LE MESSAGE DU ROYAUME Le semeur

 

LE MESSAGE DU ROYAUME

 

Le semeur

 

          Matthieu 13.1-9, 18-23.

 

          Jésus intitule sa première parabole « la parabole du semeur » (v.18), mais elle n’est pas une simple histoire de différence de sols et de semailles. Par l’interaction des divers éléments, Jésus montre les multiples réactions au message du royaume, c’est-à-dire, à la prédication de l’Évangile. En outre, il en donne sa propre interprétation, ce qu’il fait seulement à deux reprises. En cela, il en rend la compréhension plus aisée et fournit un modèle d’approche pour ses autres paraboles.

          Il ne trouve pas des vérités spirituelles dans les moindres détails de l’histoire, mais se contente de cerner les thèmes principaux. Les paraboles cherchent à être simples et enseignent habituellement une seule leçon principale. Suivant l’exemple de Jésus, résistons à la tentation de concocter des explications et applications trop élaborées. Les paraboles se veulent simples !

 

 

Qui est le semeur ?

 

          Cette parabole n’est pas tombée des nues. Elle appartient à un contexte. Jésus avait passé la journée à guérir les malades et enseigner le peuple, et certains se demandaient même s’il n’était pas le « Fils de David » (Matthieu 12.23). Il s’était donc identifié avec le « Fils de l’homme » (le Messie promis) et avait dit : « Quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère (Matthieu 12.50).

          « Ce même jour », il prêcha depuis une barque (13.1). Tous ses auditeurs avaient connaissance de ses actions et de ses paroles, et étaient suspendus à ses lèvres. Inévitablement, chaque parole commenterait la signification des événements de la journée. « Il leur parla en paraboles sur beaucoup de choses », commençant par celle du semeur : « Un semeur sortit pour semer » (13.3).

          La semence tomba dans quatre types de « sol ». Les oiseaux picorèrent celle qui atterrit « le long du chemin ». Des grains germèrent « dans les endroits pierreux », mais séchèrent en raison du manque de terre. D’autres tombèrent « parmi les épines » qui les étouffèrent. Enfin, la semence qui tomba « dans la bonne terre » produisit une moisson : « un grain cent, un autre soixante, un autre trente » (13.4-8). Puis Jésus ajoute un appel fervent : « Que celui qui a des oreilles pour entendre entende » (13.9).

          Qui est donc ce semeur ? Eh bien, qui avait enseigné les foules et guéri les malades ? Jésus lui-même, qui interprétait maintenant son propre ministère ! Toute la journée, il avait déclaré « la parole du royaume » de sa bouche et par ses actes (13.19, 37). Il semait la semence pour Dieu, ne la répandant pas avec parcimonie, en rangées bien rectilignes comme les semeuses actuelles, mais avec prodigalité, comme le geste large du semeur d’autrefois.

          Les disciples se demandaient peut-être pourquoi Jésus voyageait si largement dans toute la contrée, prêchant ici et là, plutôt que de se diriger vers Jérusalem afin de saisir le pouvoir dans un éclat de puissance messianique. S’impatientaient-ils face au manque relatif de succès de son ministère ? En dépit de tous les miracles et des foules, une forte opposition se manifestait. Jésus lui-même fuyait la notoriété (Matthieu 12.14, 15).

          Si ces sentiments les habitaient, et s’ils avaient « des oreilles pour entendre », Jésus allait leur inculquer une dose de réalisme sur la nature de sa mission. Son royaume venait avec des épis et non des épées, avec des pensées et des vies transformées, plutôt que des triomphes et des capitales investies.

          Le concept du « semeur » est générique. Il inclut aussi les disciples et chacun des « ouvriers avec Dieu » (1 Corinthiens 3.9). Il s’agit de l’Église dans l’exercice de son ministère public (les agents appelés par Dieu pour déclarer sa Parole), et cela comprend le témoignage de tout le corps à la vérité de Dieu.

 

 

Qu’est-ce que la semence ?

 

          Selon le récit parallèle en Luc (8.11), la semence est « la parole de Dieu », la même réalité que « la parole du royaume » en Matthieu. Elle ne se limite donc pas à une seule partie du message divin, un soi-disant message « d’évangélisation », extrait de la totalité de la Parole.

          L’une des erreurs les plus répandues aujourd’hui est cette notion selon laquelle la plupart de l’Écriture et de la prédication est réservée à l’édification de ceux qui sont déjà devenus croyants. On enferme alors « l’évangélisation » dans ce qui se passe en dehors du culte ordinaire. Elle comprend seulement un éventail limité de textes bibliques, le témoignage personnel, des activités sociales de « pré-évangélisation » et des réunions pour les « contacts ».

          Pour le Nouveau Testament, la « semence » est la plénitude du message de la Parole divine, qui se centre en entier sur Jésus-Christ, le seul Sauveur des hommes perdus. Ce n’est pas par hasard que Jésus lui-même, après sa résurrection, montra aux deux disciples sur la route d’Emmaüs « dans toutes les Écritures ce qui le concernait » (Luc 24.25-27).

          Cette semence, dit Pierre, amène les hommes à la nouvelle naissance : « Vous avez été régénérés, non par une semence corruptible, mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu. Car : Toute chair est comme l’herbe, et toute sa gloire comme la fleur de l’herbe. L’herbe sèche, et la fleur tombe ; mais la parole du Seigneur demeure éternellement. Et cette parole est celle qui vous a été annoncée par l’Évangile. » (1 Pierre 1.23-25 ; Esaïe 40.6-8). L’apôtre trace délibérément un parallèle par antithèse entre le fruit vivant et éternel de la semence-parole spirituelle et les moissons passagères des semences terrestres. Ce contraste souligne clairement le fait que la Parole de Dieu est une semence génératrice de vie. Dieu la plante au cœur même de ceux qui entendent et reçoivent le message du salut en Jésus-Christ. Il s’agit d’une semence de salut.

 

 

Que sont les sols ?

 

          Il est évident que le sol en général est le cœur humain, et chacune des catégories en représente les états différents.

 

          Le sol en général

 

          C’est le monde, la race humaine, la descendance d’Adam qui a besoin d’un Sauveur. De manière plus spécifique, le sol représente les auditeurs de l’Évangile. La semence de la Parole doit donc être répandue dans le monde entier, et nous devons chercher à obtenir l’écoute de tout homme sous les cieux afin que la Parole et l’Esprit de Dieu puissent en labourer le cœur. Le problème tient en ce que le sol n’est pas prêt d’une manière uniforme à recevoir la semence. Il y a de la bonne terre et du mauvais sol. Ce dernier se divise en trois types : le « long du chemin », les « endroits pierreux » et « parmi les épines ». La « bonne terre » est le champ du semeur. Il existe un parallèle entre les mauvais sols et les trois niveaux de fertilité de la bonne terre. Celle-ci produit « un grain cent, un autre soixante, un autre trente ».

          La distinction entre les mauvais sols et la bonne terre correspond en fin de compte à la différence entre les croyants et les incroyants, entre ceux qui sont régénérés et les autres, les élus et les réprouvés, les sauvés et les perdus. Quiconque réagit continuellement à Jésus-Christ à la manière des mauvais sols, qui ne se repent jamais et meurt en cette condition, sera éternellement perdu. A l’inverse, les auditeurs de la « bonne terre » seront sauvés.

          Restez un « mauvais sol », et vous irez en enfer pour l’éternité sous la juste condamnation du Dieu saint que vous avez rejeté. En une sombre toile de fond, se dessine l’inéluctable question de la destinée éternelle des pécheurs, mais il ne s’agit pas du sujet principal de la parabole.

          Son élan premier consiste en une description de la réaction présente des hommes à la parole du royaume de Dieu. Nous ne pouvons pas regarder à l’intérieur des cœurs pour voir s’ils sont élus ou réprouvés. Nous les voyons seulement comme des pécheurs qui réagissent positivement ou non aux revendications de Christ. De toute façon, le péché continue de s’accrocher aux élus, de sorte qu’en pratique, même les véritables croyants se comportent parfois comme les « mauvais sols ».

          Jésus applique son enseignement avec d’autant plus de précision qu’il oblige le chrétien à se sentir concerné par ses propos sur les mauvais sols. En fait, il l’interroge : « Es-tu ce que tu professes être, réellement un auditeur de la « bonne terre » ? Reçois-tu la Parole de Dieu avec allégresse ? Produis-tu du fruit, trente, soixante ou cent ? Ou bien y a-t-il des problèmes à régler ? » Il désire que ses auditeurs comprennent leur véritable position en rapport à lui et, de là, qu’ils s’avancent dans la foi et dans la croissance spirituelle, car seule la fertilité manifeste un cœur transformé et réceptif.

          Le mauvais sol répond par l’incrédulité. Si vous voyez en vous une telle attitude, alors Jésus vous appelle à la repentance et à la foi. La réponse de la bonne terre n’est que la façon dont la grâce de Dieu amène les auditeurs du mauvais sol à une nouvelle foi vivante. Jésus explique la raison de la réaction des gens et appelle quiconque l’écoute à ne pas perdre un instant pour se saisir de lui comme Sauveur.

 

          Les auditeurs des mauvais sols

 

          Jésus commence par une description des trois catégories d’auditeurs des mauvais sols.

 

          1. « Le long du chemin » (13.19). La campagne palestinienne se composait de petits champs, séparés par des chemins où le sol avait été tassé et durci comme du béton par le passage des pieds et l’action du soleil. Lors des semailles, des grains tombaient sur ce sol impénétrable, et les oiseaux s’empressaient de s’en saisir.

          Cela illustre la personne qui « écoute la parole du royaume et ne la comprend pas, le malin vient et enlève ce qui a été semé dans son cœur ». Le manque de compréhension ne vient pas du message ou du messager. D’une manière fondamentale, les auditeurs savent ce qui est dit, le sens des mots, des phrases et des concepts. Cela n’a pourtant aucun sens pour eux, ni attraction ou importance. Ils ne sont tout simplement pas intéressés. En conséquence, ils ne réagissent pas. Beaucoup, peut-être la majorité, des inconvertis sont comme cela. Des personnes très gentilles, l’église leur est cependant un exercice ennuyeux, et l’Évangile ne leur présente aucun intérêt. Leur esprit s’occupe d’autres choses, ils ont d’autres engagements. Leur écoute ne provient pas d’un zèle à apprendre ce qu’enseigne Christ ou d’un désir de changer leurs voies. Ils ne savent même pas qu’ils ont laissé Satan leur dérober la semence !

          Mais les chrétiens professants peuvent aussi adopter la même attitude, et végéter dans une torpeur spirituelle. Rien ne semble les atteindre, si ce n’est pour éteindre le peu de vie qu’ils manifestent. Cela peut provenir d’un enseignement particulier ou de certains passages de l’Écriture (dans l’Ancien testament par exemple), ou d’une accentuation passionnée pour la piété pratique. Les esprits s’égarent, et Satan dérobe la semence. Tout revient en fin de compte à la question : quand un chrétien est-il vraiment un chrétien ?

 

          2. « Les endroits pierreux » (13.5, 6, 20, 21). Jésus ne parle pas ici d’un terrain rempli de cailloux, mais d’un rocher recouvert par une mince couche de terre. La semence y pénètre, germe et grandit, mais la plante ne peut y établir de solides racines. Lorsque le soleil darde ses rayons, elle sèche et meurt.

          Il s’agit de l’auditeur qui reçoit le message « aussitôt avec joie ». Il est d’emblée tellement enthousiaste que cela semble trop beau pour être vrai. Vous vous réjouissez de ce qui paraît être une merveilleuse conversion à Christ. Mais, attendez un instant ! Voici le ridicule de ses anciens copains, et le coût d’être chrétien grimpe rapidement. Bientôt, il voit le Seigneur, la Bible et l’église comme la source de tous ses problèmes.

          « Il croit pour un temps », mais n’a jamais eu la racine de cette vie en lui. De tels hommes n’ont jamais été vraiment convaincus de leur péché. Ils n’ont pas ressenti leur besoin de Christ. Ils abandonnent leur profession de foi aussi rapidement qu’ils l’ont adoptée. Soit ils s’évaporent sans bruit, soit ils déclarent ouvertement le dégoût que leur inspirent leurs prétentions. Ils possédaient une « foi », superficielle et temporaire, dont les épreuves de la vie manifestent la nature fallacieuse.

 

          3. « Parmi les épines » (13.7, 22). Ce terrain n’a pas été débarrassé de ses ronces, de telle sorte que la bonne semence ne peut s’y établir. Elle pousse un peu, avant d’être étouffée. C’est l’homme préoccupé par « les soucis du siècle et la séduction des richesses ». Luc et Marc ajoutent un troisième élément, respectivement « les plaisirs de la vie » et « l’invasion des autres convoitises » (Luc 8.14 ; Marc 4.19).

          Ce sont là les ronces de l’âme. Elles ne laissent aucune place à Jésus pour une raison évidente. Les soucis, les richesses et les choses matérielles se centrent sur l’ego de l’homme et se rapportent à la sécurité et au confort personnels. La nature illusoire de ces choses, et le fait que Christ est la seule véritable sécurité n’entrent pas en compte. L’homme étouffé par les épines accepte d’écouter jusqu’à un certain point, mais il n’en résulte rien, car il finit toujours par se laisser rebuter. Comme le riche insensé, la logistique de sa retraite l’accapare trop pour qu’il prête attention à sa destinée éternelle.

 

          Les auditeurs de la bonne terre (13.8, 9, 23)

 

          1. La « bonne terre » ne se rend pas bonne par elle-même. Elle n’a pas toujours été bonne, mais a dû être labourée et fumée. En fait, elle a pu être autrefois aussi dure que le sol du chemin, aussi stérile que le rocher, ou envahie par les ronces. Le fermier a dû la préparer à recevoir la semence. C’est là la première œuvre du Saint-Esprit, briser la terre et l’ameublir, elle n’est plus compacte et dure comme le chemin. La charrue l’a pénétrée profondément, et le fermier l’a fertilisée ; elle ne ressemble plus aux endroits pierreux. Il l’a aussi désherbée et débarrassée de ses ronces.

          Le cœur humain que la grâce du Saint-Esprit a préparé n’est pas dur, indifférent et désintéressé face au message, ou ennuyé à l’écoute de la Parole de Dieu. Sa réponse n’est pas non plus l’impulsion d’un engouement temporaire et faux pour l’Évangile., qui dure le temps d’une humeur et se laisse bousculer par des craintes et des désirs terrestres.

          Ce cœur, comme le champ labouré et travaillé, n’est préoccupé que par une ouverture sans préjugés face aux avances de la grâce. Il a une « oreille pour entendre », et il écoute. Il ne s’agit jamais d’une capacité innée, mais d’une œuvre de la grâce souveraine de Dieu.

 

          2. La « bonne terre » reçoit la semence. Elle est « celui qui entend la parole et la comprend ». Cet homme comprend ce qu’il fait, et il exerce une foi intelligente. Il connaît les faits de l’Évangile., il les accepte au plus profond de son cœur comme étant vrais et il se confie à celui qui en est l’auteur. Il reçoit Christ comme son Seigneur et son Sauveur.

 

          3. La « bonne terre » porte du fruit. « C’est ainsi que vous serez mes disciples », dit Jésus (Jean 15.8). Ce fruit consiste en « toute sorte de bonté, de justice et de vérité...ce qui est agréable au Seigneur » (Éphésiens 5.9, 10). « Le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi la douceur, la maîtrise de soi » (Galates 5.22).

          Nous portons du fruit lorsque nous mettons la Parole en pratique, quand l’élan de notre esprit et la teneur de notre vie se conforment à l’Évangile que nous avons reçu, et lorsque nous agissons comme on nous a enseigné. La grâce dans le cœur et l’obéissance des mains sont les points de croissance du fruit spirituel.

          Puis, Jésus remarque : « Il porte du fruit, et un grain en donne cent, un autre soixante, un autre trente. » La fertilité de la bonne terre varie. Jésus passe des semailles à la moisson, du début de la foi à la fin de la vie vécue pour Christ. Il montre qu’il y a toujours une récolte, sans dire pourquoi certains croyants ont une vie plus productive que d’autres. Il ne fait pas de comparaison propres à susciter la jalousie, ni ne suggère une qualité inhérente en certains croyants.

          Il décrit plutôt, avec simplicité et précision mais sans préjugés, le fait que les chrétiens vivent diverses expériences d’efficacité dans leur vie et leur témoigne, quelles qu’en soient les raisons. Certains vivent en un temps de Réveil, d’autres peinent dans la position d’une minorité persécutée. Les circonstances et les temps varient. Oui, le chrétien peut détruire une grande part de son utilité par le péché, mais Jésus ne pense pas ici à critiquer ou à blâmer.

          Au contraire, l’encouragement et le défi résonnent dans son assurance que, quoi qu’il arrive, la vie du croyant portera du fruit. Jésus montre ce sort final de la Parole afin que nous puissions nous sonder quant à la manière dont nous la traitons aujourd’hui, avant que la vie ne se soit écoulée.

          Il le fait car, bien qu’aucun homme n’ait le pouvoir de se transformer, Dieu a le moyen de nous changer tous (tant le chemin endurci, les endroits pierreux que les buissons de ronces) en une terre réceptrice de sa Parole. Ce moyen consiste en la Parole elle-même, comme le montre précisément cette parabole. Comme toutes les révélations scripturaires de l’état pécheur de l’homme, celle-ci vise la conscience et la repentance, ouvrant ainsi l’âme à l’Évangile. Plus celle-ci s’ouvre, plus de fruit en résulte ultimement.

          Remarquez aussi la nature précise de la comparaison : un grain donne trente, soixante ou cent...quoi ? Grains! Le peu débouche sur l’abondance, à la fois intérieure, en termes de fruit de l’Esprit, et extérieure, dans des semailles en d’autres vies. Les plantes deviennent semeurs à leur tour, simplement par leur vie transformée ! Leurs semences tombent en des sols différents et, par la grâce, une autre génération de bonne terre prend corps. En temps voulu, elle aussi portera du fruit. La parole du royaume est la bonne nouvelle de vies transformées, au moyen de la foi qui sauve en Jésus-Christ, le grand semeur de la semence.

          Bien sûr, le défi consiste à faire face aux questions : « Quelle sorte d’auditeur êtes-vous ? Quelle sorte de sol êtes-vous ? » Vous savez quelle est votre véritable attitude envers la Parole et le Fils de Dieu. Quoi que voient les autres, quelle que soit l’impression que vous donniez, vous savez au-dedans de vous si vous aimez Jésus et si vous avez soif de sa grâce. Ou bien, vous savez si, comme les mauvais sols, d’autres engagements occupent votre esprit. Jésus vous appelle à la repentance, à la foi, à une vie nouvelle, à la fertilité et, à terme, à la clarté de sa gloire !

 

Gordon KEDDIE

www.batissezvotrevie.fr

 

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