ACCUEIL DU MOUVEMENT DE PENTECÔTE EN FRANCE

 

ACCUEIL DU MOUVEMENT DE PENTECÔTE EN FRANCE

 

Article de Daniel MAUER

 

A propos du pentecôtisme – août 1932

          « Au-delà des choses extérieures qui rompent avec la monotonie des « usages reçus », sachons reconnaître ce qu’il y a de vrai et de légitime dans ce Mouvement. On reproche aux pentecôtistes de parler en langues et de pratiquer la guérison des malades, mais le Sauveur n’a-t-il pas promis ces dons à ceux qui croiraient en lui ? Ne faisait-il pas de la guérison des malades l’une des premières applications de son activité ? Ils sont indubitablement les agents d’un grand Réveil. »

 

Non le pentecôtisme, mais la Pentecôte – août 1932

« Le Mouvement de Pentecôte apporte à nos Églises un message biblique et puissant. Ses adversaires les plus déclarés sont obligés de confesser que, sur le terrain biblique, sa cause est inattaquable. Or à notre humble avis, un Mouvement biblique, apostolique et venant du cœur, ne doit pas être attaqué. Demandons-nous plutôt en quoi il peut servir à nos Églises. »

 

Sur le réveil de Pentecôte – septembre 1932

          « Je ne suis pas pentecôtiste. Toutefois, désireux de servir la vérité qui est immortelle, je ne puis m’empêcher de remarquer que nos frères de Pentecôte possèdent une force réelle au service d’un grand et merveilleux amour. Ma conviction est que le Réveil de Pentecôte marque bien une étape de plus, un pas en avant, un progrès sur la voie de la sainteté et de la grâce, de la paix et de la joie du cœur. Ils annoncent avec une fidélité audacieuse l’Évangile intégral, raffermissent l’Église, développent partout une plus grande vie. »

 

Descriptions des premières réunions de Pentecôte en France – 31 mai 1947

          « (…) une estrade, une table couverte de brochures, un homme qui parle : la réunion est commencée, une floraison d’ « alléluia » et d’ « amen » jetée sur une note de ferveur, reprise comme l’expression d’un remous spirituel venant des profondeurs de la foi, achève de nous convaincre que nous ne sommes pas au XX° siècle, mais qu’emportés à rebours dans le temps, nous côtoyons subitement Tryphène ou Triphose, Andronicus et Junias et que nous sommes à Lystre, à Pergame, à Antioche ou à Rome, au fond d’une ruelle nauséabonde parmi les premiers chrétiens. »

 

D.M.

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