Un secret pour garder sa jeunesse…

 

    

Un secret pour garder sa jeunesse…

 

La jeunesse n’est pas une période de la vie. C’est un état d’esprit, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.

Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.

Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. 

Vous êtes aussi jeune que votre espoir, aussi vieux que votre abattement.

Vous resterez jeune, tant que vous resterez réceptif à ce qui est beau, bon et grand ; réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.

Si un jour, votre cœur allait être mordu par le pessimisme ou rongé par le cynisme : puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard !

 

Général Douglas Mac Arthur (1880-1964)

 

 

Jette-toi à genoux et prie…

 

Quand tu as un problème, ne convoque pas tous tes amis, jette-toi à genoux et prie.

 

Quand tes finances baissent, ne fais pas appel aux autres, jette-toi à genoux et prie.

 

Quand ton conjoint, tes enfants, tes parents sont rebelles à l’Evangile, jette-toi à genoux et prie.

 

Quand tu ne vois pas d’âmes sauvées autour de toi, ne cherche pas de nouvelles méthodes, jette-toi à genoux et prie.

 

Quand tu es débordé par ton travail, laisse là toutes tes activités, puis jette-toi à genoux et prie.

 

Quand ton service, ton témoignage a besoin d’appui, ne cherche pas des noms influents, jette-toi à genoux et prie.

 

Quand tu as un différend avec ton frère pour les choses de cette vie, jette-toi à genoux et prie.

 

Quand les hommes souffrent et pleurent autour de toi, fais de ton mieux pour faire connaître Jésus, puis jette-toi à genoux et prie.

 

Si tu as du succès, garde la tête froide, lève les yeux en haut, loue Dieu, puis jette-toi à genoux et prie.

 

Si tu essuies des échecs, confesse-les à Dieu, puis jette-toi à genoux et prie.

 

 

Prescription pour un réveil…

 

Que ceux qui dorment s’éveillent et se réveillent,

Que les tièdes se réchauffent et brûlent,

Que les malhonnêtes confessent leur malhonnêteté,

Que les découragés reprennent courage,

Que les déprimés regardent en haut,

Que les divisés se réconcilient,

Que les médisants se taisent,

Que tous les os desséchés se remuent,

Et le réveil est là !

 

 

On n’a rien sans risque…

 

Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental.

Aller vers quelqu’un, c’est risquer de s’engager.

Exposer ses sentiments, c’est risquer d’exposer son moi profond.

Présenter ses idées, ses rêves à d’autres, c’est risquer de les perdre.

Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour.

Essayer, c’est risquer d’échouer.

Mais il faut prendre des risques, car le plus grand danger dans la vie, c’est de ne rien risquer du tout. Celui qui ne risque rien ne fait rien, n’a rien, n’est rien. Il peut éviter la souffrance et la tristesse, mais il n’apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer, ni se développer, ne peut ni aimer, ni vivre. Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté. Seuls ceux qui risquent sont libres.

 

(Auteur inconnu)

 

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