LES VOLEURS DE DIEU
Un officier communiste venait d’arrêter un pasteur. Il lui posa cette question :
- Me considérez-vous comme un monstre, ainsi que le font tous les autres ?
- Un montre ? Pas du tout ! Mais comme un malheureux qui suppose que personne ne l’aime. Or, Dieu vous aime d’une manière spéciale. C’est pour les pécheurs qu’il se fit homme. Il ne vint pas sur la terre pour des saints, mais pour des gens souillés, des voleurs.
L’officier se défendit en disant :
- Voleurs ? Je ne suis pas un voleur, je ne suis pas si méchant que cela.
- Vous l’êtes, lui dit le pasteur, car vous avez volé Dieu.
- Comment ?
- Vous lui avez volé vos péchés ; car nos péchés lui appartiennent, ainsi que la boue de nos fautes. En refusant de les lui donner, à lui, l’Agneau de Dieu, venu porter les péchés du monde, vous devenez un voleur, gardant ce qui lui revient.
Durant toute cette nuit, l’officier confessa ses péchés.
Alain PORCHEL
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VOLTAIRE FACE A LA BIBLE
« Et que servirait-il à un homme de gagner tout le monde,
s’il se détruisait ou se perdait lui-même ? »
Luc 9.25
Voltaire était certainement un écrivain doué d’une intelligence remarquable, un esprit parmi les plus brillants de son temps. Mais il était un athée notoire et s’était souvent attaqué à Dieu et à la Bible. Il avait même estimé avoir suffisamment combattu la Parole de Dieu pour l’avoir complètement démolie ! Il pensait que si d’autres coups contre ce livre s’avéraient nécessaires, son élève Jean La Harpe (1739-1803) serait bien prompt à les donner !
Pendant la Révolution, La Harpe fut emprisonné, et tous les jours la menace de mort planait sur sa tête. Pendant ces jours d’inquiétude, quelqu’un lui remit une Bible. Il la lut et se convertit. On lui épargna la guillotine pour une raison que nous ignorons, mais que Dieu connaît. Aussitôt sorti de la Bastille, il devint un ardent défenseur de la foi chrétienne, au lieu d’en être un acharné destructeur comme le désirait Voltaire.
Voltaire pensait avoir donné tant de coups à la Parole de Dieu, et avoir un disciple capable d’en donner tant d’autres, mais il n’aurait jamais imaginé que cet élève puisse un jour se convertir et devenir chrétien ! Voulant gagner les esprits les plus forts, le grand écrivain s’est perdu lui-même ! Il voulait anéantir la Parole de Dieu alors que celle-ci a traversé tous les siècles, même les plus obscurs. Souvent combattue, elle est toujours là !
Combien Voltaire a-t-il aujourd’hui de lecteurs ? Et combien la Bible en a-t-elle ? En combien de langues les œuvres de Voltaire sont-elles traduites ? Et en combien de langues la Parole de Dieu est-elle traduite ?
Mais gardons-nous de penser que la Bible est le meilleur livre de notre littérature parce que le plus lu et le plus traduit ! La Bible est infiniment plus que cela. Venant de Dieu, elle est la révélation de Dieu et reste le livre divin pour le genre humain ; elle est unique parce qu’elle seule a Dieu pour auteur. Les résultats produits par sa lecture restent profonds et durables. Lire la Bible peut transformer un cœur et une vie puisque l’acceptation du salut qu’elle proclame donne accès à la vie éternelle. La lecture des livres de Voltaire peut-elle avoir les mêmes effets ? Les œuvres de Voltaire, si brillantes soient-elles aux yeux de certains, ne sont rattachées qu’aux choses de la terre, mais Dieu nous dit : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. » (Matthieu 24.35)
Alain PORCHEL
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IL PRIT LE PRINCE AU MOT
On raconte qu’un jour, un homme fut condamné à mort. Quand il vint pour poser sa tête sur le billot, le prince, qui devait procéder à l’exécution, lui demanda s’il avait quelque chose à demander. Tout ce que le condamné demanda fut un verre d’eau. On le lui apporta, mais sa main tremblait tellement qu’il ne pouvait pas porter le verre à sa bouche.
Le prince lui dit :
- Vous aurez la vie sauve tant que vous n’aurez pas bu cette eau. »
Il prit le prince au mot et versa l’eau sur le sol. Il était impossible de la ramasser, et ainsi il eut la vie sauve.
Mon ami, vous pouvez être sauvé maintenant, en prenant Dieu au mot. L’eau de la vie est offerte à quiconque veut. Celle-là, il vous faut la prendre, la boire ; et vous vivrez.
A. THOMAS-BRES
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SAVOIR VIEILLIR
Sur la terre, où tout homme passe,
Existe pour chacun de nous,
Un art difficile entre tous,
Celui de vieillir avec grâce.
Degré par degré s’affaiblir
En sentant, dans un corps fragile,
Une âme encore jeune et virile,
Et, sans rien montrer, souffrir.
Quand on pourrait parler, se taire,
Quand on voudrait agir, s’asseoir,
Et chaque jour un peu mieux voir
Hélas, qu’on n’est plus nécessaire !
Laisser aux autres leurs fardeaux
Sans pouvoir un peu les leur prendre,
Et ne porter, sans rien attendre,
Que le poids des ans sur son dos.
Rester muet quand on s’efface,
Tranquillement croiser les bras,
Céder tour à tour, pas à pas,
Notre influence et notre place.
Et puis, quand le soleil pâlit,
Prendre les choses sans se plaindre,
Comme Pierre se laisser ceindre,
Garder la chambre ou bien le lit.
Comme un diamant précieux
Est taillé par le lapidaire,
Ainsi le Seigneur, sur la terre,
Taille nos âmes pour les cieux !
(Transmis par le pasteur Alain PORCHEL)
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MADAME LA RÉUNION DE PRIÈRE
« Il n’y a personne qui invoque ton nom, qui se réveille pour s’attacher à toi. »
(Esaïe 64.6)
As-tu déjà entendu l’histoire de décès de Madame « La Réunion de Prière » ? Non ?
Madame « La Réunion de Prière » mourut récemment dans « l’Église de la Négligence », rue de la Mondanité. Il y a quelques années, elle naquit au milieu d’un beau réveil et, en grandissant, elle devint une enfant saine. Sa nourriture consistait surtout en témoignage, étude biblique et prière. Lorsqu’elle atteint l’âge scolaire, elle fréquenta « l’École du Service Chrétien », dans laquelle le Saint-Esprit, maître bien connu, l’enseigna. Sa réputation augmenta avec sa croissance. Son influence bienfaisante se répandit loin dans le monde, auprès des croyants et des incrédules.
Mais voici que depuis plusieurs années déjà, la santé de Madame « La Réunion de Prière » laissa beaucoup à désirer. Sa force s’épuisa jusqu’à ce qu’elle devint entièrement impuissante par suite de raideur des genoux, froideur du cœur, nonchalance, murmures, plaintes, critiques, et mauvaise volonté. Finalement, elle ne fut plus que l’ombre d’elle-même.
Des médecins expérimentés comme le Docteur Œuvres, le Docteur Améliorations, le Docteur Compromis et le Docteur Gens d’Église, ne purent pas déceler la vraie raison de sa maladie. Comme médicaments, ils lui ont prescrit, entre autres, de grandes quantités d’organisations ecclésiastiques, d’agitation spirituelle, de bonnes œuvres, de théâtre et de distractions dans l’évangélisation. Mais rien n’y fit. Un pauvre en esprit recommanda la repentance et l’obéissance de la foi, mais il fut vite mis à la porte. A la suite d’une consultation très profonde, on a pu constater que la raison du décès fut le manque de nourriture spirituelle et de la vraie foi enfantine. Seulement quelques-uns furent présents lorsqu’elle mourut. Ceux-ci pleurèrent en pensant à sa beauté et à sa puissance, au « Cimetière des Souvenirs Passés », en attendant le jugement.
En souvenir de son décès, les soirs où d’habitude, les réunions de prière avaient lieu, les portes de l’Église sont restées fermées, excepté le premier mercredi du mois, où les femmes se réunissent pour la couture, parfois accompagnées de leurs maris. Agréables soirées où l’on sert du café et des gâteaux !
La réunion de prière est le baromètre de l’édification spirituelle d’une Assemblée. Dans les prochains temps difficiles, le diable essaiera plus que jamais et de toutes ses forces, d’empêcher les isolés, mais aussi des groupes entiers de prier sérieusement. Il sait qu’une Assemblée qui ne prie pas est une Assemblée impuissante. Si nous devons affirmer que dans notre vue de prière, nous sommes devenus froids et indifférents, alors repentons-nous et demandons à Dieu de nous ouvrir les yeux. Le secret de la puissance et l’unité dans le service du Seigneur nous est uniquement révélé par la prière.
Transmis par le pasteur Alain PORCHEL
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MOTS D’ENFANTS
Le père d’un louveteau revient d’une réunion préparatoire à la reprise des activités de scoutisme.
- Tu sais, à la rentrée, il y aura du nouveau dans ta sizaine...annone-t-il à son fiston.
- Super ! se réjouit le petit scout, et qui c’est ? Tu peux me dire son nom ?
- Motus et bouche cousue ! répond le père.
- Ah bon ! ils seront deux alors !
Avec l’aide de sa maman, Enora révise sa leçon d’histoire sur les guerres de religion...Sa petite sœur joue à côté sans apparemment y prêter attention, et pourtant, quand elle entend évoquer Henri IV et l’Édit de Nantes, elle redresse la tête, intéressée :
- Ah ? Et c’est qui, au juste Lady de Nantes ?
Dernièrement, un petit garçon à qui l’on demandait, à l’issue du culte, ce qu’il avait retenu de la prédication, répondit avec sérieux et conviction :
- La fidélité dans les petites choses comme dans les grands détails.
Une partie de l’office de Noël au Centre Missionnaire est traditionnellement consacrée aux enfants qui se font une joie de présenter à tous les travail effectué à l’instruction biblique : petits cantiques et récitations y alternent…
- On s’entraîne, explique Mathilde, maman m’aide à apprendre bien par cœur mon poème et je le révise tous les jours pour être capable de le ressusciter toute seule devant tout le monde le jour de Noël !
Moi, quand j’étais plus petite, mon chant de Noël préféré, c’était « Petit Papa Noël », confie une fillette ; maintenant, c’est « Midi chrétiens... » !
(Source : Les Documents « Expériences »)
UN MONTAGNARD VIETNAMIEN
« Mettez-moi de la sorte à l’épreuve, dit l’Éternel des armées.
Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux,
si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance. »
(Malachie 3.10, voyez le verset en entier!)
Les chrétiens de la tribu des Réglais, décidèrent de reconstruire leur chapelle, l’ancienne n’étant plus à l’honneur du nom de leur Sauveur, tant elle était délabrée.
Le comité décida qu’il faudrait trouver 75.000 piastres, soit 400 piastres par membre. Sa Boan, frère de l’ancien sorcier qui fut le premier converti de la tribu, voulait aussi faire sa part, mais il était très pauvre, le travail de chaque jour donnant à peine la ration de riz pour la famille.
Dieu, qui est riche en moyens, rappela à Sa Boan et à quelques-uns de ses amis pauvres comme lui, qu’ils connaissaient bien les arbres de la forêt.
Ah ! s’ils pouvaient découvrir un de ces arbres comme on en trouve à peine un par génération, dont les racines secrètent à plus ou moins grande profondeur des amas d’une résine particulièrement recherchées des Chinois, pour faire des médicaments et de l’encens ! Quelle aubaine ce serait !
Se confiant au Seigneur dans une ardente prière – le danger était grand, les Viêt-Cong étant partout – un groupe de quatorze hommes emportant leur riz et leurs couvertures, armés de coupecoupes et de pioches, se mirent en marche vers la forêt, dès le lundi matin. Là, se dispersant deux par deux, ils firent des recherches jusqu’au soir, sans résultat. Puis, ils se regroupèrent pour la nuit. Le lendemain matin, même tactique, même résultat.
Le mercredi, après avoir prié ensemble, Sa Boan dit : « Aujourd’hui, le Seigneur va me conduire à l’arbre ». Ils se dispersèrent à nouveau. Effectivement, vers 15 heures, Sa Boan trouva l’arbre au trésor. Vite, ils appelèrent leurs camarades ; ils coupèrent, creusèrent, remplirent leurs hottes, et rentrèrent au village bien tard, mais avec une nouvelle qui se communiqua très vite à toute la tribu.
La résine fut vendue à l’apothicaire chinois bien au-delà de ce qu’ils avaient demandé à Dieu : 50.000 piastres au lieu de 400. Au cours des semaines qui suivirent et ce, malgré le danger, plusieurs retournèrent dans la forêt pour creuser plus profondément et ils ramenèrent à nouveau pour 50.000 piastres de résine.
Quelle joie de voir le nom du Seigneur glorifié par ces montagnards !
Transmis par le pasteur Alain PORCHEL
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UNE BONNE DÉFINITION
On demandait à un serviteur de Dieu ce qu’il voulait dire par « marcher dans le chemin de l’obéissance ». Il répondit :
- « Je suis venu à Jésus, le Sauveur ; il m’a reçu ; et je ne lui ai jamais dit : « au revoir ».
A. THOMAS-BRES
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JESUS EST LA
Quand la route est montante et rocailleuse,
Que vos pieds sont meurtris et que la nuit descend…
Jésus est là
Quand votre coeur est brisé,
Et que nul rayon ne pénètre en lui…
Jésus est là
Quand votre fardeau vous écrase,
Et que personne ne semble s’en apercevoir…
Jésus est là
Quand votre foi est faible,
Et près de vous abandonner…
Jésus est là
Quand vos yeux sont noyés par les larmes,
Et que la crainte vous assaille…
Jésus est là
Quand vous êtes pauvres,
Et devez subir de dures privations…
Jésus est là
Quand vos meilleurs amis vous délaissent
Et que votre réputation est ternie par la calomnie et la jalousie…
Jésus est là
Quand la vieillesse s’avance à grands pas,
Et que la fin de la course est proche…
Jésus est là
Confiez-vous donc en lui. Il est votre grand et éternel ami, votre Sauveur pour le temps et l’éternité. Il a dit : « Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde ». Plus qu’une promesse, c’est un glorieuse réalité.
Transmis par le pasteur Alain PORCHEL
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PRENDS SOIN DE TA VIE…
La vie est une chance, saisis-la.
La vie est une beauté, admire-la.
La vie est béatitude, savoure-la.
La vie est un rêve, fais-en une réalité.
La vie est un défi, fais-lui face.
La vie est un devoir, accomplis-le.
La vie est précieuse, prends-en soin.
La vie est une richesse, conserve-la.
La vie est amour, savoure-la.
La vie est un mystère, perse-le.
La vie est une promesse, remplis-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, livre-le.
La vie est une tragédie, prends-la à bras le corps.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est un bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la
La vie est un don de Dieu, prends-en soin.
Transmis par le pasteur Alain PORCHEL
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TRAVAIL PÉNIBLE
Jadis, vivait un moine qui se plaignait tous les soirs de sa grande fatigue.
- « Quel est donc le travail qui vous accable ? », lui demanda un jour son abbé.
- « Hélas, c’est un travail auquel toutes mes forces ne suffiraient pas si la grâce de Dieu ne me venait en aide pour me fortifier.
- J’ai deux faucons à apprivoiser.
- Deux lienes à retenir.
- Deux éperviers à dresser.
- Un dragon à vaincre.
- Un lion à combattre.
- Un malade à soigner.
- « Quelle plaisanterie ! », répliqua le chef de la communauté.
- « Je ne plaisante pas, respectable abbé ! Ce que je vous dis est vrai…
- Les deux faucons sont mes yeux, qu’il faut garder avec soin pour qu’ils ne s’arrêtent point sur des convoitises coupables.
- Les deux lienes sont mes pieds, qu’il me faut retenir pour qu’ils ne s’élancent point sur le chemin du péché.
- Les deux éperviers sont mes mains qu’il me faut assujettir au travail.
- Le dragon, c’est ma langue, qui a constamment besoin d’être tenue en bride.
- Le lion, c’est mon cœur, avec lequel j’ai perpétuellement à combattre.
- Le malade, c’est mon corps, qui a tantôt chaud, tantôt froid, tantôt faim, tantôt soif, et qui exige constamment quelques nouveaux soins.
Tout cela m’occasionne une fatigue continuelle. »
- « Plut à Dieu », répliqua l’abbé, « que chacun prît avec le même sérieux sa tâche quotidienne et ne craignît pas de s’y fatiguer ! »
Transmis par le pasteur Alain PORCHEL
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LE PSAUME 23, L’ACTEUR ET LE PRÉDICATEUR
Dans une réunion de salon, on demanda à un acteur de réciter le psaume 23 « l’Éternel est mon berger ». Ensuite, on fit la même demande à un prédicateur présent lui aussi à cette rencontre. Le premier fut très applaudi pour son élocution sans faille. Le second, on ne pensa pas à l’applaudir, mais beaucoup avaient les larmes aux yeux. Quelqu’un se pencha alors vers le prédicateur et lui dit :
- « L’acteur connaissait le psaume, vous, vous connaissez le Berger ! »
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MOTS D’ENFANTS
Un jeune garçon de 6 ans vient voir son papa pour lui demander un livre dans lequel il ne comprendrait rien. Son papa lui donne un livre qui était sur son bureau.
- « Tu es sûr, dit-il que je n’y comprendrais rien ? »
- « Oui, mais au fait, pourquoi tu le veux ? »
- « Pour faire le culte ! »
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LA CRUCHE FISSURÉE
Un vendeur d’eau se rend chaque matin à la rivière, remplit ses deux cruches, et part vers la ville distribuer l’eau à ses clients.
Fissurée, l’une des deux cruches perd son eau. Toute neuve, l’autre rapporte plus d’argent. La pauvre fissurée se sent inférieure. Un matin, elle décide de se confier à son propriétaire :
- « Tu sais, je suis consciente de mes limites. Tu perds de l’argent à cause de moi, car je suis à moitié vide quand nous arrivons en ville. Pardonne mes faiblesses.
Le lendemain, en route vers la rivière, le vendeur d’eau interpelle sa cruche fissurée :
- « Regarde sur le bord de la route ! »
- « C’est joli, et plein de fleurs ! »
- « C’est grâce à toi. C’est toi qui, chaque matin, arroses le bas-côté de la route. J’ai acheté un paquet de graines de fleurs, et je les ai semées le long du chemin. Et toi, sans le savoir et sans le vouloir, tu les arroses chaque jour. »
N’oublions pas : nous sommes tous un peu « fissurés », mais si nous le lui demandons, Dieu sait faire des merveilles avec nos faiblesses.
Transmis par le pasteur Alain PORCHEL
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UN ATHÉE EMBARRASSE
Un athée vint un jour donner une conférence antireligieuse dans un village du nord de l’Angleterre. Quand il eut fini, il demanda à ses auditeurs s’ils avaient des objections à lui présenter. Il y eut un moment de silence, puis l’on vit arriver une pauvre vieille femme habillée à l’ancienne mode et qui dit :
- « Monsieur, je désire seulement vous poser une question. Il y a dix ans, je devins veuve avec huit enfants à nourrir et pas d’autres ressources que cette Bible. Je demandai à Dieu de me venir en aide, et je fus en état de donner du pain à tous les miens. Maintenant ma fin approche, mais je me sens parfaitement heureuse, car je me prépare à vivre éternellement avec Jésus dans le ciel. Voilà ce que ma foi a fait pour moi. Et votre incrédulité, qu’a-t-elle fait pour vous ? »
- « Ma bonne dame », reprit l’orateur, « je ne veux pas vous enlever votre consolation ! »
- « Oh ! », dit-elle, « ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Je vous demande seulement ce que votre incrédulité a fait pour vous ».
L’athée chercha une échappatoire, mais les assistants applaudirent son interlocutrice avec tant d’énergie et tant de sympathie, qu’il jugea plus prudent de s’esquiver. Transmis par le pasteur
Alain PORCHEL
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LE VIN CHANGE EN MEUBLES !..
- « Tu ne veux quand même pas me faire croire », disait un homme à un copain de travail, ancien alcoolique converti, « que la Bible est la vérité ? »
- « Mais si ! »
- « Tu crois à tout ? »
- « Oui, bien sûr ! » - « Que Jésus a changé l’eau en vin, par exemple... »
- « Bien sûr, je puis même t’en donner la preuve ! »
Intrigué, l’homme suit son ami, le soir après le travail. Ancien compère de beuverie, il le connaît bien. Ils arrivent enfin. L’homme l’introduit dans sa maison qui ne ressemble plus en rien au taudis d’autrefois, les enfants sont propres, les meubles sont neufs. Interloqué, il lui dit :
- « Et tout cela est à toi ? »
- « Oui », répondit l’homme, « et voilà la preuve de ce que je t’ai dit : le Seigneur a changé l’eau en vin, et chez moi, il a changé le vin en meubles ! »
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LES TROIS PASSOIRES
On raconte que quelqu’un vint un jour trouver Socrate, le célèbre philosophe grec. Fort agité, le visiteur lui dit :
- « J’ai quelque chose à te raconter sur ton ami... »
- « Écoute ! », interrompit le philosophe, « as-tu passé ce que tu vas me dire au travers des trois passoires ? »
Étonné, l’autre lui répondit :
- « Que veux-tu dire ? »
- « Première passoire : la chose que tu vas me raconter est-elle vraie ? »
- « Je le suppose. On me l’a ainsi racontée. »
- « Ah ! on te l’a racontée ! Bon ! Essayons la seconde passoire. Est-ce une bonne chose ? » L’autre hésita.
- « Pas précisément... »
- « Cela s’annonce bien mal », dit Socrate. « Mais continuons ! Voyons l’épreuve de la troisième passoire. Est-ce utile que je sache ce que tu veux me dire ? »
- « Non, pas du tout. »
- « Alors, mon cher ami », dit Socrate en souriant, « si ce que tu voulais me dire n’est ni vrai avec certitude, ni bon, ni utile, je n’ai nulle envie de le savoir et je crois que le mieux est de ne pas t’en occuper toi-même. »
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LE PATRON DE RESTAURANTS
Un homme très actif qui, à force de travailler, était devenu le patron d’une importante chaîne de restaurants, était à l’article de la mort. Ses intimes entouraient son lit. Tout à coup, il remua les lèvres pour dire quelque chose. On se pencha pour entendre ses paroles :
- « Il faut couper les tranches de jambon très très fines... »
Puis il mourut...On meurt comme on a vécu…
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LE CYGNE ET LA GRUE
Il existe une vieille légende à propos d’un cygne et d’une grue.
Un magnifique cygne descendit sur les bords de l’eau où une grue recherchait des escargots. Pendant quelques instants, la grue regarda le cygne d’une manière stupide, puis demanda :
- « D’où viens-tu ? »
- « Je viens du ciel », répondit le cygne.
- « Et où est le ciel ? », demanda la grue.
- « Le ciel ? », dit le cygne, « le ciel ! N’as-t-u jamais entendu parler du ciel ? » Et le bel oiseau entreprit de décrire la grandeur de la cité éternelle. Il parla des rues pavées d’or, et des murs et des portes de pierres précieuses, du fleuve de la vie, aussi pur que le cristal, sur les bords duquel se trouve l’arbre dont les feuilles servent à la guérison des nations. Dans des termes éloquents, le cygne entreprit de décrire les esprits célestes de l’autre monde, mais sans éveiller d’intérêt particulier chez la grue. Finalement, la grue demanda :
- « Y a-t-il des escargots dans le ciel ? »
- « Des escargots ? », répondit le cygne, « bien sûr que non ! »
- « Alors, répondit la grue, tu peux garder ton ciel, je préfère les escargots ! »
Cette fable contient une vérité profonde. Combien de jeunes, à qui Dieu a donné le grand avantage d’avoir un foyer chrétien, l’ont quitté et sont partis à la recherche « d’escargots »! Combien d’hommes ont sacrifié leur femme, leur famille, tout, pour les « escargots » du péché ! Combien de jeunes filles se sont délibérément détournées de l’affection de leurs parents pour apprendre, trop tard, qu’elles ont perdu le ciel pour des « escargots » !
A. THOMAS-BRES
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L’OREILLER DU PASTEUR !
Il y avait une fois, une femme amère qui n’aimait pas ce qu’un vieux pasteur lui disait tout le temps. Un jour, les paroles du pasteur étaient plus que ce qu’elle pouvait supporter ; pourtant, ce n’était que la vérité. Cela la rendit si en colère, qu’elle alla partout dire des mensonges et de mauvaises histoires sur le pauvre pasteur. Elle fit son possible pour le discréditer et répandre toutes sortes de mauvaises choses sur lui. Mais plus elle répandait ces mensonges, plus elle se sentait malheureuse.
A la fin, elle se sentit tellement malheureuse, qu’elle commença à vraiment regretter tous les mensonges qu’elle avait dit sur lui. En pleurs, la femme alla voir le pasteur dans sa maison pour lui demander pardon.
- « J’ai dit tellement de mensonges sur vous pasteur, pouvez-vous me pardonner ? »
Le vieil homme ne trouva pas de réponse à lui dire, mais resta silencieux pour un moment, perdu dans ses prières. Au bout d’un long moment de réflexion, il lui dit :
- « Bien sûr, je vous pardonne, mais avant, je veux que vous fassiez quelque chose pour moi ».
- « Que voulez-vous que je fasse pour vous ? » dit-elle un peu surprise.
- « Venez avec moi dans le clocher de l’église et je vais vous expliquer. Mais avant, je dois aller chercher quelque chose dans ma chambre ».
Arrivé en haut du clocher de l’église, soudainement, sans dire un seul mot, le pasteur éventra l’oreiller et le secoua très fortement pour que toutes les plumes à l’intérieur s’envolent dans toutes les directions. Les plumes, portées par le vent, se répandirent dans toute la campagne environnante. Il y en avait aussi dans tous les coins du village.
Puis, le pasteur demanda à la femme :
- « Maintenant, je veux que vous alliez me chercher toutes ces plumes et que vous me les rameniez ».
- « Mais c’est impossible s’écria la femme ! »
- « Je le sais », dit le pasteur ; « ces plumes sont comme les mensonges que vous avez répandus sur moi. Ce que vous avez commencé, vous ne pouvez plus l’arrêter, même si vous êtes désolée maintenant. Vous pouvez dire aux gens que vous avez menti sur moi, mais le vent de ces rumeurs s’est déjà répandu très loin. »
On peut allumer une allumette, mais on ne peut pas éteindre le grand feu qu’elle cause ! « Ainsi aussi la langue est un petit membre et elle se vante de grandes choses. Voici, un petit feu, quelle grande forêt allume-t-il ! » (la Bible, Jacques 3.5)
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LA MAISON QUI COÛTA TRÈS CHER !
- « Quelle est la valeur de cette propriété ? », demandait un homme à un autre, alors qu’ils passaient près d’une belle maison, entourée de magnifiques champs.
- « Je ne sais à quel prix elle est évaluée, mais je sais ce qu’elle a coûté à son dernier propriétaire. »
- « Combien ? »
- « Son âme ! »
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MOTS D’ENFANTS
« Dis Papa, tu m’as dit que « chrétiens » ça veut dire qui aiment le Christ, que ce soient des protestants ou des catholiques...s’interroge Gabrielle, mais j’ai aussi entendu parler de gens « diabétiques », ça veut dire qu’ils aiment le « diabe » ?
(Source : Les Documents « Expériences »)
LA BIBLE DANS LA CHEMINÉE ?
Des jeunes gens décident de faire la fête et en plein milieu de leurs réjouissances, ils veulent brûler une Bible. L’un d’entre eux la prend, et d’un pas lent s’approche de la cheminée. Il se met à trembler, doit s’asseoir, puis résolument se lève et dit :
- « Je la brûlerai dès que nous aurons trouvé un meilleur livre ! »
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LES ARTISTES ET LES PRÉDICATEURS
Un prédicateur demanda un jour à un célèbre acteur comment il se faisait que les artistes arrivaient à émouvoir jusqu’aux larmes des foules entières par de simples fictions, alors que les prédicateurs n’arrivent pas à toucher leurs auditeurs par des vérités évangéliques.
- « C’est simple, lui répondit-il, vous prêchez la vérité comme si c’était une fiction ; nous nous présentons la fiction comme si c’était une réalité ».
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LE JEUNE CONVERTI ET L’AGNEAU PERDU
Un jeune garçon s’était converti et désirait devenir membre d’église.
- « Il te faut attendre six mois, lui dit son père, et si tu persévères, alors on verra ! »
En route, ils trouvent un agneau qui avait perdu sa mère et qui bêlait.
- « Prends-le, dit le père, et porte-le à sa mère ! »
- « Je pense, dit le fils, qu’il faudrait mieux attendre six mois, et s’il persévère, alors... »
Le père comprit.
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UN JEUNE BERGER ECOSSAIS
Un jeune berger écossais se présente au comité de mission pour partir en Chine. Le comité décide qu’il est à peine capable de devenir artisan auxiliaire.
- « Cela importe peu, dit le jeune berger, pourvu que je puisse travailler à l’avancement du règne de Dieu ! »
Il partit et devint le Docteur MILNA, un des plus grands missionnaires en Chine !
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Vision de la
vie d’un athée
(lire de haut en bas)
Je vivrais ma vie en accord avec ces croyances...
Dieu n’existe pas !
C’est juste une idée folle de penser que
il y a un Dieu avec un plan cosmique
Un Dieu tout-puissant apporte le salut et la guérison à la souffrance du monde
est une idée confortable, cependant
cela
est seulement une pensée désirable.
Les gens font ce qu’ils veulent sans conséquences éternelles
Cette idée que
Je mérite l’enfer
à cause du péché
est un mensonge pour faire de moi un esclave de ceux qui sont au pouvoir !
« Plus vous avez, plus vous serez heureux »
Notre existence n’a pas grand sens ni but
Dans un monde sans Dieu
il y a la liberté d’être ce que je veux être
avec Dieu,
tout va bien !
C’est ridicule de penser que
je suis perdu et j’ai besoin d’être sauvé
(lire de bas en haut)
Vision de la
vie d’un chrétien
MOTS D’ENFANTS
- « Le Seigneur Jésus, quand il était sur la terre, avait été invité à un mariage qui s’appelait les noces de Cana », explique la petite Lou-Anne, « et il a eu pitié des gens, et il leur a fait un miracle, parce que les pauvres, voilà qu’il y avait plus rien à boire pour les invités : pas de jus, pas de limonade, pas de coca...rien ! »
Youenn chez ses grands-parents « admire » un beau paquet de biscuits. Sa mamie lui explique que ce sont les gâteaux de papy…
- « Z’ai un peu faim », fait remarquer Youenn, « tu crois pas que papy voudrait bien me prêter zuste un de ses gâteaux ? »
Ce biscuit s’avère tellement bon et surtout si petit que, tiraillé entre sa gourmandise naturelle et la politesse de sa bonne éducation, Youenn finit par céder :
- « Dis, mamie...est-ce que tu me demandes si ze veux un deuxième petit gâteau ? »
Le petit frère débordant d’énergie s’agite et fait le fou. Toujours calme et réfléchie, Gabrielle, sa sœur, trouve que ce n’est pas raisonnable de faire ainsi l’idiot et le reprend :
- « Dis donc, veux-tu te calmer, tu ne sais pas que dans la Bible c’est écrit que ce n’est pas bien l’idiolâtrie, le Seigneur n’aime pas les idiolâtres ! »
(Source : Les Documents « Expériences »)
LE JEUNE GARÇON ET LE PARAPLUIE
Une station missionnaire en Afrique décide de faire une réunion de prière pour avoir de la pluie, car la sécheresse est devenue une calamité. L’Église est là au grand complet lorsqu’arrive un jeune garçon avec son parapluie. Tous sourient de sa naïveté, mais au retour, il est le seul à ne pas être trempé, car le Seigneur a répondu. La foi, c’est ça !
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LES ÉTUDIANTS EN MÉDECINE ET LA MARCHANDE
Chaque jour, les étudiants en médecine d’une certaine faculté passaient devant l’éventaire d’une marchande des quatre saisons. Pour s’amuser, quelques-uns de ces jeunes gens décidèrent de convaincre cette femme qu’elle était malade. Ils s’échelonnèrent et le premier, en passant, salua la marchande en ajoutant :
- « Cela va bien aujourd’hui ? »
- « Très bien », dit la dame. Le deuxième arriva à son tour et ajouta :
- « Ça n’a pas l’air d’aller ce matin ? »
- « Oh, ça va », répondit-elle.
Au tour du troisième, qui ajouta :
- « Vous êtes toute pâle, ce matin ! »
- « Oh, ce n’est pas grave !», dit la marchande.
Quand le quatrième arriva, il dit :
- « Vous avez sûrement de la fièvre ! »
- « Oui », dit la marchande, « je vais rentrer, je ne me sens pas bien ce matin ! »
(A méditer…)
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SUR LA PAGE DE GARDE D’UN NOUVEAU TESTAMENT
Sur la page de garde d’un Nouveau Testament, trouvé sur un marin, après naufrage :
- Lu pour la première fois à la demande de ma sœur.
- Lu la deuxième fois par crainte du jugement.
- Lu la troisième fois par amour pour Jésus-Christ.
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UNE DIFFÉRENCE DANS LE CHANT
Je me trouvais dans une ville du nord de l’Écosse, il y a quelques années, où l’on ne chantait que les psaumes. Ils avaient une église où se rendait toute la ville, soit 2.500 personnes, et je pense que je n’avais jamais entendu le psaume 23 chanté comme ils le chantaient : « l’Éternel est mon berger ». C’était un chant magnifique. Quand j’eus fini de prêcher, je dis :
- « Je n’ai jamais entendu le 23° psaume aussi bien chanté, et je me demande combien d’entre vous le chantent avec tout leur cœur. Je voudrais que tous ceux qui le chantent avec tout leur cœur se lèvent et le chantent à nouveau. »
Je ne l’ai jamais entendu chanter aussi mal. Je ne pense pas qu’il y ait eu plus de 50 personnes debout.
C’est une chose de chanter « l’Éternel est mon berger », et c’en est une autre que de le croire et de le vivre.
Le Seigneur est-il réellement votre berger ?
A. THOMAS-BRES
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ESPÉRANCE VIVANTE
Une chrétienne, femme de foi, très éprouvée par la mort de son mari et de son unique fils, avait fait inscrire sur leurs tombes ce texte de 2 Rois 4.26 : « Ton mari et ton enfant se portent-ils bien. Elle répondit : Bien. »
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LA JEUNE FILLE ET L’AMOUR
Une jeune fille voulait faire imprimer un livre sur l’amour. L’éditeur lui posa la question :
- « Alors, selon vous, qu’est-ce que l’amour ? »
- « C’est, dit-elle, comme un rayon de lune qui vient baigner les pétales d’un nénuphar quand… »
- « Assez, dit l’éditeur, l’amour c’est ce qui fait se lever une mère plusieurs fois par nuit pour donner le biberon à son bébé, le changer, ou le consoler lorsqu’il est malade. »
L’amour vrai n’est pas prosaïque, mais pratique.
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L’AVARE MOURANT
Un avare va mourir. A ses côtés, le pasteur tente de lui parler sérieusement.
- « Ah ! si au moins, dit l’homme, je pouvais emmener mon or avec moi... »
- « Inutile, reprit le pasteur, il y fondrait !.. »
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UNE DRÔLE DE FOI
Conversation avec un enfant...
- « Moi aussi dit l’enfant, je crois ».
- « C’est très bien, et que crois-tu ? »
- « Tout ce que mon père croit ».
- « Parfait, et que croit-il ton père ? »
- « Tout ce que le prêtre dit ».
- « Mais, que dit le prêtre ? »
- « Ah ça ! Personne n’en sait rien. A la maison, on ne va jamais à l’église ! »
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LA BIBLE DU COLPORTEUR
Un soir, un homme rentre chez lui et s’arrête brusquement devant le Nouveau Testament acheté par sa femme à un colporteur. Furieux, il lui reproche cet achat car il ne veut rien de religieux chez lui et dit comme conclusion :
- « Il y en a la moitié pour moi, prends le livre et déchire-le en deux ! »
La dernière page en sa possession relate une partie de l’histoire de l’enfant prodigue. Inquiet, quant au déroulement de ce récit, il demanda la deuxième partie à sa femme.
Plus tard, il devint un chrétien zélé…
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UN DESSINATEUR A LA DOUANE
Gustave Doré, voyageant dans le Sud de l’Europe, fut prié de montrer son passeport dans un bureau de frontière. Après de longues recherches, il dut reconnaître qu’il l’avait perdu.
- « Mais qu’importe, ajouta-t-il, je suis Doré, le dessinateur ».
- « C’est possible, répondit l’officier de la douane, mais tant de gens se donnent pour ce qu’ils ne sont pas. Il faudra nous prouver votre identité. Voici un crayon et une feuille de papier. Si vous êtes Gustave Doré, nous allons bien le voir ! »
L’artiste prit le crayon, et de main de maître, en quelques traits rapides, il esquissa la scène originale dont il était le héros.
- « Je n’ai pas besoin d’autres preuves, dit alors le douanier ».
Nul autre que Gustave Doré n’aurait pu faire cela. En s’inclinant, il le laissa passer.
Dans un tout autre domaine...il est facile de se dire chrétien. Mais le prouver est une autre affaire.
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LES BANQUETS DU ROI
Charles Spurgeon raconte l’histoire allégorique d’un roi qui avait coutume d’offrir chaque semaine un festin à ses amis. Une affluence considérable honora l’offre du généreux souverain, exaltant son nom dans tout le royaume. Il vint un jour aux oreilles du monarque que le nombre de ses convives avait considérablement diminué et que ses banquets perdaient l’attrait du début. Il fit une enquête pour découvrir la raison de cet affront à sa royale réputation. En considérant les mets et le décor de la salle des festins, il fut saisi de stupeur. Les objets précieux ne sortaient plus des coffres, le service tout entier était défectueux et négligé. Les viandes étaient de qualité inférieure et sans saveur, le pain mauvais et moisi, le vin coupé d’eau impure.
- « Qu’est-ce que cela, dit-il ? d’où viennent ces choses ? Elles ne sont pas de ma maison ».
Après d’inutiles excuses des serviteurs, le roi s’écria :
- « J’avais fait préparer une nourriture d’excellente qualité, pourquoi n’est-elle pas là ? Jetez ces choses dehors et placez ici l’ordinaire royal ! »
Ainsi fut fait. Tôt après, la foule revint, et le nom du roi fut partout magnifié.
La leçon de ce récit est limpide : le roi n’avait pas manqué de moyens, mais les serviteurs manquèrent de fidélité !
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LE CHRÉTIEN ET LES TOILES D’ARAIGNÉE
Dans une Assemblée, un chrétien, conscient de ses faiblesses, priait semaine après semaine en ces termes :
- « Seigneur, enlève de mon cœur toutes les toiles d’araignée ! »
Comme il répétait chaque fois la même requête, un autre participant finit par en être lassé ; et un jour, ce dernier pria juste après et dit :
- « Seigneur, je te prie de tuer cette araignée ; ainsi il n’y aura plus de toiles ! »
A méditer…
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LE ROI, LA SERVANTE, ET L’ESCALIER
Un roi se mettait en colère parce que ses sujets se corrompaient de plus en plus malgré ses efforts. Son fou lui dit :
- « Votre Majesté fait comme la fille de cuisine qui lave les escaliers ! »
- « Comment ? », questionna le roi.
- « Elle se mettait en colère parce que l’escalier se salissait toujours ; mais c’était de sa faute ! Elle commençait par le bas ! C’est par le haut qu’il faut commencer ! »
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MOT D’ENFANT…
Un enfant récite le « Notre Père ». Mais il le récite comme il l’a compris. Ainsi, au lieu de dire : « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés », il dit : « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont tant fessés ! »
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LE CHAUFFEUR ISRAÉLIEN
Un chauffeur israélien, à qui un chrétien parlait du désert du Néguev, lui dit :
- « Pour vous, qu’est-ce qui est le plus important ? La terre cultivée ou le désert ? »
Comme le chrétien ne répondait pas, il lui dit :
- « C’est le désert. Sans lui, nous n’aurions eu ni Moïse, ni Élie, ni la plupart de nos prophètes. Car Dieu se révèle au désert et non aux Champs Élysées ! »
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LE VOL DE L’AIGLE
Près de la maison d’un chrétien, il y a une volerie d’aigles, et pratiquement chaque jour, il est possible d’assister à une démonstration : on lâche un aigle, qui en premier lieu cherche sa route puis, tout à coup, s’élève très haut dans le ciel, pratiquement sans l’aide de ses ailes, car il a trouvé ce qu’il cherchait : « un courant ascendant »…
Les chrétiens volent souvent au ras des toits, simplement parce qu’ils n’ont pas découvert « le courant ascendant » qu’est l’action du Saint-Esprit en eux.
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DE L’HERBE SUR TON SENTIER
Dans une station missionnaire, les chrétiens avaient pris l’habitude d’aller prier dans la forêt ; aussi, de chaque case, on pouvait distinguer un chemin qui se dirigeait vers ladite forêt. Quelquefois l’un d’eux se refroidissait, alors les autres lui disaient :
- « Frère, l’herbe pousse sur ton sentier ! »
Cher ami lecteur, l’herbe pousse-t-elle sur le tien ?
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UN JEUNE MOUSSE A LA MER
Un jeune mousse tombe à la mer, une nuit, en pleine tempête, personne ne l’a vu tomber. Il nage en direction du bateau, il trouve une corde qui flotte, la saisit, elle est rattachée au bateau. Il grimpe et se retrouve sur la passerelle. Il suit la corde et voit qu’elle est simplement coincée entre deux planches !
- « Ce jour-là, dit-il, j’ai compris que Dieu m’appelait ».
C’ était James GARFIELD, 20° Président des Etats-Unis.
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LES TOMATES ET LES FICELLES
Donald GEE raconte dans son livre « les fruits de l’Esprit » qu’il avait un morceau de jardin lorsqu’il était enfant, et qu’il y avait planté des pieds de tomates. Dans la banlieue de Londres, c’était plutôt difficile d’avoir des tomates ! Le matin, au saut du lit, il allait dans son jardin, et revenait tout triste : il n’avait pas de tomates ! Un jour, sa mère décida de lui faire plaisir, elle acheta des tomates et les attacha aux pieds avec des ficelles ! Au matin, grande joie : l’enfant a vu des tomates, mais il s’approcha, et revint tout triste.
- « Mais pourtant, dit la mère, il y a des tomates !.. »
- « Mais oui, dit l’enfant, mais il y a aussi des ficelles ! »
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LE CHAT QUI DORT
Le célèbre évangéliste C. Malan raconte qu’il était descendu en Italie pour des réunions et qu’il se trouvait dans une chambre d’hôtel.
Il ne peut dormir, il fait chaud, il y a beaucoup de bruit dans la rue, les vendeurs, les enfants, les chevaux. Alors, il se met à la fenêtre derrière les volets entrebâilles et regarde. Il voit en bas, dans la rue, en face de sa fenêtre, un chat qui dort. Il tente alors d’imiter le cri de la souris et de suite le chat dresse ses oreilles. Lui, ne s’était nullement laissé envahir par les bruits extérieurs...Sommes-nous capables de percevoir la voix de Dieu, au milieu de toutes les voix qui s’élèvent autour de nous ?
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LE SOLDAT MOURANT
Le soir d’une bataille, un croyant parcourait le lieu du carnage, cherchant à soulager ou à consoler quelque blessé. Il trouva un pauvre soldat qui n’avait plus que peu d’instants à vivre.
- « Voulez-vous que je vous lise un passage de l’Évangile ? », lui dit-il.
Pour toute réponse, le mourant murmura, en gémissant :
- « J’ai soif ! Si vous pouviez me donner un peu d’eau ! »
Aussitôt le serviteur de Dieu courut vers un ruisseau et en rapporta de l’eau. Après s’être désaltéré, le soldat lui dit :
- « J’aimerais tant avoir quelque chose sous ma tête ! »
N’ayant rien d’autre sous la main, le croyant ôta son propre manteau, le roula en forme d’oreiller et le plaça doucement sous la tête de l’agonisant.
- « J’ai bien froid », dit encore le pauvre soldat.
En bon disciple du Christ, il enleva sa veste et l’étendit sur les jambes du blessé.
- « Maintenant, dit le soldat mourant, en regardant son bienfaiteur avec reconnaissance, si c’est votre livre qui fait des hommes comme vous, ouvrez-le et lisez-m’en jusqu’à ce que je meure ».
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LA SCULPTURE DE MICHEL ANGE
Michel Ange explique à un visiteur les travaux de finition qu’il vient d’exécuter après une statue.
- « J’ai transformé ce trait ; j’ai fait saillir ce muscle ; j’ai donné plus d’expression aux lèvres ».
- « Mais, dit le visiteur, ce sont de petites choses ! »
- « Peut-être, dit l’artiste, mais ce sont les petites choses qui font la perfection, et la perfection n’est pas une petite chose ! »
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LE SERMON SUR L’HUMILITE
On raconte qu’un prédicateur avait fait un sermon remarquable et remarqué sur l’humilité. Notre homme était si sûr de la valeur de sa prédication, qu’il décida de la faire imprimer. L’imprimeur accepta, et quelques jours après, il vint le revoir pour lui dire qu’il lui était impossible de faire le travail demandé.
- « Et pourquoi ? », s’inquièta le prédicateur…
- « Je n’ai pas assez de « JE » dans mes plombs, répondit l’imprimeur...
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L’HOMME QUI VOULAIT ENTERRER SON ÂNE
Un homme veut se débarrasser de son âne, mais comme il l’aime, il ne veut pas le vendre, car son nouveau maître pourrait le faire souffrir. Le tuer ? C’est impensable : voir son âne transformé en saucisson !...Le nourrir sans rien faire ? Il est trop pauvre. Alors, il imagine quelque chose : il creuse un grand trou et met son âne dedans, se retourne et prend la terre creusée pour la jeter dans le trou. « Ainsi, dit-il quand je n’aurais plus de terre, mon âne sera enterré et je ne l’aurais pas vu ! » Mais, quand il a terminé, il se retourne et voit l’âne à côté de lui...Pourtant, il avait bien rempli le trou de terre ! Oui, mais l’âne – pas si bête – secouait la tête lorsqu’il recevait de la terre et piétinait sans cesse. Résultat : le trou était bouché, mais l’âne était dessus !
Ne soyons pas plus âne que cet animal et ne nous laissons pas enterrer par les difficultés ! Sachons secouer la tête, piétiner les épreuves...et nous accrocher au Seigneur !
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LE SOLDAT ET SA BIBLE
Un soldat est occupé à lire la Bible, dans un train. Ses copains viennent, lui prennent la Bible et la jette par la fenêtre en disant :
- « C’est pas bon pour toi ! »
Quelques jours plus tard, il reçoit un colis : c’était sa Bible. Un cheminot l’avait trouvée, et lui avait écrit ces mots : « J’étais très angoissé à cause de mon péché, et grâce à ce livre, j’ai trouvé la paix ».
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A LA SORTIE D’UNE ÉGLISE
Dialogue à la sortie d’une église :
- « Dites, Madame, votre mari était-il malade qu’il est sorti pendant le sermon ?
- « Non, il est somnambule ! »
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LA PIÉTÉ DES COURTISANS DE LOUIS XIV
A la cour de Louis XIV, les courtisans se pressaient à la chapelle pour se faire mieux voir, les dames même prenaient une bougie. Un jour, le chef des gardes entra, et s’adressant aux gardes de faction leur dit, assez fort :
- « Retirez-vous, le roi ne viendra pas ! »
Alors, tout le monde partit, et lorsque le roi entra, il était seul !...Alors Brissac, son chef des gardes lui dit :
-« J’ai simplement voulu que vous compreniez la piété de vos gens ! »
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L’EMPLOYÉE CHRÉTIENNE ET LE DIRECTEUR DE L’USINE
Dans un certain pays, une femme s’est convertie et en parle à tout le monde dans son usine. Le contremaître la somme de se taire. Impossible ! Il l’envoie au Directeur :
- « Sais-tu pourquoi je te convoque ?», lui dit-il.
- « Oui, répondit la femme, parce que je prie tous les jours pour avoir une possibilité de te parler et il faut que tu saches ce que le Seigneur veut faire pour toi ».
- « Enfin, lui dit-il, tu sais que je puis te renvoyer pour cette faute, te retirer ta carte de travail ».
- « Oui, je sais ».
- « Alors, pourquoi fais-tu cela ? »
- « Vois-tu, répondit-elle, j’y ai pensé l’autre jour, et j’ai mis dans une balance ma sécurité, mon salaire, et de l’autre côté ton âme, et ça a penché de ce côté-là. Tu comprends qu’il fallait bien que je te dise que toi aussi, tu as besoin de te convertir ».
- « Assez, lui dit le Directeur, maintenant, va travailler ! » Elle s’attendait au pire, quand trois jours après, elle était nommée à un haut poste de confiance !
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LA PRIÈRE D’UN RICHE...
Un homme fort riche priait tous les jours pour les pauvres, afin que Dieu leur donne à manger.
Un jour, son jeune fils lui dit :
- « Je voudrais bien avoir tout ton argent ! »
- « Et qu’en ferais-tu ? », dit le père.
- « J’exaucerai tes prières !», répondit l’enfant.
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LE PASTEUR ET LES DEUX JEUNES MARIES
Un pasteur rend visite à deux jeunes mariés. Tout va bien, naturellement. Il les questionne :
- « Êtes-vous heureux, etc...etc... »
Et la jeune épouse répond :
- « Oh ! Vous saviez, ici, il n’y a que du soleil !
- « Alors, dit le pasteur, ce doit être bien sec chez vous ! »
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LE MINEUR CHRETIEN
Un mineur chrétien convaincu, dit à son chef :
- « N’ai-je pas droit à une prime supplémentaire pour ce charbon ? »
Le chef le regarde :
- « Oui, dit-il, mais vous savez bien ce que dit la Bible : il faut gagner son pain à la sueur de son front ! »
- « D’accord, dit l’homme, mais nulle part, elle ne dit qu’il me faut gagner le vôtre ! »
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LE CHRÉTIEN EXPULSE DE L’HÔPITAL
Un bon chrétien se fait expulser d’un hôpital pour y avoir distribué des tracts évangéliques. Après une rapide enquête auprès du directeur de l’hôpital, celui-ci déclare :
- « Il démoralise mes malades ! »
- « Mais pourquoi donc ? »
- « Voici le tract qu’il distribue : « les pompes funèbres » !
Ayez du bon sens, dit l’apôtre Paul...
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LA FEMME D’ORIENT, L’EAU, ET LE FEU
Un moine raconte avoir vu autrefois en Orient une femme avec une écuelle d’eau dans une main et du feu dans l’autre main.
- « Je voudrais, disait-elle, brûler le paradis et éteindre l’enfer, afin que personne ne fasse le bien pour une récompense ou par peur de l’enfer, mais par amour pour Dieu ».
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LA FEMME QUI LAVAIT SA SALADE
Une femme lave sa salade à la fontaine du village. Passe le pasteur voisin qui demande si elle a été au culte dimanche.
- Oui, dit-elle.
- Qu’a dit le pasteur ?
- Je ne m’en souviens plus.
- Alors, à quoi bon aller au culte si vous ne vous souvenez de rien ?
- Regardez, dit-elle, l’eau arrose ma salade, mais elle ne reste pas dans le panier, cependant ma salade est lavée quand même !
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LE PAYSAN QUI RENDAIT GRÂCES
Un paysan est invité à un grand repas agricole. Son vis à vis est un ingénieur parisien qui se moque de lui parce qu’avant de manger, il a rendu grâces à Dieu, discrètement.
- Ainsi, lui dit-il, à la campagne, vous priez encore tous ?
- Tous ? Oh que non ! dit le paysan.
- Alors, seulement les retardés ?
- Ça, je ne saurais vous le dire. Chez nous, nous avons une truie et sept porcelets ; à part eux, tout le monde prie...
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L’HOMME QUI ÉTAIT DEVENU « CHRÉTIEN »
Dans l’un de ses messages, Billy Graham raconte avoir croisé, dans la rue, un homme tellement accablé qu’il crut bon de lui porter secours :
- Êtes-vous malade ? Lui dit-il.
- Non, répondit tristement l’inconnu. Je suis devenu chrétien !
La parole de Dieu déclare : « Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur ; je le répète, réjouissez-vous. » (Philippiens 4.4)
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LA VRAIE CONNAISSANCE
Un savant voulut un jour traverser une rivière. Il s’adressa au batelier qui faisait le trafic d’une rive à l’autre, et s’embarqua. Un dialogue s’engagea :
- Connais-tu les mathématiques, dit le savant ?
- Non Monsieur, qu’est-ce que c’est ?
- Tu ne sais pas ! Tu perds un quart de ton existence !
- Connais-tu l’astronomie, au moins ?
- Non !
- Alors, tu gaspilles la moitié de ton existence !
- Connais-tu l’astrologie ?
- Non !
- Mais malheureux, tu perds les trois quarts de ton existence !
Le bateau chavira et le batelier de crier au savant :
- Sais-tu nager ?
- Non, répondit le savant.
- Alors, tu perds les quatre quarts de ton existence !
Jésus a dit : « La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ ». C’est la vraie connaissance...
L’HOMME ET SON CHIEN DANS LE TEMPLE
Un homme rentre dans le temple avec son chien et vient s’asseoir au premier rang, le chien couché à ses pieds. C’est un jeune pasteur qui est là, très sûr de sa théologie...et de sa valeur. Alors, du haut de la chaire, il somme l’auditeur de mettre son chien dehors, selon ce que dit la Bible (du moins c’est ce qu’il croit) : « ...dehors les chiens... »
L’homme obéit, et revient à sa place. Cependant, notre pasteur sent qu’il a fait de la peine à cet homme ; ce chien était peut-être son seul compagnon...Alors, à la porte du temple, il s’excuse auprès de l’homme en question. Celui-ci n’est pas du tout amer :
- « Au contraire, dit-il au pasteur, je suis très heureux de cela. »
- « Et pourquoi ? » dit le pasteur .
- « Parce qu’il n’a pas entendu toutes les sottises que vous avez dites », répondit l’homme.
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LE JEUNE GARÇON ET L’ÉCOLE DU DIMANCHE
Un jeune garçon va à l’école du dimanche. Les explications de son moniteur, homme très instruit, passent nettement au-dessus de la tête de ses jeunes auditeurs. Au retour, notre garçon prend la pièce que lui avait donnée son père pour l’offrande et lui redonne. Son père s’étonne...Et le garçon de répondre :
- « Quand je ne comprends pas, je ne paie pas ! »
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LES TROIS JEUNES FILLES ET LE BIJOUTIER
Trois jeunes filles regardaient une devanture de bijouterie et s’exclamaient devant les bijoux :
- « Moi, dit l’une, j’aimerais ce collier de diamants... »
- « Moi, dit l’autre, j’aimerais ce diadème d’or. »
- « Et toi, disent-elles à la troisième, tu ne dis rien. Qu’est-ce que tu aimerais ? »
- « Epouser le bijoutier... »
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L’ÂNE ET LA RELIGION DE GRAND-PÈRE
Un enfant vit chez des grand-parents très austères et très religieux. Il n’est pas heureux en ce jour de dimanche, car le dimanche est sacré ! Il veut jouer.
- « Non, dit le grand-père, pas le dimanche ! »
Alors il cherche à lire.
- « Non ! Pas aujourd’hui, dit le grand-père, c’est dimanche ! »
Alors l’enfant sort...Les oiseaux chantent.
- « Arrêtez, dit l’enfant, si grand-père vous entendait... »
Les poissons frétillent dans le bassin.
- « Arrêtez, dit l’enfant, si mon grand-père vous voyait...Tais-toi, dit-il au coq qui chantait... »
Il est triste de tout ce qu’il voit, et dans sa promenade, passe près de l’écurie, rentre et voit l’âne du grand-père avec sa longue tête triste qui le regarde. Alors l’enfant s’approche, le caresse et lui dit :
- « Toi, tu es une bonne bête, tu as la religion de mon grand-père! »
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L’OFFICIER DU TSAR
Un officier du tsar a tout perdu au jeu. Il écrit la liste de sa dette. Elle est tellement énorme qu’il écrit au dessous : « Qui pourrait payer cela ? » Il a l’intention de se détruire, mais sans doute accablé par ses insomnies, il s’endort à côté de son papier. Le tsar passe ; il lit, hésite, puis écrit à côté de la phrase : « ALEXANDRE », et ce mot écrit va sauver la vie de ce malheureux…
N’oublions jamais que Christ, lui aussi, a payé pour nous...
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LE FILS DU PEINTRE
Le fils d’un grand peintre fait un tableau en grand secret dans sa chambre. Il est sûr d’être aussi capable que son père et tient à le prouver. Aussi dès qu’il rentre du lycée, il s’enferme dans sa chambre pour n’en ressortir qu’aux repas, en ayant soin de cacher sa toile avant de sortir, afin que personne ne puisse rien soupçonner.
Son père, inquiet, se met en devoir de fouiller la chambre en son absence pour tenter de connaître le motif de son isolement. C’est alors qu’il découvre la toile ébauchée...Il la prend, la place sur le chevalet, prend la palette, retouche la toile, et la remet à sa place.
Le soir, le garçon rentre, s’enferme et continue la peinture. Le lendemain, le père retouche ce qu’il a fait jusqu’au jour où, la toile terminée, le fils profite d’un rendez-vous d’artistes pour la découvrir. Chacun s’extasie devant un fils dont la première toile est aussi belle que celle de son père...Le fils est très fier et veut maintenant donner des conseils à son père...Alors, celui-ci lui avoue sa supercherie…
Que serait notre vie, sans les coups de pinceaux de notre Père céleste !
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LE GALÉRIEN GRACIÉ
Au début du règne de Louis VI, le vice-roi de Naples visitait les galères. Pour honorer son passage, on lui donna l’autorisation de libérer un prisonnier. Mais lequel ? Alors, il les questionna, mais tous se prétendirent justes, sauf un qui lui dit :
- « Je suis un pauvre type, je paye, c’est normal ! »
- « Misérable ! Dit le Roi, quel malheur que tu sois avec ces braves gens, tu vas tous les contaminer...hâte-toi de sortir !..
Et il fut gracié.
(à méditer!)
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LE CRITIQUE DE BEAUX-ARTS
Un monsieur, critique des Beaux-Arts, visite une exposition, et pour montrer son talent se met à critiquer un tableau :
- « L’arrière-plan ne convient pas au sujet...Quant au sujet, il est trop laid pour un chef-d’oeuvre ! »
L’homme était myope, et sans ses lunettes, il ne s’était pas aperçu qu’il était devant un miroir. Sa femme l’arrêta à temps pour qu’il n’achève pas sa propre description, car pour la première fois, il se voyait comme il était…
La Parole de Dieu aussi, est un miroir !
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LA JEUNE FILLE DE PLUS EN PLUS BELLE
Une jeune fille se regarde tous les jours dans le miroir et se trouve tous les jours de plus en plus belle. Alors, elle va voir son pasteur pour lui exposer ses craintes :
- « Je me trouve toujours de plus en plus belle...est-ce un péché ? »
- « Non, lui répond le pasteur, tranquillisez-vous, ce n’est pas un péché, c’est une erreur !.. »
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L’INCRÉDULE ET LE COUTEAU DU CHRÉTIEN
- « On ne peut rien changer, disait un incrédule à un chrétien. Je prends ce couteau, regarde, si je le lâche, il tombe, il ne résiste pas à la pesanteur. »
L’autre le ramasse, le jette au plafond. Le couteau s’y pique.
- « Et alors, dit-il ? »
- « Oui, reprit l’incrédule, c’est parce que tu l’as voulu, et par ton acte volontaire, il s’est planté au plafond. »
- « Tu as bien compris. Toi aussi, par un acte de volonté, tu peux être sauvé. »
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LE CONFÉRENCIER ATHÉE ET LE PASTEUR
On raconte que le pasteur Nick assistait à une conférence sur l’athéisme et le conférencier avait terminé par ces mots :
- « Je donne à Dieu, s’il existe, une minute pour me tuer ».
Il attendit, en égrainant les secondes, puis dit, rayonnant : « Voyez, Dieu n’existe pas ! »
Dès qu’il eut terminé, le pasteur monta sur l’estrade pour la contradiction, tendit un revolver au conférencier et lui dit :
- « Je vous donne une minute pour me tuer ». Et il égraina les secondes, à son tour. La minute passée, il reprit le revolver et dit au conférencier :
- « Voilà une preuve que vous n’existez pas ! »
ENTRE LA CHARRUE ET L’AUTEL
Au cours des guerres de religion, les protestants, pour se faire reconnaître, avaient des méreaux – sorte de pièce de monnaie. L’un d’entre eux représentait un bœuf entre une charrue et un autel avec ces mots : UTRIQUE PARATUS – Prêt pour l’un comme pour l’autre.
UN VRAI PARDON ?
C’était il y a des dizaines d’années...
Message de parents à leur fils : « Reviens à la maison. Cesse de courir après les fleurs et les hippies ; la véritable valeur, c’est le foyer...Quand tu seras disposé à rentrer, préviens nous !..Nous avons loué ta chambre...
(à méditer)
COMMENT JÉSUS ENSEIGNAIT-il ?
- « Comment Jésus enseignait-il », dit un pasteur à ses élèves de l’école du dimanche ? « Était-ce comme un pasteur en chaire ? »
- « Non, dit un garçon, il parlait bien, Lui... »
(M. Graber)
QUAND NOUS IRONS AU CIEL
Quand nous irons au ciel, trois choses vont nous surprendre :
1) Nous y voir.
2) Ne pas voir ceux qu’on croyait y voir.
3) Y voir ceux qu’on ne croyait pas y voir.
(M. Graber)
LE PILOTE ET LE CHENAL
LE PILOTE ET LE CHENAL
Au large d’un port, un paquebot attendait le pilote qui devait le faire rentrer. Le pilote arrive, et d’une main sûre s’engage dans le chenal. Un passager curieux et inquiet lui pose alors cette question :
- Connaissez-vous donc tous les écueils de ce passage ?
- Non, dit le Commandant, je connais seulement le passage !
« Je suis le chemin, la vérité et la vie, dit Jésus, nul ne vient au Père que par moi. »
(La Bible, Évangile de Jean 14.7)
LE PORTRAIT DE CHARLES 1er ...
LE PORTRAIT DE CHARLES 1er...
A la National Gallery de Londres, figure un portrait de Charles 1er, qui se présente sous trois aspects différents. La tête du roi apparaît tournée vers la droite, puis vers la gauche et enfin vers le spectateur. Voilà l’histoire de ce portrait : Van Dyck a accompli cette œuvre pour le sculpteur romain Bernini, qu’il voulait aider à faire un buste du roi. En utilisant les impressions ainsi reçues, Bernini serait mieux à même de produire un buste « vivant ». Un seul aspect du visage n’aurait pas été suffisant.
Les Évangiles ont le même but. Chacun d’eux nous offre un trait caractéristique différente de la vie et de la personne de notre Seigneur Jésus-Christ. En les considérant ensemble, nous avons une vue parfaite. Il est Roi, selon Matthieu, serviteur, selon Marc, Fils de l’Homme selon Luc, Fils de Dieu, selon Jean.
Il y a donc quatre Évangiles, quatre récits, mais un seul but et une seule personne : CHRIST.
NE PAS ABANDONNER SON ASSEMBLEE
NE PAS ABANDONNER SON ASSEMBLÉE
La Bible déclare : « N’abandonnons pas notre assemblée, comme c’est la coutume de quelques-uns ; mais exhortons-nous réciproquement, et cela d’autant plus que vous voyez s’approcher le jour. » (Épître aux Hébreux 10.25)
L’évangéliste D.L.Moody, mondialement connu, rendait un jour visite à une femme dont la vie chrétienne laissait quelque peu à désirer. Elle lui expliqua qu’elle n’avait pas pu venir à l’église, et que d’un autre côté, elle ne comprenait pas ce qui lui était arrivé, pour qu’elle en soit parvenue à adopter une telle attitude envers les choses spirituelles. Sans dire un mot, M.Moody se leva et prit un morceau de charbon brûlant dans le foyer et le déposa sur le sol. En quelques instants, il perdit sa couleur rouge, redevint noir, et s’éteignit. «Je comprends », dit la femme. La leçon porta ses fruits.
On ne peut rayonner tout seul dans la vie chrétienne. Tout chrétien a besoin de la chaleur de la communion fraternelle. C’est un véritable commandement qui nous est adressé ici.
LES MAUVAISES HERBES DE NOTRE COEUR
LES MAUVAISES HERBES DANS NOTRE CŒUR
Deux hommes discutaient des différentes manières d’empêcher les mauvaises herbes de pousser dans un jardin, et n’arrivaient pas à s’entendre. Une troisième personne qui les avait écoutés jusque là, leur dit alors : « Mes amis, vous n’avez pas la même opinion sur ce qui peut détruire complètement les mauvaises herbes dans votre jardin. L’un pense que le feu pourra y parvenir, et l’autre pense, au contraire, qu’il ne fera qu’accélérer leur croissance, après coup ; mais vous serez certainement d’accord avec moi sur un point. C’est qu’aucune mauvaise herbe ne poussera dans ce jardin tant que le feu y brûlera ».
Ranimons le feu dans notre cœur. Il est si facile de le laisser mourir. Cela empêchera les mauvaises herbes de pousser dans notre vie. Faisons en sorte que notre amour pour Christ brûle toujours, en le servant.
Mots d'enfants ...
Mots d'enfants...
Lucile revient enthousiaste de l'instruction biblique: - « C'est quand même merveilleux, tu te rends compte, Daniel qui sort de la fosse aux lions, comme ça, sans une rature ! »
LA MEILLEURE PREUVE
LA MEILLEURE PREUVE
Une marchande de fruits était assise à l'entrée d'un pont, derrière son étal.
Souvent, lorsqu'elle n'avait pas de client, elle passait le temps en lisant sa Bible, qui lui avait déjà apporté tant de bénédictions.
- « Quel livre lisez-vous donc ? », lui demanda un Monsieur qu'elle venait de servir.
- « C'est la Bible, Monsieur, la Parole de Dieu ».
- « Ah! Et comment savez-vous que la Bible est la Parole de Dieu ? Qui vous a raconté cela ? » - « Dieu lui-même! »
- « Est-ce que Dieu vous a parlé ? »
La vendeuse fut un peu embarrassée, car comment expliquer que la Bible est la Parole de Dieu ? Levant les yeux, elle montra le soleil éclatant et dit:
- « Monsieur, pouvez-vous me prouver que c'est le soleil ? »
- « Vous le prouver ? », répondit-il, « mais c'est bien simple. La meilleure preuve c'est qu'il me donne la lumière et la chaleur ».
- « C'est juste, c'est exactement cela! », s'écria la femme, « la preuve que la Bible est véritablement la Parole de Dieu, c'est qu'elle donne à mon cœur lumière et chaleur ».
UNE LETTRE D'AMOUR
UNE LETTRE D'AMOUR
Une princesse reçut de son fiancé, pour son anniversaire, un petit paquet rond.
Elle l'ouvrit et trouva...un petit boulet de canon. Déçue et fâchée, elle jeta la boule noire dans un coin de la pièce. Mais, voilà que, en tombant, l'enveloppe extérieure céda et une boule d'argent apparut. La princesse la ramassa tout de suite ; en la tournant entre ses doigts, elle pressa dessus et...un étui d'or sortit de la gaine d'argent. Il ne fut pas difficile de l'ouvrir aussi. A l'intérieur, sur du velours noir, il y avait une magnifique bague, sertie de diamants étincelants, avec ces quelques mots : « Par amour pour toi ! »
De nombreuses personnes pensent que la Bible est un livre repoussant. Beaucoup de choses qui y sont écrites sont trop personnelles et incompréhensibles. Pourtant celui qui pénètre un peu plus profondément dans ces choses, celui qui ne se contente pas de rester à la surface, découvrira toujours de nouvelles beautés et sera bientôt frappé par la clarté du message de Dieu dans ces pages sacrées :
« PAR AMOUR POUR TOI ! »
RISQUES INHÉRENTS A LA LECTURE DE LA BIBLE
LES GROTTES DE QUMRAN
En 1947, un jeune berger arabe, qui s'était égaré dans la région de la Mer Morte, découvrit près des ruines de Qumran, dans les falaises, une ouverture qui semblait être l'entrée d'une grotte encore inexplorée. Il y pénétra en rampant, et trouva, à l'intérieur, une quantité de cruches d'argile contenant des rouleaux de parchemin.
Plus tard, on sut que dans les premiers siècles, on cachait ainsi les précieux écrits dans des grottes, pour éviter qu'ils ne soient détruits pendant les guerres.
Le jeune berger prit un de ces rouleaux et constata avec surprise que c'était de ces précieux documents tant recherchés par les érudits.
La découverte de ces documents donna lieu à une chasse sauvage entre les Arabes avides d'argent d'une part, et les érudits d'autre part.
Au cours des années suivantes, d'autres cachettes semblables furent découvertes dans la région. Et les prix des rouleaux atteignirent bientôt des millions.
Cette découverte sensationnelle des livres de la Mer Morte a mis en mouvement le monde des savants et aujourd'hui encore on travaille à déchiffrer ces textes.
Pour nous, le rouleau contenant le livre du prophète Esaïe est de loin le plus important. Il est conservé dans la bibliothèque de l'Université de Jérusalem.
Grâce au compteur Geiger, un instrument de mesure employé par les physiciens, il a pu être établi que le rouleau d'Esaïe, découvert à Qumran, avait été écrit avant l'an 70 de notre ère.
Ces écrits donnent une preuve de plus contre les érudits qui disent que la Bible est remplie d'erreurs. Ils pensaient en effet que ces vieux livres révèleraient les inexactitudes du livre d'Esaïe. Mais de soigneuses recherches prouvent tout le contraire.
Qu'il est précieux pour tous ceux qui lisent la Bible de savoir que ces vieux écrits ne sont qu'une nouvelle preuve de la véracité et de l'exactitude des Saintes Écritures.
La Parole de Dieu est comme un roc. Elle est inébranlable.
« Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » (Jésus, Évangile de Matthieu 24.35)
LA BIBLE NE PEUT ETRE CONTREDITE
AUCUN RESULTAT des sciences,
ni de l'archéologie, ses recherches et ses fouilles,
ni de la physique, et l'étude de la nature,
ni de la géologie (examen des roches et des couches terrestres)
ni de l'astronomie...
n'est en contradiction avec la Bible.
Pouvait-il en être autrement ?
Est-ce que Dieu qui a créé l'univers et qui est la sagesse parfaite pouvait se contredire Lui-même ?
La Bible est parfaite.
On ne dore pas l'or véritable, ni ne peint les rubis, pas plus qu'on ne peut améliorer la Bible.
Il n'est pas nécessaire d'allumer une lampe pour voir le soleil. Le soleil n'a pas besoin de prouver qu'il est le soleil. Il l'est.
Il en est de même pour la Bible. Elle porte le sceau de Dieu.
SOURIEZ A LA VIE
Il y a quelques années, une dame traversait une gare de chemin de fer, lorsqu'un homme âgé, qu'elle ne connaissait pas, l'arrêta et lui dit gauchement :
– Excusez-moi, Madame, mais je voudrais tant vous remercier.
– Me remercier, et de quoi ?
– De ce que vous m'avez conduit à la source du bonheur. En effet, j'étais receveur de billets à la station de X et, chaque fois que vous passiez, vous m'adressiez un aimable sourire accompagné d'un bonjour amical. Vous n'avez aucune idée de ce que cette attention a été pour moi. Par la pluie et par le beau temps, c'était toujours la même chose, ainsi je me disais: « Comment cette dame sourit-elle toujours ? On ne peut pas être toujours heureux, pourtant elle en a l'air ». Et je me rendais compte que ce sourire devait venir de l'intérieur. Or un matin, je vis dans votre main un livre que je sus être une Bible, et aussitôt je me dis: « Qui sait si ce n'est pas là qu'elle puise son sourire ? » Le soir même, en retournant chez moi, j'achetai une Bible, je la lus, et j'ai trouvé Christ. Maintenant, moi aussi, je puis sourire ».
COMPRENDRE LA BIBLE
Un missionnaire en tournée trouve un Africain avec une Bible et lui donne quelques explications, puis un livre pour l'aider à comprendre. Au bout d'un certain temps, nouvelle visite du missionnaire qui demande à l'Africain si son livre l'a aidé à comprendre la Bible :
- Oh, non ! répond l'homme, je me sers de la Bible pour comprendre ton livre !
CHRIST AU CENTRE DE LA PREDICATION
Un dimanche matin, un prédicateur, en montant en chaire, trouva une feuille de papier portant ces mots: « Nous voudrions voir Jésus » (Jean 12.21).
Il fut bouleversé. Il se mit à chercher Dieu plus profondément, et à sonder la Parole de Dieu avec zèle. Il fut transformé. Sa prédication aussi.
Plus tard, remontant en chaire, il trouva un autre mot qui reprenait aussi un texte de l'Ecriture: « Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur. » (Jean 20.20)
LE COMPLOT DES OUTILS
« Comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous d'entrailles de miséricorde, de bonté, d'humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres, et, si l'un a sujet de se plaindre de l'autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonnés, pardonnez-vous aussi. Mais par-dessus toutes ces choses, revêtez-vous de la charité, qui est le lien de la perfection. Et que la paix de Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne dans vos cœurs. Et soyez reconnaissants. » (La Bible, Colossiens 3.12-15)
A propos de tolérance...
Il était une fois, il y a très longtemps de cela, dans un petit village nordique, un atelier de charpentier. Un jour que le Maître était absent, les outils se réunirent en grand conseil sur l'établi. Il s'agissait d'exclure de la communauté des outils un certain nombre de ses membres.
Un premier outil prit la parole: « Il nous faut, dit-il, exclure notre sœur la scie, car elle mord et elle grince des dents. Elle a le caractère le plus grincheux du monde ».
Un autre dit: « Nous ne pouvons pas conserver parmi nous notre frère rabot qui a le caractère tranchant et qui épluche tout ce qu'il touche ».
« Quant au frère marteau, dit un troisième, je lui trouve le caractère assommant. Il est tapageur. Il cogne toujours et nous tape sur les nerfs. Excluons- le... »
« Et les clous ? Dit encore un autre, peut-on vivre avec ceux qui ont le caractère aussi pointu ? Qu'ils s'en aillent ! Et que la lime et la râpe s'en aillent aussi ! A vivre avec elles, ce n'est que frottement perpétuel ! Et qu'on chasse le papier de verre dont il semble que la raison d'être dans cet atelier soit de toujours froisser ! »
Vous voyez d'ici la pagaille. Tout le monde parlait à la fois. Et, à la fin, tout le monde se trouvait exclu, chaque outil par tous les autres.
Le tintamarre prit fin subitement quand le charpentier entra dans l'atelier. On se tut quand on le vit s'approcher de l'établi. Il saisit une planche et la scia avec la scie qui grince. Il la rabota avec le frère rabot qui épluche tout ce qu'il touche.
Notre sœur la râpe au langage rude et le frère papier de verre qui froisse, entrèrent successivement en action. Le charpentier prit alors nos frères les clous au caractère pointu et le marteau qui fait du tapage. Il se servit de tous ces outils au méchant caractère pour fabriquer...
un berceau !