LE SAINT-ESPRIT ET L’EGLISE

 

 

LE SAINT-ESPRIT ET L’EGLISE

 

I. Le Saint-Esprit constitue l'Eglise.  

 

Non seulement l'Esprit régénère les hommes qui croient, mais il constitue avec eux le Corps de Christ : « Christ est le chef de l'Eglise qui est son corps... Nous avons tous, en effet, été baptisés dans un seul Esprit pour former un seul corps. Vous êtes le corps de Christ et vous êtes ses membres, chacun pour sa part » Eph. 5.23 ; 1 Cor. 12. 13, 27. C'est à la Pentecôte que l'Eglise fut fondée. Christ était mort « afin de réunir en un seul corps les enfants de Dieu dispersés » Jn. 11.52. Il avait par la croix réconcilié les hommes avec Dieu et les avait rapprochés les uns des autres « afin de créer en lui-même avec les deux (les Juifs et les païens) un seul homme nouveau » Eph. 2. 15-16. Puis l'Esprit descendit et baptisa en Jésus-Christ les cent-vingt de la chambre haute pour qu'ils devinssent avec lui un organisme vivant. Dès lors, il n’y a plus de croyants isolés, indépendants les uns des autres, mais des membres d'un seul corps, dont la tête est Christ. À partir de la Pentecôte, tous ceux qui se convertissent sont agrégés à ce corps… 1 Cor. 12.13. C'est le Seigneur, et non pas les hommes, qui ajoute à l'Eglise ceux qui sont sauvés, Act. 2. 47. Par contre, ceux qui sont irrégénérés… n’en sont pas membres et n’appartiennent pas à Jésus-Christ : « Si un homme ne naît d'eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu », Jn. 3.5 ; « Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas », Rom. 8.9.  

L'Eglise n'est donc pas constituée par une organisation, un gouvernement, des efforts humains… L'Eglise c'est Christ et tous les vrais croyants de la Nouvelle Alliance unis ensemble par l'Esprit d’une façon vivante et indissoluble.  

Sommes-nous sûrs d'en faire partie? Cette question est très importante, car hors de cette Eglise-là nous ne pouvons être sauvés: « Il n’y a de salut en aucun autre (que Jésus) : car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné aux hommes par lequel nous devions être sauvés », Act. 4.12. Et pourtant, il est si simple d’accepter le Sauveur et de devenir membre de son corps par la foi.  

 

 

II. Le Saint-Esprit assure l’unité de l'Eglise.  

 

Par définition, il n'y a qu’une Eglise, car il n'y a qu'un chef et qu'un corps, composé de plusieurs membres. « Il y a un seul corps et un seul Esprit…» Eph. 4.4. Dans son sein, l'unité n’est pas à créer : elle existe. « Vous tous, qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu Christ. Il n'y a plus ni Juif ni Grec, il n'y a plus ni esclave ni libre, il n’y a plus ni homme ni femme, car tous vous êtes un en Jésus-Christ », Gal. 3. 27-28. Si ce n'était pas le cas, le corps ne pourrait subsister ; car que deviendraient des membres séparés de la tête ou retranchés les uns des autres ? ils mourraient. C’est pourquoi l'apôtre exhorte les croyants à « conserver l'unité de l'Esprit par le lien de la paix », Eph. 4.3. Leur devoir est de se placer en Christ par la foi, de s'assurer qu'ils font partie de son corps et qu'aucun péché ne les sépare de Dieu ni des hommes ; alors l'unité établie par l'Esprit se manifestera aussitôt.   

N'avons-nous pas tous senti immédiatement la réalité de cette unité lorsqu'il nous est arrivé de rencontrer de vrais enfants de Dieu venus d’autres pays… ? Après quelques instants passés à prier ou à parler de notre commune foi, nous nous sentions tout à fait sur le même terrain et il nous semblait que nous nous connaissions depuis longtemps. Il y avait entre nous, qui étions étrangers quelques minutes auparavant, une communion beaucoup plus grande que nous n'en avons avec nos proches qui ne partagent pas notre espérance.   

Remarquons que dans le corps, comme on l'a dit si souvent, il n’y a pas uniformité mais unité dans la diversité. L'Esprit qui a créé le corps a aussi fait les membres différents les uns des autres, afin qu’ils se complètent et se soutiennent mutuellement, 1 Cor. 12. 12-26. Cela est vrai des individus qui sont tous doués différemment, mais c’est aussi vrai des groupements de chrétiens fidèles, qui ont souvent reçu des charismes particuliers et pourtant utiles à l'ensemble.  

L’unité de l'Esprit est, par définition également, une unité spirituelle. Elle est produite par lui dans le cœur et la conscience de ceux qui sont à Christ, et n'est pas le résultat d'une organisation ou d’un gouvernement quelconque. Le fait d'appartenir au même groupement ne l'établit pas du tout nécessairement, mais bien plutôt celui d’appartenir ensemble à Jésus-Christ, notre Sauveur et notre Dieu.  

L’Epître aux Ephésiens (4.4-6) nous apprend quelle est la base inébranlable de l'unité de l'Esprit. Cette base est constituée par sept éléments qui sont :  

 

1. un seul Dieu et Père de tous, v. 6.  

 

Nous sommes unis lorsque nous sommes en lui et qu'il est notre Père.    

 

2. un seul Seigneur, v. 5.    

 

C’est Jésus-Christ, tel qu’il est révélé par l'Ecriture. « Il est le Dieu véritable », qui s'est offert comme « victime expiatoire pour les péchés du monde entier », 1 Jn. 5.20 et 2.2. Avec qui ne croit pas en sa personne, et par exemple en son incarnation (2 Jn. 7-10), il n'y a pas de communion spirituelle possible.    

 

3. seul Esprit, v. 4.  

 

Tous ceux qui ont l'Esprit sont unis par lui. C'est en la Trinité tout entière que nous sommes rapprochés les uns des autres.    

 

4. une seule foi, v. 5.    

 

Il n’y a qu'une seule foi : celle qui, reposant sur la Bible, est inspirée par l'Esprit et a pour objet le Fils venu de la part du Père. Cette foi ne peut être contradictoire et il est tout à fait faux de dire que toutes les croyances ou toutes les religions sont bonnes. C'est pourquoi, édifions-nous nous-mêmes sur notre très sainte foi, Jude 20.      

 

5. un seul baptême, v. 5.      

 

C’est le baptême par lequel nous sommes plongés en Christ et grâce auquel il n’y a plus ni Juifs, ni Grecs, ni esclaves, ni libres, Gal. 3.27-28.     

 

6. un seul corps, v. 4.      

 

C'est l'Eglise, corps de Christ… Il n’y a d'unité que dans son sein, entre les enfants de Dieu régénérés.

 

7. une seule espérance, v. 4.      

 

C'est celle du retour de Jésus-Christ et de la consommation de notre salut. Quelle vérité est plus capable, en effet, de nous unir tous dans un même élan d'amour et de foi que la perspective du retour prochain de notre Epoux céleste ?      

Il est facile de voir à quel point ces sept éléments sont essentiels. Si l’un ou l’autre fait défaut aucune unité vraie n'est possible ; mais si des croyants sont d'accord pour les admettre, ce serait de leur part un péché que de ne pas être unis sur cette base.      

Puisque l'unité est ainsi solidement établie en Christ par l’action et la volonté de Dieu, combien nous sommes coupables de la conserver si mal. Si les enfants de Dieu pensent passer ensemble l’éternité, il serait vraiment temps qu'ils commencent à s'accorder et à s'aimer ici-bas ! Nous sommes convaincus pour notre part que le rapprochement, non pas extérieur mais profondément spirituel, qui se dessine sur la terre entière entre les vrais croyants est un incontestable signe des temps. Il semble que Dieu sépare son Eglise fidèle, en vue de l'enlèvement, par un réveil de la foi, un retour à la Bible, une sanctification plus réelle et une manifestation plus grande de l'unité de l'Esprit. Mais que nous sommes loin encore de ce qui devrait être ! Peut-être les persécutions et les difficultés seront-elles   nécessaires pour fondre ensemble nos cœurs endurcis. Examinons-nous donc pour savoir si nous avons quoi que ce soit contre un ou plusieurs frères en la foi et si nous péchons par notre attitude, nos pensées, nos sentiments, nos paroles ou nos actes contre le corps de Christ. Humilions-nous devant Dieu de toute inconséquence dans ce domaine. Il pourra alors nous bénir et se servir de nous.    

 

 

III. L'Esprit fait de l'Eglise son temple.    

Nous avons vu que chaque croyant individuel est un temple du Saint-Esprit, 1 Cor. 6. 19. Mais les rachetés ensemble sont autant de pierres vivantes qui s'édifient « pour former une maison spirituelle» 1 Pi. 2. 5. « Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire. En Lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu en Esprit », Eph. 2. 20, 22. « Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit: J’habiterai et je marcherai au milieu d'eux... » 2 Cor. 6. 16.    

Ces affirmations font comprendre les privilèges et la sainteté de l'Eglise ; mais elles nous font mesurer aussi ses devoirs envers Celui qui daigne mettre sa présence au milieu d'elle. Puissions-nous nous rappeler sans cesse que nous sommes le temple du Dieu vivant et qu'aucune jalousie, ni bassesse, ni méchanceté, ni mondanité ne doivent se glisser dans sa sainte demeure.   

 

 

IV. L'Esprit accorde à l'Eglise ses dons.    

 

Dans le corps chaque membre est placé de telle manière qu'il puisse exercer la fonction qui lui est propre. Dans le corps de Christ, l'Esprit donne dans ce but à chaque membre un don en particulier, comme il veut, 1 Cor. 12.11. C'est donc lui qui permet à l'Eglise d'exercer son activité et de servir le Dieu vivant. D'après un autre passage, Eph. 4.11, 12, les dons faits à l'Eglise sont aussi les hommes eux-mêmes que l'Esprit a qualifiés pour le ministère : « Christ… a donné les uns comme apôtres, les autres comme prophètes, les autres comme évangélistes, les autres comme pasteurs et docteurs,  pour le perfectionnement des saints en vue de l'œuvre du ministère et de l'édification du corps de Christ ».    

Au fond, dans la constitution de l'Eglise, tout vient d'En-Haut,  bien que l’homme ait sa part dans la réception de la grâce et le service de Dieu. Il en est comme d'un corps qui naît : ce n’est pas lui-même, mais son Auteur qui crée ses membres et ses organes. Or Dieu fait bien tout ce qu'’il fait. Si les milieux religieux sont souvent si pauvres en dons et en hommes qualifiés, ce n'est pas sa faute mais celle des hommes, qui empêchent l’éclosion de ces dons chez les autres, ou refusent de répondre à la vocation qui leur est personnellement adressée. Laissons l'Esprit agir librement en nous et au milieu de nous : il enrichira aussitôt l'Eglise de tous les dons qui lui sont nécessaires.    

 

 

V. L'Esprit gouverne l'Eglise.  

 

Les actes nous le montrent d’une façon particulièrement claire :    

 

1. L'Esprit appelle les serviteurs de Dieu.    

Le Saint-Esprit dit : « Mettez-moi à part Barnabas et Saul pour l'œuvre à laquelle je les ai appelés ». « Prenez donc garde à vous-mêmes », dit Paul aux anciens d’Ephèse, « et à tout le troupeau sur lequel le Saint-Esprit vous a établis évêques, pour paître l'Eglise du Seigneur qu’il s’est acquise par son propre sang » Act. 13.2 et 20. 28.  Quel changement cela produirait si tous ceux qui veulent aujourd'hui travailler étaient réellement appelés et envoyés par l'Esprit ! Car lorsque Dieu appelle, il qualifie aussi et ne se trompe pas dans le choix des hommes ni dans la répartition du travail.    

 

2. Il les guide et les soutient dans leur ministère.    

 

Non seulement l'Esprit prépare les croyants au service de Dieu en leur octroyant tous ses dons spirituels, mais il les accompagne pas à pas dans l’accomplissement de leur tâche, ainsi que nous venons de le voir en étudiant la manière dont il dirige les individus : « Barnabas et Saul envoyés par le Saint-Esprit descendirent à Séleucie… Mais Elymas cherchant à détourner de la foi le proconsul…  Paul rempli du Saint-Esprit, fixa les regards sur lui et dit. etc.,  (à la suite de cette intervention Elymas devient aveugle et le proconsul croit)… Ayant été empêchés par le Saint-Esprit d'annoncer la parole dans l'Asie… ils se disposaient à entrer en Bithynie, mais l'Esprit de Jésus ne leur permit pas... » Act. 13.4, 8-9 ; 16. 6-7.    

C'est ainsi que les premiers chrétiens font la conquête de l'Empire romain et que des fruits abondants couronnent leurs efforts. Aussi Pierre peut-il affirmer en parlant d'eux qu'ils « ont prêché l'Evangile par le Saint-Esprit envoyé du ciel  » 1 Pi. 1.12.    

Et qui pourrait dire que l'Esprit n'est pas prêt à nous guider et à nous aider aujourd'hui d'une manière analogue, selon sa volonté ? Puissions-nous ne manquer ni de foi ni de docilité !    

 

3. L'Esprit inspire les décisions de l'Eglise.    

 

Jésus-Christ avait promis à ses disciples que l'Esprit les conduirait dans toute la vérité, Jn. 16.13. Cette promesse s’accomplit d'une façon admirable à la première Conférence de Jérusalem. Une discussion s'était élevée parmi les chrétiens sur un point de la doctrine non encore tranché par l'Ecriture existante (savoir si les païens seraient sauvés par l'observation de la loi ou par la foi) ; ils se réunirent pour examiner la question et formulèrent ensuite leur décision en ces termes : « Il a paru bon au Saint-Esprit et à nous... » Act. 15.28. Certes, nous n'avons plus aujourd'hui à résoudre de tels problèmes, puisque nous sommes en possession de la révélation complète. Mais dans toutes les décisions personnelles ou communes que nous avons à prendre, et particulièrement pour le service du Seigneur, c'est la volonté de l'Esprit de nous conduire et de nous guider pareillement. N'est-ce pas ce qui manque beaucoup à notre époque où, pour la moindre question à trancher, nous discutons interminablement à coups d'arguments humains, sans oublier de nommer un comité et une sous-commission, mais en omettant trop souvent de prendre le conseil du Seigneur ?    

 

4. Le Saint-Esprit parle à l'Eglise.    

 

Sept fois dans l'Ecriture nous trouvons cette parole : « Que celui qui a des oreilles entende ce que l'Esprit dit aux Eglises » (à la fin de chacun des messages adressés par Jésus-Christ aux Eglises d'Asie, Ap. 2-3). Aujourd’hui encore, l'Esprit parle et adresse à l'Eglise de la part du Seigneur des messages d'encouragement, de reproche, d'appel à la repentance ou au travail. Il le fait en soulignant soudain et avec force un passage de l'Ecriture ou bien en saisissant un homme qui devient son porte-parole ; il parle encore par la voix grave des événements ou fait entendre dans la prière le son doux et subtil. Oui, Dieu a toujours quelque chose à nous dire. Puissions-nous avoir des oreilles pour entendre ce que l'Esprit dit aux Eglises !     

 

 

VI. L'Esprit pourvoit à l’accroissement de l'Eglise.    

 

« L'Eglise était en paix... s'édifiant et marchant dans la crainte du Seigneur, et elle s'accroissait par l'assistance du Saint-Esprit » Act. 9.31. Ceci est facile à comprendre : l'Esprit communique aux témoins de Jésus-Christ sa puissance et sa sagesse ; il convainc les hommes de péché, les régénère, fait d'eux des membres du corps, les fait grandir dans la foi et la sanctification. C'est donc bien par l'assistance de l'Esprit et non par les efforts des hommes, que s'accroît l'Eglise. Il en est de même aujourd’hui : ce ne sont pas des ouvriers plus nombreux, des ressources matérielles plus abondantes, une réorganisation administrative, des réunions plus fréquentes, des appels plus pressants qui feront à eux seuls progresser l'œuvre. C'est l'action profonde de l'Esprit de Dieu dans tous les membres du corps, soumis ensemble à sa volonté et fidèles à sa Parole. Que Dieu nous l'accorde, car cela c'est le réveil.    

 

 

VII. Christ, par le ministère de l'Esprit, est à jamais le chef de l’Eglise.    

 

En constatant que d'après l’Ecriture, l'Esprit fonde l'Eglise, en assure l'unité, fait d'elle son Temple, lui accorde ses dons, la gouverne et la fait grandir, nous serions peut-être tentés de nous demander quel est alors le rôle de Jésus-Christ.    N'oublions pas, comme nous l'avons dit plusieurs fois, que le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont un, et que, là où se trouve l’une des personnes de la Trinité, les deux autres y sont avec elle. D'autre part le rôle de l'Esprit c'est de ne pas parler de lui-même, mais de glorifier Christ, Jn. 16. 13-14. Dans le corps, loin de supplanter le Seigneur, il agit pour lui, lui gagne les âmes, les transforme à son image et communique aux membres la vie de la tête. Christ demeure le chef suprême de l'Eglise. C'est lui seul qui en est le Sauveur car il l’a aimée et s'est livré lui-même pour elle, Eph. 1. 22-23 ; 5.25. Enfin, c'est à lui qu'elle sera éternellement unie, lorsqu'il l’aura prise auprès de lui et l’aura fait asseoir avec lui sur son trône.    

On a vu dans la Genèse une très belle image du rôle de l'Esprit. Eliézer, envoyé par Abraham son maître, va dans un pays étranger chercher une femme pour Isaac, l'héritier des promesses divines. Il rencontre celle dont Dieu a préparé le cœur ; il lui parle, non de lui-même mais de l'époux qui l'attend, et lui donne des présents   magnifiques, gage de la richesse et de la félicité qui bientôt seront siennes. Puis il emmène hors de sa patrie la jeune Rebecca jusqu’au pays lointain où seront célébrées les noces, Gen. 24. Dieu de même envoie aujourd’hui son Esprit dans le monde pour chercher et préparer l'Eglise, l'Epouse de son Fils. L'Esprit gagne son cœur en lui parlant, non de lui-même, mais de l'Epoux divin : il la pare de ses   dons, gage de la gloire et du bonheur célestes. Puis lorsqu'elle est prête, il l’enlève à la rencontre du Seigneur, pour que soient célébrées les noces de l’Agneau.   

 

René PACHE         

 

Écrire commentaire

Commentaires: 1
  • #1

    Jean-Paul (dimanche, 19 mai 2024 08:27)

    "LE SAINT-ESPRIT ET L'ÉGLISE"
    ==> Excellent contenu du frère René PACHE.
    Merci pour la grande qualité de cet article et de tous les autres...

    Soyez bénis en ce dimanche de Pentecôte

    Gloire à Dieu pour sa Sagesse, sa Parole de vie et de vérité et sa merveilleuse Création.