LA SEPTIÈME TROMPETTE

 

 

 LA SEPTIÈME TROMPETTE

 

          « Le septième ange sonna de la trompette. Et il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient: Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ; et il régnera aux siècles des siècles. » (Apocalypse 11.15)

 

          Les faits annoncés par la septième trompette sont ceux qui constituent les débuts de la lutte suprême. Cette lutte aboutira à « l’aboutissement du mystère de Dieu ». Or, rappelez-vous, l’ange avait déclaré que la septième trompette en donnerait le signal :

          « Aux jours de la voix du septième ange, quand il sonnerait de la trompette, le mystère de Dieu s'accomplirait, comme il l'a annoncé à ses serviteurs, les prophètes. » (10.7)

 

 

La chronologie des chapitres 11 à 19 de l’Apocalypse

 

          Voici proclamé le jour où Christ reviendra ici-bas pour imposer son règne aux nations. Cette fin du chapitre 11, au défi de tout ordre chronologique, nous introduit directement dans le contexte du chapitre 19. Nous y reviendrons si Dieu le permet. Mais il est important dès maintenant de comprendre cela.

          La 7° trompette succédera de toute évidence à la sixième ; mais les chapitres 12 à 18 nous présentent une rétrospective des événements qui vont s’échelonner tout au long de la grande tribulation et qui se dérouleront tous avant la sonnerie de la septième trompette. Il s’agit :

          Dans les chapitres 12 et 13, du règne de l’Antéchrist et des signes célestes qui s’y réfèrent.

          Dans les chapitres 14 et 15, de visions célestes.

          Dans les chapitres 16 à 18, de jugements terrestres antérieurs à l’avènement de Christ.

 

          Lorsque la septième trompette sonnera, les noces de l’Agneau auront déjà eu lieu. J’aurai l’occasion de préciser tout cela ultérieurement. Mais lisons dans Apocalypse 19.7-9 :

          « Réjouissons-nous et soyons dans l'allégresse, et donnons-lui gloire; car les noces de l'Agneau sont venues, et son épouse s'est préparée, et il lui a été donné de se revêtir d'un fin lin, éclatant, pur. Car le fin lin, ce sont les œuvres justes des saints. Et l'ange me dit: Écris: Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l'Agneau! Et il me dit: Ces paroles sont les véritables paroles de Dieu. »

 

          Dès que les voix fortes auront proclamé l’intronisation du Roi des rois et du Seigneur des seigneurs, le ciel s’ouvrira devant le Christ monté sur un cheval blanc. Alors il reviendra sur la terre pour régner :

          « Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s'appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice. Ses yeux étaient comme une flamme de feu; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n'est lui-même; et il était revêtu d'un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d'un fin lin, blanc, pur. De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l'ardente colère du Dieu tout puissant. Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit: Roi des rois et Seigneur des seigneurs. » (Apocalypse 19.11-16)

 

 

La distinction entre la septième trompette et la dernière trompette

 

          Il ne faut pas confondre la septième trompette de notre texte d’aujourd’hui (Apocalypse 11.15) avec ce que l’apôtre Paul appelle « la dernière trompette », expression qui se rapporte à l’histoire de l’Église et non à celle du monde. Voici ce que Paul écrit dans 1 Corinthiens 15.51-52 :

          «  Voici, je vous dis un mystère: nous ne mourrons pas tous, mais tous nous serons changés, en un instant, en un clin d’œil, à la dernière trompette. La trompette sonnera, et les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. »

          Et dans 1 Thessaloniciens 4.16 :

          « Car le Seigneur lui-même, à un signal donné, à la voix d'un archange, et au son de la trompette de Dieu, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. »

          Cette dernière trompette sonnera en effet le signal du rassemblement de l’Église avant son enlèvement et sa réunion définitive avec Christ ; et ce sera l’apothéose de sa longue carrière.

          Mes amis, nous avons dans nos cœurs une glorieuse espérance !

 

 

La proclamation céleste

 

          « Il y eut dans le ciel de fortes voix qui disaient: Le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ; et il régnera aux siècles des siècles. »

 

            Ce n’est pas un rassemblement quelconque qu’annonce la septième trompette, mais le couronnement du Roi des rois, événement magistral !

          « Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit: Roi des rois et Seigneur des seigneurs. » (Apocalypse 19.16)

 

          C’est ici l’accomplissement de la parole prophétique du Psaume 2 (vv.6-8), où l’Éternel, le Tout-Puissant déclare :

          « C'est moi qui ai oint mon roi sur Sion, ma montagne sainte! Je publierai le décret; L'Éternel m'a dit: Tu es mon fils! Je t'ai engendré aujourd'hui. Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, les extrémités de la terre pour possession »

 

          C’est après avoir été couronné au ciel que Christ reviendra.

          Le monde s’enfonce dans l’incrédulité, dans le blasphème contre Dieu, dans les railleries et les moqueries contre les chrétiens ; mais savez-vous, qu’aujourd’hui, Dieu rit des tentatives de révoltes des peuples ? La Bible dit :

          « Celui qui siège dans les cieux rit, Le Seigneur se moque d'eux. » (Psaume 2.4)

          Demain, il les épouvantera dans sa fureur par l’arrivée du Roi, son Fils bien-aimé :

          « Puis il leur parle dans sa colère, Il les épouvante dans sa fureur », nous dit encore le Psaume 2 (v.5)

 

          La paix divine aura d’abord rempli les lieux très hauts. puisque Satan en aura été exclu. Nous lisons en Luc 19.38 l’acclamation de la foule, le jour où Jésus s’approchait de Jérusalem monté sur un ânon. Cette acclamation revêt un caractère prophétique :

          «  Ils disaient: Béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur! Paix dans le ciel, et gloire dans les lieux très hauts! »

          Vous avez bien noté : « Paix dans le ciel, et gloire dans les lieux très hauts! »

          En ce qui concerne l’exclusion de Satan des sphères célestes, il est écrit : en : « Et il y eut guerre dans le ciel. Michel et ses anges combattirent contre le dragon. Et le dragon et ses anges combattirent, mais ils ne furent pas les plus forts, et leur place ne fut plus trouvée dans le ciel. Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » (  Apocalypse 12.7-9)

          La paix s’instaurera alors sur la terre lorsque le royaume établi ici-bas manifestera d’emblée son caractère céleste et divin. Jésus-Christ y a fait allusion dans son entretien avec Pilate en précisant :

          « Mon royaume n'est pas de ce monde. » (Jean 18.36)

 

          Dans notre texte d’aujourd’hui (Apocalypse 11.15), il n’est pas écrit : « les royaumes du monde... », mais « le royaume du monde est remis à notre Seigneur et à son Christ ». Dans l’Histoire, toutes les tentatives humaines pour accaparer le pouvoir mondial ont échoué. L’Antéchrist y parviendra momentanément, mais Christ seul réunira les nations sous l’égide d’un gouvernement universel en leur assurant le bien-être et le bonheur.

 

          L’apôtre Paul évoque également le règne millénaire de Christ, lorsqu’il écrit à Timothée :

          « Je te recommande, devant Dieu qui donne la vie à toutes choses, et devant Jésus-Christ, qui fit une belle confession devant Ponce Pilate, de garder le commandement, et de vivre sans tache, sans reproche, jusqu'à l'apparition de notre Seigneur Jésus-Christ, que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le roi des rois, et le Seigneur des seigneurs ». (1 Timothée 6.13-14)

.

          La mention du royaume réservé à notre Seigneur et à son Christ souligne le caractère éternel et indissoluble de l’unité qui existe entre Dieu le Père et le Dieu le Fils, notre Seigneur Jésus-Christ.

 

          Pendant le millénium – le règne de Christ de 1 000 ans – la planète Terre sera soumise à la domination du Père et du Fils. Pour apprécier le caractère parfaitement harmonieux et pleinement légal de ce partage de l’autorité, souvenons-nous de l’intention de Satan d’octroyer au Fils la domination des royaumes de ce monde, lors de sa première venue. En effet, à l’occasion de la tentation au désert, Satan s’était engagé à donner à Christ homme, le gouvernement du monde si celui-ci acceptait de l’adorer. J

          « Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire, et lui dit: Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m'adores. » (Matthieu 4.8-9)

 

          Comme le diable n’aurait pas pour autant renoncé à son office de prince de ce monde, office qu’il remplit avec toute l’habileté que l’on sait, le régime ainsi créé se serait apparenté à une espèce de monarchie constitutionnelle où le Souverain règne tandis que le premier ministre gouverne. Comment imaginer pareille situation dans le règne planétaire de Dieu ? Ajoutons que jamais le Fils de Dieu n’aurait pu se prêter à un tel marché, puisqu’il accomplissait en toutes choses la volonté de son Père, et que la possession de son règne devait passer par l’incontournable Golgotha, par son sacrifice expiatoire.

          Au désert, le diable propose donc à Jésus un raccourci : posséder le royaume sans passer par la croix, c’est-à-dire posséder un royaume dont lui, Satan, n’aurait jamais été exclu. N’oublions pas la parole de l’apôtre Jean :

          « Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. » (1 Jean 5.19)  

          Par ailleurs, alors qu’il parle de sa mort prochaine sur la croix, Jésus proclame la victoire sur Satan:

          « L'heure est venue où le Fils de l'homme doit être glorifié. En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul; mais, s'il meurt, il porte beaucoup de fruit… Maintenant mon âme est troublée. Et que dirais-je ?... Père, délivre-moi de cette heure ?... Mais c'est pour cela que je suis venu jusqu'à cette heure. Père, glorifie ton nom! Et une voix vint du ciel: Je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore… Maintenant a lieu le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors. Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi. » (Jean 12.23-32)

 

          Il fallait la croix pour le rachat de l’humanité, pour l’établissement du règne de Dieu et de Christ dans les cœurs. Lorsqu’un homme se repent de ses péchés, place sa foi dans le sacrifice expiatoire de Christ, croit dans l’efficacité du sang de Jésus pour le purifier de tous ses péchés, et se convertit à Dieu, le diable est jeté hors de sa vie. Il n’y règne plus. Jésus a parlé de ces choses en des termes très forts. Il dit que c’est un passage « de la puissance de Satan à Dieu » (Actes 26.18).

          Mais il fallait aussi la croix pour l’établissement du règne exclusif de Dieu et de Christ sur la planète Terre ; il fallait la croix pour que Satan soit exclu de ce territoire sur lequel il a régné trop longtemps, et que la gloire de Dieu remplisse un jour la terre entière. Paul écrit :

          « Jésus a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix. » (Colossiens 2.15)

 

          Bien sûr, l’univers depuis sa création n’a pas cessé une minute d’appartenir à Dieu et à son Fils qui l’ont créé ensemble ; Dieu n’a pas cessé un seul instant de dominer sur les destinées réelles du monde, même une fois que celui-ci a passé au pouvoir momentané de Satan. Le diable ne peut faire que ce que Dieu lui permet de faire. Souvenez-vous des épreuves de Job, sous le contrôle parfait de Dieu.

          Bien sûr, Christ a détruit le pouvoir usurpateur de Satan sur la croix, comme nous venons de le dire.

          Étant ressuscité, il a affirmé aux siens que toute puissance lui avait été donnée dans les cieux et sur la terre (Matthieu 28.18).

          En y réfléchissant, nous sommes émerveillés de la prière du brigand repentant, à l’heure de la crucifixion. Quelle révélation de Christ ! Une révélation de la sainteté de Jésus, de son œuvre expiatoire, et de son règne à venir:

          « L'un des malfaiteurs crucifiés l'injuriait, disant: N'es-tu pas le Christ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous! Mais l'autre le reprenait, et disait: Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation? Pour nous, c'est justice, car nous recevons ce qu'ont mérité nos crimes; mais celui-ci n'a rien fait de mal. Et il dit à Jésus: Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. » (Luc 23.39-42)

          Ce malfaiteur a tout saisi, tout compris, tout cru. Ô la merveilleuse grâce de Dieu qui révèle Christ à des petits, des parias, des bas-tombés ! Un Christ méconnu des sages, des grands, des intelligents, des propres-justes, des religieux même !

 

          Notre texte vise la dernière phase du règne de Dieu et de Christ sur la terre : sa mise en évidence totale, couronnant le plan de Dieu pour notre monde. D’avance le ciel voit venir les temps accomplis, où la victoire du Christ aura chassé à jamais les dernières ombres de la terre et où toute chair verra la gloire de Dieu, ainsi que le dit le prophète Esaïe :  

          « Alors la gloire de l'Éternel sera révélée, et au même instant toute chair la verra; car la bouche de l'Éternel a parlé. » (40.5)

            Il avait aussi déclaré :

          « Mais les ténèbres ne régneront pas toujours sur la terre où il y a maintenant des angoisses. » (8.23)

 

          Aucune cohabitation n’était envisageable entre Christ et Satan. D’ailleurs, qui pourrait penser une chose aussi absurde ? Qui ? Les chrétiens mondains ! Ce n’est pas sans raison que Paul écrit :

          « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l'iniquité ? ou qu'y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l'infidèle ? Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l'a dit: J'habiterai et je marcherai au milieu d'eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. C'est pourquoi, sortez du milieu d'eux, et séparez-vous, dit le Seigneur; ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout puissant. Ayant donc de telles promesses, bien-aimés, purifions-nous de toute souillure de la chair et de l'esprit, en achevant notre sanctification dans la crainte de Dieu. » (2 Corinthiens 6.14-7.1)

 

          Dieu a payé le prix fort pour que Satan soit exclu de la vie de ses créatures, et de la planète Terre.

          Avons-nous permis au Saint-Esprit de nous révéler la nature divine, parfaitement sainte du Père et du Fils ? Avons-nous pleinement saisi le but suprême de Dieu dans l’œuvre de la rédemption, pour nous-mêmes, et pour la terre ? Notre vie est-elle vraiment conforme aux desseins présents et futurs de notre Dieu ? Ce sont autant de questions auxquelles il nous faut réfléchir très attentivement et apporter une réponse digne de Dieu, non seulement par des mots, mais plus encore par une vie pleinement engagée dans la pureté et la sainteté ; une vie sans partage avec la chair, avec l’esprit du monde, et avec l’ennemi de nos âmes.

 

          Il faut donc que Satan soit exclu de son office de prince de ce monde pour que les rênes du gouvernement universel soient remises au Fils de Dieu. C’est alors que les armées célestes éclateront en louanges à travers tout l’univers, tandis que des voix puissantes proclameront dans le ciel le triomphe éternel du Fils de Dieu.

          En Apocalypse 14, Jean nous parle de ces mêmes voix fortes qui louent le Seigneur pour sa parfaite justice :

          « Et j'entendis du ciel une voix, comme un bruit de grosses eaux, comme le bruit d'un grand tonnerre; et la voix que j'entendis était comme celle de joueurs de harpes jouant de leurs harpes… Et un ange disait d'une voix forte: Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » (v.2, 7)

 

          Ces voix louent aussi le Seigneur pour la juste récompense des fidèles :

          « Et j'entendis du ciel une voix qui disait: Écris: Heureux dès à présent les morts qui meurent dans le Seigneur! Oui, dit l'Esprit, afin qu'ils se reposent de leurs travaux, car leurs œuvres les suivent. » (v.13)

 

          Ces voix célèbrent enfin le Seigneur pour la non moins juste rétributions des méchants :

          « Et un autre, un second ange suivit, en disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité! Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. »(vv.8-10)

 

          Mes bien-aimés, nous entrons dans des temps de plus en plus difficiles. Que sera cette année qui s’ouvre devant nous ? Dieu seul le sait. Mais nous pouvons repasser dans nos cœurs, et serrer dans les bras de notre foi, cette promesse de Jésus : « Voici, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde ». Cette promesse est certaine et digne d’être reçue.

          Très bonne et belle année, malgré tout, à chacun de vous !

 

Paul BALLIERE

www.batissezvotrevie.fr

 

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