature divine ? Cherchez-vous les intérêts de Jésus ? Travaillez-vous à l'accomplissement de sa volonté ? Ce sont les questions qui doivent vous préoccuper. L'heure a sonné où les apparences et les masques ne suffiront plus, et où va s'accomplir la parole de Malachie :

 

          « Vous verrez de nouveau la différence entre le juste et le méchant, entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas. » (Malachie 3.18)

 

          Une autre question se pose maintenant. Sommes-nous restés dans notre Goshen, là où Dieu nous avait établis ? Au fait, que signifie « Goshen » ? Ce nom veut dire « terre herbeuse, terre de force, lieu du soleil ». Par la providence divine, Joseph avait installé ses frères à l'endroit où ils seraient nourris, fortifiés, et éclairés. Christ est notre nourriture, notre force, et notre lumière.

          Imaginez maintenant qu'un homme portant le nom de son peuple, Israël, ait franchi la limite du territoire de Goshen pour s'approcher des Égyptiens. A l'heure de la neuvième plaie, il aurait été plongé, lui aussi, dans les épaisses ténèbres de l’Égypte. Vous portez le nom de chrétien, vous avez été édifié dans le Christ-Jésus, demeurez-y jusqu'à la fin. Dans sa première lettre, l'apôtre Jean parle de la neuvième plaie :

 

          « Petits enfants, c 'est la dernière heure, et comme vous avez appris qu’un antéchrist vient, il y a maintenant plusieurs antéchrists : par là nous connaissons que c'est la dernière heure. » (1 Jean 2.18)

 

          Les Égyptiens n'avaient rien à faire au pays de Goshen. C'était le territoire du peuple de Dieu. Les ténèbres n'ont pas droit de cité au « lieu du soleil ». L'esprit de l’antéchrist doit sortir du milieu de l’Église. Dieu s'en charge quand les siens se tiennent devant sa face. C'est pourquoi Jean ajoute :

 

          « Ils (les antéchrists) sont sortis du milieu de nous, mais ils n’étaient pas des nôtres ; car s'ils eussent été des nôtres, ils seraient demeurés avec nous, mais cela est arrivé afin qu'il fût manifeste que tous ne sont pas des nôtres. » (1 Jean 2.19)

 

          Mais à l’inverse, Israël n'avait rien à faire au milieu des Égyptiens. Dieu lui-même avait fixé la demeure des siens. Le « lieu du soleil » ne doit pas s'enfoncer dans les ténèbres. L’Église doit rester en son « Goshen », ainsi que ne cesse de le rappeler l'apôtre Jean :

 

          « Que ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous. Si ce que vous avez entendu dès le commencement demeure en vous, vous demeurerez aussi dans le Fils et dans le Père...Pour vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin qu'on vous enseigne; mais comme son onction vous enseigne toutes choses, et qu’elle est véritable et qu'elle n'est point un mensonge, demeurez en lui selon les enseignements qu’elle vous a donnés. Et maintenant, petits enfants, demeurez en lui, afin que, lorsqu'il paraîtra, nous ayons de l'assurance, et qu’à son avènement nous ne soyons pas confus et éloignés de lui. » (1 Jean 2.24, 27, 28)

 

          Que font les chrétiens au milieu du monde ? Dieu tolérerait-il aujourd'hui un évangile de compromis ? Le Seigneur n'a-t-il pas déclaré : « Sortez du milieu d'eux, et séparez-vous ; ne touchez pas à ce qui est impur » (2 Corinthiens 6.17) ?

          Bien-aimés, réjouissez-vous ! Le peuple de Dieu vivra toujours dans la lumière, alors même que la neuvième plaie s'abat sur le monde.

 

          Au temps de Moïse, la vie dans la lumière fut le privilège de tout le peuple de Dieu. Il est écrit :

 

          « Mais il y avait de la lumière dans les lieux où habitaient tous les enfants d'Israël. » (Exode 10.23)

 

          Le plus jeune, le plus faible, le plus âgé, le plus pauvre vivaient à la lumière. Ne craignez donc pas. Si Christ est votre Goshen, vous savez où vous allez, et vous ne broncherez jamais. Paul parle de choses que l'œil n'a pas vues, que l'oreille n'a pas entendues, et qui ne sont pas montées au cœur de l'homme. Ce sont des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment. Dieu vous les a révélées par le Saint-Esprit qui sonde tout, même les profondeurs de Dieu (1 Corinthiens 2.9-10). C'est l'immense privilège de tous ceux qui habitent le « lieu du soleil ». Priez pour que Dieu vous donne encore l'esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, les yeux de votre cœur étant éclairés, pour explorer davantage les trésors de Christ.

          Le monde va bientôt toucher l'épaisseur des ténèbres, et connaître, comme jamais auparavant, les profondeurs de Satan. Nous, nous pouvons toucher la gloire de la lumière divine, et sonder les profondeurs de notre Seigneur.

          A l'heure où les hommes ne se voient plus les uns les autres, les enfants de la lumière peuvent partager une communion fraternelle intense et véritable. Dans la lumière, on se voit les uns les autres. C'est ce que déclare l'apôtre Jean :

         

          « Si nous marchons dans la lumière, comme il (Dieu) est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion... » (1 Jean 1.7)

 

          La communion dont parle Jean dans ce texte n'est pas la communion avec Dieu, mais celle que nous avons les uns avec les autres. Le mot grec « koinonia » traduit par « communion » signifie « commun à plusieurs personnes, partage, participation ». Si vous marchez dans la lumière de Dieu, ceux qui aiment les ténèbres ne tarderont pas à vous éviter. Ils se déroberont devant la lumière de Dieu en vous. Vous n'aurez pas besoin de couper les liens, car eux-mêmes le feront très vite.

 

          Les ténèbres de la haine ne devraient pas séjourner dans le « Goshen » de l'amour. Les enfants de Dieu ont choisi leur territoire. C'est pourquoi Jean écrit plus loin:

 

          « Celui qui dit qu’il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore dans les ténèbres. Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et aucune occasion de chute n’est en lui. Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres, il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux...Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères...» (1 Jean 2.9-11 ; 3.14)

 

          Je rendais visite à une femme âgée de l’Église. Dans l'entretien, elle me fit part du conflit qui l'opposait à sa fille, elle aussi membre d'une Église dans une ville voisine. Le ton était agressif, le langage grossier. Après l'avoir écoutée longuement, je l'exhortai au pardon. Elle me répondit méchamment : « Plutôt mourir que pardonner ! » Il y a des paroles que nous ne devrions jamais prononcer ! Dieu les entend. Quelque temps plus tard, cette femme tomba malade. Un dimanche matin, elle demanda la prière des anciens, accompagnée de l'onction d'huile, selon le texte de Jacques 5.14-16. Sachant qu'elle entretenait sa haine et son refus de pardon, je lui signifiai qu'elle devait d'abord mettre sa vie en ordre avec Dieu, et accepter de pardonner. Elle refusa. Nous n'avons pas prié pour elle ce matin-là. Quelques mois plus tard, elle mourut dans sa haine. Je doute fort de son salut. Jésus n'a-t-il pas dit: «Si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses » ? (Matthieu 6.15) Que devient une âme à qui Dieu ne pardonne pas les offenses ?

          Mais lorsque nous marchons dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion. Un homme, membre de notre église, souffrait d'asthme depuis trente ans. Il me demanda si je voulais prier pour sa guérison. Or, il était en conflit avec un autre frère de l’Église. Ces deux hommes étaient dans le même lieu de réunion, dans la présence de Dieu, chantant les mêmes cantiques, participant au repas du Seigneur, mais nourrissaient du ressentiment l'un pour l'autre et ne se saluaient plus. J'ai proposé un entretien avec ces deux frères. La rencontre eut lieu quelques jours plus tard. Ces deux hommes se sont expliqué avec calme, modération, et ont réglé leur différend. J'ai alors proposé que l'un prie lui-même pour la guérison de l'autre. Ce dernier fut guéri instantanément de ses crises d'asthme.

 

          Soulignons enfin que la lumière favorise le mouvement. Si, à cause des épaisses ténèbres de l’Égypte., personne ne se leva de sa place pendant trois jours, il n'en fut pas ainsi pour les enfants d'Israël. Dieu est lumière. Il est aussi en mouvement et « ses pas versent l'abondance. » (Psaume 65.12) Le peuple de la lumière, le peuple de Goshen peut donc se lever, agir, servir. N'occupons pas la terre inutilement. Servons Christ, le Seigneur.

 

          L’Église infidèle, libérale, et apostate est entrée, avec le monde, dans la neuvième plaie.

 

          Apprenons Christ. Vivons avec Christ. Vivons Christ. Proclamons Christ.

 

Paul BALLIERE

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