L’ULTIMATUM DE DIEU AVANT LES JUGEMENTS

       

 L’ULTIMATUM DE DIEU AVANT LES JUGEMENTS

 

Une vision magnifique est rapportée au chapitre 14 de l’Apocalypse : l’Agneau se tenant sur la montagne de Sion, et avec lui 144 000 personnes, qui avaient son nom et le nom de son Père écrits sur leurs fronts, et qui chantaient un cantique nouveau.

Mais la scène change rapidement. L’apôtre Jean voit passer, dans le ciel, trois anges se succédant. Voici ce qu’il est dit concernant le premier ange :  

« Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. » (Apocalypse 14.6-7)

 

 

« Un autre ange »

 

« Je vis un autre ange », écrit l’apôtre Jean. Nous pouvons être impressionnés de voir tout au long de l’Apocalypse une intense activité angélique. Ils sont dans le ciel, adorant Dieu et l’Agneau ; ils exercent les jugements de Dieu sur la terre ; ils combattent contre le dragon et ses anges.

Certes, nous ne sommes pas invités à rendre un culte aux anges. Jamais la Parole de Dieu ne nous autorise à les adorer, ni à les prier. Mais nous pouvons bénir Dieu pour une glorieuse réalité, révélée dans l’épître aux Hébreux. A propos des anges, il est écrit : « Ne sont-ils pas tous des esprits au service de Dieu, envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut ? » (1.14)

En nous bornant à un rapide survol du Nouveau Testament, nous avons la confirmation de ce verset.

Tout d’abord dans le temps de la naissance de Jésus :

Un ange apparaît au sacrificateur Zacharie dans le temple, pour lui dire que sa prière a été exaucée, et qu’il sera le père de Jean-Baptiste. L’ange Gabriel apparaît à Marie pour lui annoncer la conception surnaturelle, divine, de Jésus en son sein. Un ange informe Joseph de cette nouvelle. Un ange demande à Joseph de fuir en Égypte avec Marie et l’enfant Jésus pour échapper à la fureur meurtrière du roi Hérode. Plus tard, après la mort d’Hérode, un ange du Seigneur demande à Joseph de retourner dans le pays d’Israël.

Que dire de l’intervention des anges dans le ministère de Jésus ? Même si l’Écriture reste silencieuse à ce sujet, il est incontestable que Jésus-Homme a bénéficié du ministère des anges. Il a déclaré à Nathanaël : « En vérité, en vérité, vous verrez désormais le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre sur le Fils de l'homme. » (Jean 1.51) Après les 40 jours de jeûne au désert, et après avoir été tenté à plusieurs reprises par Satan, Jésus a bénéficié du ministère des anges. Il est écrit : « Alors le diable le laissa. Et voici, des anges vinrent auprès de Jésus, et le servaient. » (Matthieu 4.11) Lors de son terrible combat dans la prière à Gethsémané, « un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier. » (Luc 22.43) Et nous pourrions encore parler de l’apparition des anges dans le temps de la résurrection de Jésus, roulant la pierre du sépulcre, proclamant aux femmes venues là, qu’il était ressuscité.

Comment ne pas mentionner le secours précieux des anges dans l’histoire de la première Église ? Au moment de l’ascension de Christ, des anges annoncent aux disciples qu’il reviendra de la même manière qu’ils l’ont vu s’en aller au ciel. Plus tard, un ange vient ouvrir pendant la nuit les portes de la prison où les apôtres y avaient été jetés. Un ange demande à l’évangéliste Philippe d’aller sur le chemin qui descend de Jérusalem à Gaza (Actes 8.26). Nous savons qu’il y rencontrera le ministre éthiopien et que ce dernier se convertira au Seigneur. Un ange apparaît au centenier Corneille pour lui demander de faire venir l’apôtre Pierre dans sa maison.  Plus tard encore, un ange délivre Pierre de la prison. Un ange frappe le roi Hérode qui meurt, rongé des vers. Nous nous souvenons aussi du naufrage de l’apôtre Paul alors qu’il navigue en direction de l’Italie. Un ange vient le réconforter : « Paul, ne crains point ; il faut que tu comparaisses devant César, et voici, Dieu t'a donné tous ceux qui naviguent avec toi. » (Actes 27.24)

Ce rapide survol de la Parole de Dieu n’a pas la prétention d’être complet.

Je le répète, nous ne sommes pas appelés à rendre un culte aux anges. Mais il y a là un enseignement de l’Écriture destiné à fortifier notre foi. Toute cette activité des anges, au service de Dieu, montre que Dieu a le contrôle de tout, qu’il tient tout en main. Alors que l’apôtre Jean reçoit la révélation des événements terrifiants des temps de la fin, il assiste constamment aux interventions des anges. Ce sont eux les agents des jugements divins.

Mes amis, nous devons faire confiance à Dieu dans les temps les plus terribles. Apprenons à nous appuyer sur lui, à dépendre de lui. Il tient le monde dans ses mains. Il veille à l’accomplissement de sa Parole et à la réalisation de tous ses desseins. Le monde avance à grands pas vers un chaos effrayant, et jusqu’au retour de Jésus-Christ qui enlèvera son Église de cette terre de misère, les enfants de Dieu devront traverser, au sein de ce monde, ce que Jésus a appelé « le commencement des douleurs ». Les temps vont être de plus en plus difficiles. Ne nous berçons pas d’illusions. Mais regardons en haut, vers notre Seigneur bien-aimé, qui saura multiplier sa grâce envers les siens, jour après jour. Certains drames échappent à notre compréhension. Nous n’avons pas les réponses à toutes les souffrances – pour ne pas dire plus – que les chrétiens endurent, et endureront dans les temps à venir. L’essentiel est de franchir la ligne d’arrivée en vainqueur et de ne flancher à aucun moment. Prions pour avoir la force d’échapper à toutes ces choses qui vont arriver. Prions pour être capables de persévérer, d’endurer jusqu’à la fin, pour être sauvés.

Sur le plan personnel, à l’heure où vous me lisez, dans votre vie, dans les jours très difficiles que vous traversez, dans le domaine de votre santé, d’une situation matérielle et financière très précaire, ou quoi que ce soit d’autre, apprenez à vous reposer sur la toute-puissance de votre Dieu, sur sa souveraineté. Dépendez de lui dans la simplicité de la foi. Dites comme l’homme de Dieu : « Mes destinées sont dans ta main ».

 

Arrêtons-nous encore sur un fait. Nous savons que Dieu a parlé de plusieurs manières. La Bible dit : « Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde. » (Hébreux 1.1-2) Nous savons aussi qu’autrefois, l’Éternel a souvent parlé par des anges. Par exemple, nous lisons dans le livre de la Genèse : « Les deux anges arrivèrent à Sodome sur le soir ; et Lot était assis à la porte de Sodome. Quand Lot les vit, il se leva pour aller au-devant d'eux, et se prosterna la face contre terre… Dès l'aube du jour, les anges insistèrent auprès de Lot, en disant : Lève-toi, prends ta femme et tes deux filles qui se trouvent ici, de peur que tu ne périsses dans la ruine de la ville. » (19.1, 15)

C’est par l’intermédiaire des anges que la loi de Dieu a été promulguée. Lors de son procès, Étienne rappelle aux Juifs : « …Vous qui avez reçu la loi d'après des commandements d'anges, et qui ne l'avez point gardée! ... » (Actes 7.53) Nous lisons aussi dans l’Épître aux Galates : « Pourquoi donc la loi ? Elle a été donnée ensuite à cause des transgressions, jusqu'à ce que vînt la postérité à qui la promesse avait été faite ; elle a été promulguée par des anges, au moyen d'un médiateur. » (3.19)

Aujourd’hui, Dieu emploie des hommes pour transmettre sa Parole.

Dans les temps à venir, lorsque l’Église aura été enlevée de la terre, les 144 000 Israélites (dont nous parlions dans nos précédents articles) proclameront le message du Tout-Puissant. Il est fort probable que les anges exerceront à nouveau leur ministère auprès du peuple juif, comme ils le firent autrefois en faveur des prophètes et des apôtres.

Ainsi, en Apocalypse 14, plusieurs anges remplissent pour Dieu une mission dans les événements décrits par ce chapitre.

 

 

« Un évangile éternel »

 

Premièrement, il n’est pas dit « l’Évangile éternel », mais « un évangile éternel ». A ce sujet, dans son commentaire sur l’Apocalypse (Bible annotée), Louis Bonnet écrit : « Ce mot… ne saurait s’entendre de l’Évangile en général, de la bonne nouvelle du salut qui doit être annoncée à tous les peuples avant que vienne la fin ». Et il cite en référence la parole de Jésus en Matthieu 24.14 : « Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » Louis Bonnet poursuit : « Encore moins l’auteur se représente-t-il l’ange tenant à la main un livre où seraient contenus les écrits du Nouveau Testament. Ce qu’il qualifie d’évangile éternel, c’est l’annonce de la fin imminente, du jugement dont l’heure est venue, de l’entier accomplissement des desseins de Dieu ». Et Louis Bonnet cite alors le verset suivant (v.7), où l’ange déclare : « Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue ».

 

Secondement : certes, c’est un évangile ; mais ce n’est pas celui que nous connaissons. Il ne semble contenir aucune promesse de grâce ; mais uniquement l’annonce du jugement. Nous pouvons être surpris de ne pas y trouver publiée la grâce du Seigneur Jésus-Christ, mort en croix pour l’expiation de nos péchés. Par cette grâce seule on peut craindre Dieu et lui rendre gloire, l’adorer en reconnaissant en lui le vrai Créateur. Cependant, il faut comprendre qu’ici ce message est surtout polémique, je veux dire qu’il s’oppose nettement à la propagande insidieuse de la « bête ».

On peut alors s’étonner du terme « évangile » appliqué à un tel message quand on se souvient qu’évangile veut dire « Bonne Nouvelle ». Loin d’être une bonne nouvelle, n’est-ce pas une terrible nouvelle ? Oui, certainement, pour les rebelles et les impénitents ! Mais une bonne nouvelle pour tous ceux qui attendent depuis si longtemps la fin du règne de Satan, et l’avènement du Fils de Dieu. Souvenons-nous de ce Paul a écrit dans son Épître aux Romains : « Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. » (8.19) Oui, nous croyons que toutes les créatures soupirent après ce grand jour, d’une manière plus ou moins claire selon leur degré de connaissance. Mais on peut dire que le monde entier et tout ce qu’il renferme, aspire à être affranchi de ce que la Parole de Dieu appelle « la servitude de la corruption » (Romains 8.21).

Cette annonce par l’ange d’un évangile éternel peut être considérée comme une bonne nouvelle « parce que, précise encore Louis Bonnet, l’heure du jugement sera pour les élus l’heure de la délivrance ». Remarquons que ce message de jugement est accompagné d’un appel suprême, adressé à tous les hommes, à « donner gloire à Dieu ».

A l’heure où les sujets de l’Antichrist lanceront leurs blasphèmes à la face du ciel et lèveront la main contre Dieu, l’ange annoncera avec puissance l’éclatante manifestation de la gloire divine sur la terre. Dans sa seconde lettre aux Thessaloniciens, Paul écrit : « Nous nous glorifions de vous dans les Églises de Dieu, à cause de votre persévérance et de votre foi au milieu de toutes vos persécutions et des tribulations que vous avez à supporter. C'est une preuve du juste jugement de Dieu, pour que vous soyez jugés dignes du royaume de Dieu, pour lequel vous souffrez. Car il est de la justice de Dieu de rendre l'affliction à ceux qui vous affligent, et de vous donner, à vous qui êtes affligés, du repos avec nous, lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec les anges de sa puissance, au milieu d'une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et ceux qui n'obéissent pas à l'Évangile de notre Seigneur Jésus. Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force, lorsqu'il viendra pour être, en ce jour-là, glorifié dans ses saints et admiré dans tous ceux qui auront cru, car notre témoignage auprès de vous a été cru. C'est pourquoi aussi nous prions continuellement pour vous, afin que notre Dieu vous juge dignes de la vocation, et qu'il accomplisse par sa puissance tous les desseins bienveillants de sa bonté, et l’œuvre de votre foi, pour que le nom de notre Seigneur Jésus soit glorifié en vous, et que vous soyez glorifiés en lui, selon la grâce de notre Dieu et du Seigneur Jésus Christ. » (1.4-12)

D’autre part, cet Évangile éternel semble être en quelque sorte un ultimatum adressé aux habitants de la terre, en un temps où l’Antichrist fera tous ses efforts pour capter leur attention à son profit exclusif. On dirait que l’Évangile est offert, in extremis, comme une brève exhortation à rendre gloire à Dieu sous la menace du jugement imminent. Rappelez-vous : « Elle [la Bête qui vient de la mer] ouvrit sa bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel… Et tous les habitants de la terre l'adoreront, ceux dont le nom n'a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l'agneau qui a été immolé… Elle [la Bête qui monte de la terre] faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie. Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait. Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués. Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. » (Apocalypse 13.6, 8, 12-17)

A grands cris, l’Antichrist aura revendiqué pour lui-même l’adoration universelle. Il aura fait croire qu’il détenait tout pouvoir, qu’il renouvellerait la face de la terre et ferait en quelque sorte jaillir des sources d’eau vive dans le désert. L’ange proclame ici que Dieu seul est adorable, et que l’heure du règlement des comptes sonne. La grâce consiste justement en ce que les hommes sont appelés à l’adoration du Dieu unique, et par là à échapper à la condamnation universelle. 

Confrontés à la parole impérative de l’ange comme les Ninivites le furent à celle de Jonas, les êtres humains auront alors l’occasion de se repentir. Mais, la grande question est : accepteront-ils de la saisir ? La parole de Dieu nous montre au contraire, qu’ils se détourneront de Dieu en endurcissant encore davantage leurs cœurs. Que dit-elle ? « Les autres hommes qui ne furent pas tués par ces fléaux ne se repentirent pas des œuvres de leurs mains, de manière à ne point adorer les démons, et les idoles d'or, d'argent, d'airain, de pierre et de bois, qui ne peuvent ni voir, ni entendre, ni marcher; et ils ne se repentirent pas de leurs meurtres, ni de leurs enchantements, ni de leur impudicité ni de leurs vols » (Apocalypse 9.20-21) ; et encore : « Et ils blasphémèrent le Dieu du ciel, à cause de leurs douleurs et de leurs ulcères, et ils ne se repentirent pas de leurs œuvres… Une grosse grêle, dont les grêlons pesaient un talent, tomba du ciel sur les hommes ; et les hommes blasphémèrent Dieu, à cause du fléau de la grêle, parce que ce fléau était très grand. » (Apocalypse 16.11, 21)

 

Troisièmement : Cet évangile est éternel, parce que le fait annoncé est irrévocable et prolongera ses conséquences dans l’éternité. L’Évangile du royaume de Dieu ne concernera plus seulement les mille ans du règne messianique sur la terre, mais au-delà, il s’assimilera à l’Évangile éternel, puisque le règne de Christ sur la nouvelle terre durera aux siècles des siècles.

La proclamation du royaume de Dieu est effectivement une bonne nouvelle, plus précisément pour ceux qui appartiennent à Christ. Cet Évangile qu’ils ont entendu, qu’ils ont reçu, dans lequel ils ont persévéré, et par lequel ils sont sauvés, est un Évangile inaltérable dont les effets demeureront pour l’éternité. Mes frères et sœurs, le monde a dès aujourd’hui besoin de connaître la justice éternelle du Tout-Puissant. Le message de Paul et Barnabas, adressé aux païens idolâtres de la ville de Lystre demeure plus que jamais d’actualité : « Vous apportant une bonne nouvelle, leur dirent-ils, nous vous exhortons à renoncer à ces choses vaines, pour vous tourner vers le Dieu vivant, qui a fait le ciel, la terre, la mer, et tout ce qui s'y trouve » (Actes 14.15) ; il en est de même du message de Paul aux intellectuels d’Athènes : « Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l'homme qu'il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts... » (Actes 17.31) Dans sa lettre aux Romains, l’apôtre parlait du « jour où, selon mon Évangile, écrivait-il, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes. » (2.16)

 

Présentement, l’Évangile demeure la Bonne Nouvelle du royaume, la Bonne Nouvelle du royaume de Dieu, la Bonne Nouvelle de Jésus, de Jésus-Christ, du Seigneur Jésus, la Bonne Nouvelle de la parole, la Bonne Nouvelle de la parole du Seigneur, la Bonne Nouvelle de la grâce de Dieu (pour reprendre les diverses expressions du Nouveau Testament qui désignent l’Évangile).

C’est la Bonne Nouvelle que l’Église devrait annoncer avec conviction, et que les martyrs d’aujourd’hui et ceux de demain proclameront avec plus de vigueur encore.

C’est pourquoi l’ange annoncera cette nouvelle avec éclat, juste avant que ne soit proclamée la condamnation de la grande Babylone et des adorateurs de la Bête.

 

Un Évangile éternel ! Que cette simple expression nous remplisse de foi, d’enthousiasme, de zèle, d’ardeur pour témoigner de Christ ! Mes amis, l’Évangile, dont on publie toujours à nouveau la déchéance, cet Évangile perce tous les mensonges. La Bible, qu’on essaie de brûler, d’interdire et surtout de noyer dans toutes sortes d’explications perverties, est toujours là, en dépit de tout. Rien ni personne ne peut empêcher Christ de rouler la pierre du tombeau vaincu ; rien ni personne ne peut entraver la course de l’Évangile à travers le monde. Prenons donc courage et proclamons le salut de Dieu ! Amen.

 

Paul BALLIERE

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