LA PLÉNITUDE SATANIQUE AVEC L’ANTICHRIST LA PLÉNITUDE DIVINE AVEC CHRIST

 

LA PLÉNITUDE SATANIQUE AVEC L’ANTICHRIST

LA PLÉNITUDE DIVINE AVEC CHRIST

 

Nous cernerons aujourd’hui d’un peu plus près encore la personnalité de l’homme à venir, qui étendra son pouvoir à l’échelle planétaire, et que la Parole de Dieu nomme l’Antichrist. Bien qu’il ne soit pas nommé ainsi dans le chapitre 13 de l’Apocalypse – et d’ailleurs dans aucun autre passage de l’Apocalypse – ce chapitre 13 nous brosse le portrait de l’homme, nommé « la bête qui monte de la mer », et de ses œuvres futures.

 

 

Ce qui lui sera donné par Satan lui-même

 

Il est impressionnant, en effet, de découvrir dans les dix premiers versets du chapitre 13 de l’Apocalypse, le nombre de fois où apparaît le verbe « donner » :

v.2 : « Le dragon lui donna sa puissance, et son trône, et une grande autorité. »

v.4 : « Et ils adorèrent le dragon, parce qu'il avait donné l'autorité à la bête »

v.5 : « Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et des blasphèmes; et il lui fut donné le pouvoir d'agir pendant quarante-deux mois. »

v.7 : « Et il lui fut donné de faire la guerre aux saints, et de les vaincre. Et il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation. »

 

Nous trouvons donc six fois le verbe « donner ». 6, dans la Bible, est le chiffre de l’homme. Tout ce qui émanera de cet « super-homme » - si je peux m’exprimer ainsi - aura sa source dans la personne et la puissance du diable. Ce sera effrayant !

En résumé le dragon lui donnera sa puissance, son trône, et une grande autorité. La Parole de Dieu insiste beaucoup sur cette autorité satanique donnée à la bête. Elle s’étendra sur toute la terre. Le dragon lui donnera une bouche arrogante et blasphématoire ; les discours de ce homme sentiront l’enfer ; il sera aussi donné à la bête de faire la guerre aux saints et de triompher d’eux.

Mes amis, le diable se montre très généreux envers ceux qui sont près à l’adorer et le servir. Souvenez-vous de son audace, lors de la tentation de Jésus au désert. Il osa proposer au Seigneur un marché. Nous lisons dans l’évangile de Luc 4.5-7 :

« Le diable, l'ayant élevé, lui montra en un instant tous les royaumes de la terre, et lui dit: Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes; car elle m'a été donnée, et je la donne à qui je veux. Si donc tu te prosternes devant moi, elle sera toute à toi. »

Que répond le Fils de Dieu, le Christ ?

« Retire-toi, Satan! Car il est écrit: Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. » (Matthieu 4.10)

Ce que le Christ a refusé, l’Antichrist l’acceptera volontiers : se placer sous l’autorité du diable, le prendre pour Maître, l’adorer, et ainsi tout recevoir de lui à l’échelle du monde entier : gloire, adoration, et autorité universelle.

De tout temps, ceux qui connu une popularité, une renommée, une gloire (pour le pas dire une adoration) quasi planétaires et reçu une forme de culte (stars de cinéma, chanteurs etc.) avouent avoir fait un pacte avec Satan ou dépendre du monde occulte. Le diable n’a jamais changé les termes du contrat !

 

 

Jésus, dépendant du Père céleste

 

Il est intéressant de noter ici l’abîme entre l’Antichrist et Christ. Dans les jours de sa chair, Jésus dépendait de son Père céleste, et recevait tout de lui :

 

Sa puissance : Actes 10.38 : « Vous savez comment Dieu a oint du Saint Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l'empire du diable, car Dieu était avec lui. »

 

La vie en lui-même. Jésus dit : « comme le Père a la vie en lui-même, ainsi il a donné au Fils d'avoir la vie en lui-même. » (Jean 5.26)

 

Son pouvoir de juger : « Et il lui a donné le pouvoir de juger, parce qu'il est Fils de l'homme », ajoute Jésus (Jean 5.27)

 

Ses œuvres : « les œuvres que le Père m'a donné d'accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé. » (Jean 5.36)

 

Jésus recevait les directives de son Père céleste : « j'aime le Père, et  j'agis selon l'ordre que le Père m'a donné » (Jean 14.31)

 

Son pouvoir sur toute chair, et le don de la vie éternelle à ceux que le Père lui donne. Jésus dit dans l’une de ses prières : « Père, l'heure est venue! Glorifie ton Fils, afin que ton Fils te glorifie, selon que tu lui as donné pouvoir sur toute chair, afin qu'il accorde la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. » (Jean 17.1-2)

 

Son enseignement : « je leur ai donné les paroles que tu m'as données; et ils les ont reçues, et ils ont vraiment connu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m'as envoyé. » (Jean 17.8)

 

Sa gloire : « Je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée » (Jean 17.22)

 

A ce sujet, Jésus ajoute une parole très forte. Dans sa prière, parlant de ses disciples, il dit à Dieu : « Maintenant ils ont connu que tout ce que tu m'as donné vient de toi. » (Jean 17.7)

 

Comme le chapitre 13 de l’Apocalypse montre ce que Satan donnera à la bête pour faire de lui l’Antichrist, je considère personnellement le chapitre 17 de l’évangile de Jean comme la révélation diamétralement opposée de ce que Dieu a donné à son Fils Jésus, pour faire de lui le Christ. Nous avons souligné l’emploi du verbe « donner », six fois dans le chapitre 13 de l’Apocalypse. Répétons-le : l’Antichrist recevra tout de son maître le diable. Dans le chapitre 17 de l’évangile de Jean, nous trouvons treize fois ce verbe, pour parler de ce que Dieu le Père a donné à son Fils, faisant de lui le Christ. D’ailleurs, Jésus semble résumer toute cette réalité divine en sa personne, ainsi que le plan futur de Dieu à travers lui quand, juste avant son ascension il proclame :

« Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. » (Matthieu 28.18)

 

Les apôtres ont été saisis par cette révélation de Christ et de sa plénitude divine. Paul écrit :

« Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui » (Colossiens 1.19).

Et aussi :

«  en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité » (Colossiens 2.9)

Jean écrit dans son évangile :

« Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père » (Jean 1.14)

 

 

Dépendre de Jésus

 

Qu’en est-il de nous ? Ou... que devrait-il en être de nous ? Nous sommes les disciples de Jésus, les enfants que Dieu lui a donnés, selon ce qu’il dit lui-même : « Me voici, moi et les enfants que Dieu m’a donnés » (Hébreux 2.13). Jésus est « le premier-né entre plusieurs frères «  (Romains 8.29)

Nous devrions donc dépendre entièrement de lui et ne jamais puiser quelque force ou quelque ressource en nous-mêmes. Nous avons été rendus à la vie par grâce ; nous devons vivre de cette grâce, par cette grâce, dans cette grâce à chaque instant et pour toutes choses.

Nous faisions allusion, il y a quelques instants au chapitre 17 de l’Évangile de Jean. Le verbe « donner » s’y trouve aussi trois fois pour parler de ce que Jésus donne aux siens, l’ayant reçu lui-même du Père céleste, à savoir : les paroles de Dieu (v.8), la Parole de Dieu (v.14), et la gloire (v.22).

Jésus a dit : « sans moi vous ne pouvez rien faire. » (Jean 15.5)

Paul écrit :

« Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. » (2 Corinthiens 3.5)

Et encore :

« Par la grâce de Dieu je suis ce que je suis, et sa grâce envers moi n'a pas été vaine; loin de là, j'ai travaillé plus qu'eux tous, non pas moi toutefois, mais la grâce de Dieu qui est avec moi. » (1 Corinthiens 15.10)

Et encore :

« Car c'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. » (Philippiens 2.13)

Quant à l’auteur de l’épître aux Hébreux, il déclare :

« Que le Dieu de paix, qui a ramené d'entre les morts le grand pasteur des brebis, par le sang d'une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus, vous rende capables de toute bonne œuvre pour l'accomplissement de sa volonté, et fasse en vous ce qui lui est agréable, par Jésus Christ, auquel soit la gloire aux siècles des siècles! Amen ! » (Hébreux 13.20-21)

 

Le secret d’une vie spirituelle épanouie, triomphante, fructueuse, est de dépendre de Jésus, tout recevoir de lui, comme le sarment reçoit tout du cep. Il y a, dans une parole inspirée à l’apôtre Paul, une merveilleuse promesse, qui est en fait une merveilleuse réalité. Il écrit :

« Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité. » (Colossiens 2.10)

L’apôtre Jean écrit pour sa part :

« Et nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce pour grâce » (Jean 1.16)

 

Recevons de Christ la puissance pour le service. Il a dit :

« Vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre. » (Actes 1.8)

 

Recevons de Christ la capacité d’accomplir les œuvres de Dieu. Il a dit :

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père » (Jean 14.12)

 

Disons comme l’homme de Dieu :

« Éternel, tu nous donnes la paix; Car tout ce que nous faisons, C'est toi qui l'accomplis pour nous. » (Esaïe 26.12)

 

Recevons de lui toutes les directives de notre vie, et aussi la capacité de marcher toujours dans le plan de Dieu pour nous :

« Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » (Jean 8.12)

 

Recevons de lui l’enseignement à dispenser : Paul disait :

« J’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné » (1 Corinthiens 11.23).

Ce devrait être la préoccupation de tout serviteur de Dieu, ministre de la sainte Parole.

 

Recevons de lui le témoignage à proclamer, même dans les heures les plus sombres d’opposition et de persécution. Jésus dit à ses disciples :

« Quand on vous livrera, ne vous inquiétez ni de la manière dont vous parlerez ni de ce que vous direz: ce que vous aurez à dire vous sera donné à l'heure même; car ce n'est pas vous qui parlerez, c'est l'Esprit de votre Père qui parlera en vous. » (Matthieu 10.19-20)

Recevons de lui la louange et les actions de grâces. Dieu, notre créateur, peut nous inspirer des chants d'allégresse pendant la nuit » (Job 35.10).

 

Par son Esprit, Jésus peut nous secourir dans l’intercession. Nous pouvons recevoir de l’Esprit les prières mêmes à adresser à Dieu. La Bible dit :

« l'Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu'il nous convient de demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; et celui qui sonde les cœurs connaît quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est selon Dieu qu'il intercède en faveur des saints. » (Romains 8.26-27)

 

Mes amis, admettons humblement avec l’apôtre Paul que nous ne sommes pas «  par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. » (2 Corinthiens 3.5)

 

 

Une croissance vers la maturité

 

Nous parlions de la plénitude résidant en Christ. Ce qui est merveilleux pour chacun de nous, c’est que nous partageons cette plénitude, nous participons à cette plénitude. Le temps du verbe grec indique que cette plénitude est un état permanent. Je voudrais aborder un point important concernant notre développement spirituel. Je prendrais tout d’abord une image. Aucun bébé de quelques jours, ou de quelques semaines ne s’est réveillé un matin étant un adolescent de 15 ans, ou un adulte de 40 ans. Bébé, il a la plénitude de la vie. Il n’est pas moins vivant qu’un adulte. Mais cette vie doit se développer. Le bébé doit croître en stature, en force, en connaissance, en tout ce qui fera de lui un être mature. Il en est ainsi de la vie spirituelle. Lorsqu’une personne naît de nouveau, elle n’est pas moins vivante que le croyant converti depuis trente ans. J’ose dire qu’au niveau de la vie de Dieu, cette personne est complète en Christ.

Il y a dans la plénitude de Christ un potentiel de développement, de croissance extraordinaires. Mais j’insiste maintenant sur une réalité qui échappe à un certain nombre de croyants : la croissance spirituelle ne se fait pas par addition mais par nutrition. Je m’explique. Je reviens à l’image du bébé. Sa croissance se fera par l’absorption régulière de nourriture solide, l’exercice physique, l’acquisition de toutes sortes de connaissances. Il en est ainsi dans la vie spirituelle. La croissance n’est pas un don de Dieu, un cadeau qui ferait que, subitement, nous serions des adultes en Christ. Dieu n’ajoute pas la croissance à la nouvelle naissance. La croissance se fait par nutrition. Elle ne dépend pas de la responsabilité de Dieu, mais de la nôtre. Elle ne dépend pas de la volonté de Dieu, mais de la nôtre. A nous de nous nourrir de la plénitude de Christ. Qu’aurions-nous besoin de plus ? L’Écriture insiste beaucoup sur le partage de la plénitude de Christ par nutrition. Écoutons l’apôtre Pierre :

« Désirez, comme des enfants nouveau-nés, le lait spirituel et pur, afin que par lui vous croissiez pour le salut, si vous avez goûté que le Seigneur est bon. » (1 Pierre 2.2-3)

Écoutons également l’apôtre Paul :

« Il [Christ] a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs, pour le perfectionnement des saints en vue de l’œuvre du ministère et de l'édification du corps de Christ, jusqu'à ce que nous soyons tous parvenus à l'unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu, à l'état d'homme fait, à la mesure de la stature parfaite de Christ, afin que nous ne soyons plus des enfants, flottants et emportés à tout vent de doctrine, par la tromperie des hommes, par leur ruse dans les moyens de séduction, mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. C'est de lui, et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps [l’Église], bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s'édifie lui-même dans la charité. » (Éphésiens 4.11-16)

Par ailleurs, livrons-nous à de saints exercices. Paul recommandait à Timothée :

« Exerce-toi à la piété; car l'exercice corporel est utile à peu de chose, tandis que la piété est utile à tout, ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir. » (1 Timothée 4.8)

Acquérons de la connaissance spirituelle et de la sagesse. Jésus dit :

« Recevez mes instructions » ou encore « apprenez de moi » (Matthieu 11.29).

 

 

Discerner les dangers et les séductions spirituelles

 

Plus que jamais, les croyants ont à faire face à certains dangers et sont confrontés à des séductions dans le domaine de l’enseignement spirituel. Les questions fondamentales que l’on doit se poser au sujet de tout enseignement religieux sont celles-ci :

Quelle est la place accordée à Jésus-Christ, à sa personne et à son œuvre ?    Christ est-il dépouillé de sa plénitude ?

Sa divinité ou son humanité sont-elles niées ?

Le chrétien doit-il avoir une « nouvelle expérience » pour compléter son expérience avec Christ ? Si la réponse à cette question est oui, cet enseignement est erroné et dangereux.

Paul le savait. Il écrit :

« C'est lui [Christ] que nous annonçons, exhortant tout homme, et instruisant tout homme en toute sagesse, afin de présenter à Dieu tout homme, devenu parfait en Christ. » (Colossiens 1.28)

Et nous pourrions citer ici bien d’autres paroles des apôtres de Jésus-Christ.

 

Frères et sœurs, deux mondes, deux royaumes s’affrontent. Ce fut toujours le cas sur la terre, mais le phénomène va bientôt atteindre un point culminant.

Nous savons, d’une part, que le monde entier est sous la puissance du malin. Les hommes marchent dans le péché. Ils sont sous l’influence du prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui agit dans les fils de la rébellion, ainsi que l’écrit Paul aux Éphésiens. Le diable a obscurci leur intelligence, souillé leurs pensées et endurci leur cœur. Ils sont livrés aux pires abominations.

Et il y a d’autre part, le royaume de Dieu, les fils et les filles de ce royaume, les disciples de Christ. Ceux-là vivent de la vie de Jésus. Ils reçoivent constamment de sa plénitude, par une communion étroite avec lui. Ils ont en eux les sentiments de Jésus, sa pensée. Ils marchent comme Jésus a marché lui-même. Ce n’est plus eux qui vivent, mais Christ qui vit en eux. Ils parlent comme lui, ils ont le langage du ciel. Ils désirent ce que lui désire. Leur volonté est tout entière soumise à la sienne.

En résumé, il y aura l’Antichrist, un véritable produit de l’enfer, et le monde qui courra après lui et l’adorera. Et il y a dès maintenant le Christ, venu de Dieu, Dieu lui-même, et l’Église qui marche à sa suite, l’adore et le sert. Nous sommes de ceux-là. Jésus nous a fait une merveilleuse promesse :

« Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père » (Matthieu 13.43).

 

Paul BALLIERE

www.batissezvotrevie.fr

 

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