MESSAGES HEBDOMADAIRES

 

 

ILS ONT DIT VRAI

 

Jésus-Christ a dit de lui-même : « Je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut aller au Père que par moi ». Il est le chemin qui mène à Dieu le Père, la vérité qui ne change jamais, la vie qui ne prend jamais fin.

 

Des centaines d’années avant que Jésus naisse dans la paille d’une étable de Bethléhem, les prophètes anciens ont écrit sur sa venue.

 

Ils ont prédit avec exactitude de nombreux faits et détails le concernant. Et tous se sont parfaitement accomplis et sans la moindre exception. Chacune de leurs prophéties se réalise en lui. Il est l’accomplissement parfait de la promesse de Dieu. Il a été – et il est aujourd’hui – l’espoir donné à toute l’humanité.

 

 

 

 

 

TOUT COMMENCE A CHANGER

 

L’espoir auquel nous aspirons peut être trouvé, même au sein du chaos et de la confusion. Et dès que l’on trouve l’espoir, tout commence à changer. La vie devient différente, indescriptible… Incroyablement nouvelle. A travers l’Histoire et sur les cinq continents, des centaines de millions de gens ont fait l’expérience de cette découverte et témoignent de sa réalité. Ils ont trouvé l’espoir et, en même temps, la paix. Pas juste une sensation de bien-être, mais une paix profonde indépendante des circonstances. Une véritable paix qui irradie tout l’être intérieur.

Quiconque trouve cette paix en découvrant la voie qui mène à Dieu : Jésus-Christ. Il a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (La Bible, Evangile de Jean 14.6) Il est la source de la véritable paix. Il est mort sur la croix pour expier nos péchés. En nous repentant sincèrement, et en croyant au pardon que Dieu nous accorde au travers de son Fils Jésus, nous recevons la paix divine, incomparable, inimitable, surnaturelle.

La Bible dit : « Dieu a voulu que toute plénitude habite en lui [Jésus-Christ] ; il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même… en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix. « (Epître aux Colossiens 1.19-20)

 

 

 

 

AU CŒUR DE LA TEMPÊTE

 

En plus des problèmes de ce monde, il y a une autre sorte de fléau auquel il faut faire face. Et il est en nous. Pour être honnête, nous voyons tant de choses en nous que nous aimerions ne pas trouver. Les cicatrices de blessures anciennes et d’injustices. Des peurs qui paralysent. La colère qui ne veut pas s’en aller. Des attentes et des rêves évanouis. Une solitude déprimante. Un désir insatisfait de paix et de bien-être. Et un assortiment embarrassant de péchés, d’échecs, d’orgueil et de promesses non tenues.

Nous avons beau essayer, nous n’arrivons pas à réparer le monde. D’ailleurs, nous ne pouvons même pas nous réparer nous-mêmes. Nous sommes totalement incapables de nous libérer de la crainte, de neutraliser la colère ou de remplir le vide que nous portons au-dedans de nous-mêmes. Nous sommes tout aussi incapables d’ôter la culpabilité qui pèse tant sur notre conscience. Incapables de pardonner nos propres péchés. Tout cela nous dépasse. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il y a une solution. Il y a une réponse !

Trouver l’espoir, c’est faire trois découvertes remarquables. Celle du chemin qui mène à Dieu. Celle de la vérité qui ne change jamais. Celle de la vie qui ne prend jamais fin. En fait, il n’y a qu’une seule découverte et non pas trois… Toutes se résument en une seule personne : Dieu fait homme, Jésus le Christ. Il est l’expression de l’amour parfait et qui dure. Il veut devenir votre Sauveur et votre Seigneur.

 

 

 

DECOUVRIR LA SOURCE

 

Trouver l’espoir, c’est trouver la source même de la vie. C’est comme faire la découverte de la seule source au monde qui produit une eau parfaitement pure, parfaitement désaltérante… Cette eau qui guérit les blessures les plus profondes et étanche les soifs les plus intenses. 

Ce n’est pas un secret : le monde va mal, et il ne s’arrange pas. Les guerres perdurent. Les famines s’installent. Les maladies s’étendent, les crises éclatent. Les cataclysmes tuent, mutilent et détruisent. Les tragédies personnelles frappent sans prévenir. Soumis à des circonstances qui les dépassent, des millions de victimes sont balayées par les événements et emportées par les flots en furie !

Jésus est venu sur notre terre, et il a étanché les soifs de ceux qui étaient dans la détresse. Ils ont cru en lui et n’ont pas été déçus.

Jésus a dit : « Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. » (La Bible, évangile de Jean 7.37).

A une femme dont l’existence était plus que chaotique, et qui n’avait jamais trouvé le bonheur vrai, Jésus lui dit : « Quiconque boit de cette eau aura encore soif ; mais celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. » (La Bible, évangile de Jean 4.13-14)

Jésus a dit encore : « Celui qui croit en moi n’aura jamais soif. » (La Bible, évangile de Jean 6.35)

Les dernières lignes de la Bible proclament l’invitation de Jésus, un appel adressé à quiconque : « Que celui qui a soif vienne ; que celui qui veut prenne de l’eau de la vie gratuitement. » (Apocalypse 22.17)

Ne voulez-vous pas venir à Jésus ? Croire en lui ? L’appeler à votre secours ? Lui demander de pardonner vos péchés et de devenir votre Sauveur et votre Seigneur ?

 

 

 

UN PHENOMENE EXTRAORDINAIRE

 

Dès l’instant où nous avons commencé à prendre forme dans le ventre de notre mère, un phénomène extraordinaire s’est déclenché en nous. C’est le processus merveilleux de la vie physique.

Et pourtant, elle a ses limites et même une fin. Il n’y a pas d’exception à la règle. Pas d’exemption. C’est pourquoi il est capital de trouver l’espoir. 

L’espoir commence par une naissance d’un autre ordre : une naissance spirituelle, qui est le point de départ d’une vie nouvelle. Là aussi c’est un processus merveilleux. Et en plus, cette vie n’a pas de fin. C’est la promesse de la vie éternelle, une vie remplie et pleine de sens, dès maintenant et bien au-delà de notre propre mort.

Cette vie éternelle, Dieu vous l’offre. Saisissez-la !

Jésus a dit : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (La Bible, Evangile de Jean 3.16)

Et encore : « La vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ » (La Bible, Evangile de Jean 17.3)

L’apôtre Jean a écrit : « Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu (La Bible, 1° épître de Jean 5.13)

 

 

 

CELUI QUI NE PRIE PAS…

 

Un paysan avait été invité à un grand repas. Il était à table avec des hôtes très distingués. Le repas commença sans que personne ne paraisse éprouver le besoin de prier. Seul le paysan joignit discrètement les mains, et remercia en silence son Père céleste.

Un citadin, très sûr de lui, dit avec ironie : « Cher ami, chez vous, à la campagne, vous avez sûrement tous gardé l’habitude de prier ? »

« Non », répondit le paysan, « je ne peux pas en dire autant ».

« Ah », dit l’autre d’un ton triomphant, « sans doute seulement les vieux et les retardés ».

« Non », fut la réponse. « Voyez-vous, dans mon étable, j’ai une truie et sept porcelets ; eh bien, ils ne prient pas. Mais, le bétail mis à part, chacun remercie tout naturellement son Créateur pour la nourriture et la boisson ».

Le citadin en eut la bouche fermée.

 

La Bible dit : « Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des remerciements. » (Epître aux Philippiens 4.6)

 

 

 

LA BIBLE NE PEUT ÊTRE CONTREDITE

 

Aucun résultat des sciences,

ni de l’archéologie (et de ses recherches et fouilles)

ni de la physique (et de l’étude de la nature)

ni de la géologie (de l’examen des roches et des couches terrestres)

ni de l’astronomie (et de l’étude des étoiles)…

 

n’est en contradiction avec la Bible.

 

Pouvait-il en être autrement ?

 

Est-ce que Celui qui a créé l’univers et qui est la sagesse pouvait se contredire Lui-même ?

 

La Bible est parfaite.

On ne dore pas l’or véritable, ni ne peint les rubis, pas plus qu’on ne peut améliorer la Bible.

Il n’est pas nécessaire d’allumer une lampe pour voir le soleil. Le soleil n’a pas besoin de prouver qu’il est le soleil ; il l’est.

Il en est de même pour la Bible. Elle porte le sceau de Dieu.

 

 

 

GRANDS NETTOYAGES

 

La Bible dit : « Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle création: les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont faites nouvelles' ». (2 Corinthiens 5.17)  

 

Quel triste aspect que celui de la paroi de sa chambre à coucher ! Partout d'affreuses images, des photos sans valeur.  

 

Et voilà qu'un jour, l'oncle, un artiste peintre vint en visite. Ce spectacle l'attrista, mais il ne dit rien. Quelques jours plus tard, le neveu recevait de son oncle un tableau particulièrement beau, un chef-d'oeuvre.  

 

Le tableau eut la place d'honneur sur le mur, et quelques-unes des autres photos disparurent ainsi.  

 

Il semblait y avoir maintenant une autre atmosphère dans la pièce; une atmosphère beaucoup plus saine, car, l'une après l'autre les affreuses images disparurent. Elles n'avaient plus leur place dans cette chambre.  

 

Si vous vous mettez à lire la Bible, il est fort probable qu'une chose ou l'autre disparaisse aussi de la paroi de votre chambre, ou de votre bibliothèque.  

 

Et qui sait, peut-être que quelque chose disparaîtra aussi d'un coin obscur de votre coeur.   

 

La Bible nous rapporte qu’ « un certain nombre de ceux qui avaient exercé les arts magiques, ayant apporté leurs livres, les brûlèrent devant tout le monde: on en estima la valeur à cinquante mille pièces d'argent. C'est ainsi que la parole du Seigneur croissait en puissance et en force. » (Actes des Apôtres 19.19, 20)  

 

 

 

 

LE THEME PRINCIPAL DE LA BIBLE

 

Le thème principal de la lettre de Dieu (la Bible) est le suivant :

 

1. Vous êtes pécheur. Dieu doit vous juger.

 

2. Mais « Dieu est amour » (1° Epître de Jean 4.8), et il veut vous pardonner tous vos péchés. Il peut le faire parce que son Fils, le Seigneur Jésus, a été châtié à la place des pécheurs, et a payé leur dette.

 

Cela s’applique à chacun. Celui qui confesse sincèrement ses péchés à Dieu et qui croit que le Sauveur a tout accompli pour lui à la croix, est sauvé.

 

Cette lettre d’amour contient d’immenses richesses : plus de 1 000 promesses sont la part de tous ceux qui acceptent le Seigneur.

 

Quelle réponse donnerez-vous à cette lettre venue du ciel ?

    

 

 

REGARDANT A JESUS (suite 12)

 

A Jésus, et non point à notre foi.

La dernière ruse de l’Adversaire, quand il ne peut nous faire regarder ailleurs, c’est de détourner nos yeux de notre Sauveur sur notre foi, et ainsi de nous décourager si elle est faible, de nous enorgueillir si elle est forte, dans l’un et l’autre cas de nous affaiblir. Car ce n’est pas de la foi que vient la force, mais du Sauveur, par la foi ; ce n’est pas en regardant notre regard, c’est en regardant Jésus.

 

A Jésus, et c’est de lui et en lui que nous apprendrons à connaître,

non seulement sans danger, mais pour le bien de nos âmes, ce qu’il est bon que nous connaissions du monde et de nous-mêmes, de nos misères, de nos périls, de nos ressources, de nos victoires ; voyant toutes choses sous leur vrai jour parce que c’est lui qui nous les fera voir, et cela seulement dans le temps et dans la mesure où cette connaissance portera en nous des fruits d’humilité et de sagesse, de gratitude et de courage, de vigilance et de prière. Tout ce qu’il est désirable que nous sachions, Jésus nous en instruira ; tout ce que nous n’apprendrons pas de lui, il nous vaut mieux ne pas le savoir.

 

Regardant à Jésus,

pendant le temps qui nous reste sur la terre, - à Jésus de moment en moment, sans nous laisser distraire ni par les souvenirs d’un passé que nous devons laisser derrière nous, ni par les préoccupations d’un avenir dont nous ne connaissons rien.

 

A Jésus maintenant,

si nous n’avons jamais regardé à lui.

 

A Jésus de nouveau,

si nous avons cessé de le faire.

 

A Jésus seul,

 

A Jésus encore,

 

A Jésus toujours,

 

d’un regard de plus en plus assidu, de plus en plus assuré, « transformés en la même image de gloire en gloire » (2 Corinthiens 3.18) ; et ainsi attendant l’heure où il nous appellera à passer de la terre au ciel et du temps à l’éternité, l’heure promise, l’heure bénie où enfin « nous lui serons semblables, parce que nous le verrons tel qu’il est » (1 Jean 3.2).

 

Théodore MONOD 

    

 

 

REGARDANT A JESUS… (suite 11)

 

A Jésus, et non point au degré de sanctification où nous sommes parvenus.

Si nul ne devait se croire enfant de Dieu tant qu’il continue à trouver des taches dans son cœur et des chutes dans sa vie, qui donc pourrait goûter la joie du salut ? Mais cette joie n’est point à ce prix. La sainteté est le fruit de notre rédemption, elle n’en est pas la racine : c’est l’œuvre de Jésus-Christ pour nous qui nous réconcilie avec Dieu, c’est l’œuvre du Saint-Esprit en nous qui nous renouvelle à sa ressemblance. L’imperfection d’une foi sincère, mais encore peu affermie et peu féconde, n’altère en rien la plénitude de l’œuvre parfaite du Sauveur, ni la certitude de sa promesse immuable, assurant la vie éternelle à quiconque se confie en lui. Aussi bien, nous reposer sur le Rédempteur est le vrai moyen de lui obéir, et c’est seulement dans la paix du pardon que l’âme est forte pour la lutte. Que s’il en est qui abusent de cette bienheureuse vérité pour s’abandonner sans scrupule au relâchement spirituel, s’autorisant de la foi qu’ils pensent avoir pour faire bon marché de la sainteté qu’ils n’ont pas, il convient de leur rappeler cette solennelle déclaration de l’apôtre Paul : « Ceux qui sont à Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses convoitises » (Galates 5.24), et celle-ci de l’apôtre Jean : « Celui qui dit : Je l’ai connu, et qui ne garde point ses commandements, est menteur, et la vérité n’est point en lui » (1 Jean 2.4) ; et cette autre de Jésus lui-même : « Tout arbre qui ne porte point de bon fruit est coupé et jeté au feu » (Matthieu 7.19).

 

Théodore MONOD 

(à suivre)    

 

 

 

REGARDANT A JESUS… (suite 10)

 

A Jésus, et non point au degré de douleur que nous font éprouver nos péchés, 

ou au degré d’humiliation qu’ils produisent en nous. Si seulement nous en sommes assez humiliés pour ne plus nous complaire en nous-mêmes, si nous en sommes assez affligés pour regarder à Jésus afin qu’il nous en délivre, c’est tout ce qu’il demande de nous, et c’est aussi ce regard qui, plus que tout le reste, fera couler nos larmes et tomber notre orgueil. Et quand il nous est donné, comme à Pierre, de pleurer amèrement (Luc 22.62), oh ! qu’alors nos yeux voilés demeurent plus que jamais attachés sur lui, car notre repentance même nous deviendrait un piège si nous pensions effacer en quelque mesure par nos larmes ces péchés que rien n’efface, sinon le sang de l’Agneau de Dieu.

 

A Jésus,  et non point à la vivacité de notre joie, 

à la fermeté de notre assurance, ou à la ferveur sensible de notre amour. Autrement, pour peu que cet amour semble s’attiédir, que cette assurance soit ébranlée, que cette joie vienne à nous faire défaut – soit par l’effet de notre infidélité, soit pour l’épreuve de notre foi – tout aussitôt, notre émotion perdue, nous croirons avoir perdu notre force, et nous nous laisserons aller à un abattement funeste, si ce n’est à une lâche inactivité et peut-être à des murmures coupables. Ah ! plutôt, souvenons-nous que si parfois l’émotion et sa douceur nous manquent, la foi et sa puissance nous restent, et pour pouvoir « abonder en tout temps dans l’œuvre du Seigneur » (1 Corinthiens 15.58), regardons sans cesse, non pas à nos cœurs toujours mobiles, mais à Jésus toujours le même.

 

Théodore MONOD 

(à suivre)    

 

 

REGARDANT A JESUS… (suite 9)

 

et non point au succès apparent de nos efforts. 

Le succès apparent n’est pas la mesure du succès réel ; et d’ailleurs, Dieu ne nous a pas donné ordre de réussir mais de travailler ; c'est de notre travail qu'il nous demandera compte, et non pas de notre succès, — pourquoi donc nous en préoccuper ? À nous de jeter la semence, à Dieu de cueillir le fruit ; si ce n'est aujourd'hui, ce sera demain ; si ce n'est par nous, ce sera par d'autres. Lors même que le succès nous est accordé, il est toujours dangereux d'y fixer nos regards : d'une part, nous sommes tentés de nous en attribuer quelque chose; d'autre part, nous nous accoutumons ainsi à laisser se ralentir notre zèle quand nous cessons d'en apercevoir l'effet, c'est-à-dire dans le temps même où il faudrait redoubler d'énergie. Regarder au succès, c'est marcher par la vue; regarder à Jésus et persévérer à le suivre et à le servir, en dépit de tous les découragements, c'est marcher par la foi.  

 

 

A Jésus,  et non point aux dons spirituels… 

…que nous avons reçus déjà ou que nous recevons maintenant de lui. Quant à la grâce d'hier, elle a passé avec l'œuvre d'hier ; nous ne pouvons plus en faire usage, nous ne devons plus nous y arrêter ; quant à la grâce d'aujourd'hui, donnée pour l'œuvre d'aujourd'hui, elle nous est confiée, non pour la regarder, mais pour l'employer, — non pour la faire sonner dans nos mains et nous estimer riches, mais pour la dépenser aussitôt et demeurer pauvres, « regardant à Jésus ».    

 

Théodore MONOD 

(à suivre)    

 

 

 

 

REGARDANT A JESUS…

(suite 8)

 

et non point à la loi.

La loi donne des ordres et ne donne point de force pour les exécuter ; la loi condamne toujours et ne pardonne jamais ; nous replacer sous la loi, c'est nous soustraire à la grâce. Dans la mesure où nous faisons de notre obéissance le moyen de notre salut, nous perdons notre paix, notre force, notre joie, pour avoir oublié que Jésus est « la fin de la loi en justice à tout croyant » (Romains 10.4). Aussitôt que la loi nous a contraints de chercher en Lui notre seul Sauveur, c'est à Lui seul aussi de nous commander l'obéissance ; une obéissance qui ne s'étend à rien moins que notre cœur tout entier et nos pensées les plus secrètes, mais qui a cessé d'être un joug de fer et un fardeau insupportable pour devenir un joug aisé et un fardeau léger (Matthieu 11.30) ; une obéissance qu'il rend aimable en même temps qu'obligatoire, une obéissance qu'il inspire en même temps qu'il la prescrit, et qui, à le bien prendre, est moins une conséquence de notre salut qu'elle n'est une partie de ce salut même, et, comme tout le reste, une grâce.

 

À Jésus, et non point à ce que nous faisons pour lui. 

Trop occupés de notre œuvre, nous pouvons oublier notre Maître, — il est possible d’avoir les mains pleines et le cœur vide; occupés de notre Maître, nous ne pouvons pas oublier notre œuvre: si le cœur est rempli de son amour, comment les mains ne seraient-elles pas actives à son service ?

 

Théodore MONOD

(à suivre)  

 

 

 

REGARDANT A JESUS…

(suite 7)

 

A Jésus, et non point à nos péchés, 

à la source dont ils procèdent (Matthieu 15.19), au châtiment qu’ils méritent. Ne regardons à nous-mêmes que pour reconnaître combien nous avons besoin de regarder à lui, et cela non pas assurément comme si nous n’étions point pécheurs, mais, au contraire, parce que nous le sommes, mesurant la grandeur même de notre offense à celle du sacrifice qui l’a expiée et de la grâce qui la pardonne. « Pour un regard que nous portons sur nous-mêmes, disait un éminent serviteur de Dieu (Mac Cheyne), portons-en dix sur Jésus. »  - « S’il est bien prouvé, dit Vinet, que nous ne perdrons pas de vue notre misère en regardant Jésus-Christ crucifié, parce que cette misère est comme gravée sur la croix, il est bien prouvé aussi qu’en regardant à notre misère nous pouvons perdre de vue Jésus-Christ, parce que la croix n’est pas naturellement gravée dans l’image de notre misère » ; et il ajoute : « Regardez-vous vous-mêmes, mais en présence de la croix, mais à travers Jésus-Christ » (Etudes évangéliques, « Le Regard »). La contemplation du péché ne donne que la mort, la contemplation de Jésus donne la vie ; ce qui guérissait l’Israélite au désert, ce n’était pas de considérer ses plaies, mais de lever les yeux vers le serpent d’airain (Nombres 21.9).

 

A Jésus, et non point – est-il besoin de le dire ? – à notre prétendue justice.

Malade entre tous les malades est celui qui se croit en santé, aveugle entre les aveugles celui qui pense y voir clair (Jean 9.41) ; s’il est dangereux de regarder longtemps à notre misère, hélas ! trop réelle, il est bien plus dangereux de nous reposer complaisamment sur des mérites imaginaires. 

 

Théodore MONOD

(à suivre)  

 

 

 

REGARDANT A JESUS…

(suite 6)

 

A Jésus, et non point aux instruments quels qu’ils soient, de ses dispensations à notre égard.

Par-delà les hommes, par-delà les circonstances, par-delà les mille causes nommées à si juste titre secondes, remontons jusqu’à la cause première, sa volonté ; remontons jusqu’à la source de cette volonté elle-même, son amour. Alors notre reconnaissance, sans être moins vive envers ceux qui nous font du bien, ne s’arrêtera pas à eux ; alors, au jour de l’épreuve, sous le coup le plus inattendu, le plus inexplicable, le plus accablant, nous pourrons dire avec le Psalmiste : « Je me suis tu, et je n’ai point ouvert la bouche, parce que c’est toi qui l’as fait » (Psaume 39.10), et dans le silence de notre muette douleur nous répondra doucement la voix céleste : « Tu ne sais pas maintenant ce que je fais, mais tu le sauras dans la suite » (Jean 13.7).

 

A Jésus, et non point aux intérêts de notre cause, 

de notre parti, de notre église, bien moins encore à nos intérêts personnels. L’unique objet de notre vie, c’est la gloire de Dieu ; si nous n’en faisons pas le but suprême de nos efforts, nous nous privons nécessairement de son secours, car sa grâce n’est au service que de sa gloire. Si, au contraire, c’est sa gloire que nous cherchons avant tout, nous pouvons toujours compter sur sa gloire.

 

A Jésus, et non point à la sincérité de nos intentions,

à la fermeté de nos résolutions. Hélas ! combien de fois les desseins les plus excellents n’ont servi qu’à préparer les défaites les plus humiliantes ! Appuyons-nous, non sur nos intentions, mais sur son amour ; non sur nos résolutions, mais sur sa promesse.

 

A Jésus, et non point à notre force.

Notre force n’est bonne qu’à nous glorifier nous-mêmes ; pour glorifier Dieu, il faut la force de Dieu.

 

A Jésus, et non point à notre faiblesse.

A lamenter notre faiblesse, sommes-nous jamais devenus plus forts ? Regardons à Jésus, et sa force se communiquera à nos cœurs. Sa louange éclatera sur nos lèvres.

 

Théodore MONOD

(à suivre)  

 

 

 

 

REGARDANT A JESUS…

(suite 5)

 

A Jésus, et non point à ses ennemis et aux nôtres.

Au lieu de les haïr et de les redouter, nous saurons alors les aimer et les vaincre.

 

A Jésus, et non point aux obstacles 

qui se rencontrent sur notre chemin. Dès que nous nous arrêtons à les considérer, ils nous étonnent, nous ébranlent, nous abattent, incapables que nous sommes de comprendre soit la raison pour laquelle ils sont permis, soit le moyen par lequel nous les pourrons surmonter. L’apôtre fut englouti sitôt qu’il se prit à regarder aux vagues agitées par la tempête ; c’est tandis qu’il regardait à Jésus qu’il marcha sur les flots comme sur un rocher (Matthieu 14.29, 30). Plus notre tâche est difficile, plus nos tentations sont redoutables, plus il importe que nous regardions uniquement à Jésus.

 

A Jésus, et non point à nos afflictions,

Pour en calculer le nombre, pour en estimer le poids, pour trouver peut-être je ne sais quelle étrange satisfaction à en savourer l’amertume. Hors de Jésus, l’affliction ne sanctifie pas, elle endurcit ou elle écrase. Elle produit, non la patience, mais la révolte ; non la sympathie, mais l’égoïsme ; non l’espérance (Romains 5.3-5), mais le désespoir. C’est seulement à l’ombre de sa croix que nous pouvons apprécier la juste mesure de la nôtre, l’accepter chaque jour de sa main, la porter avec amour, avec actions de grâces, avec joie, y trouver pour nous-mêmes et pour d’autres une source de bénédictions.

 

A Jésus, et non point aux plus chères, aux plus légitimes de nos joies terrestres,

De peur d’en être tellement captivés qu’elles nous dérobent la vue de Celui même qui nous les donne. Regardant à lui tout d’abord, c’est de lui que nous recevrons ces bienfaits, plus précieux mille fois parce que nous les tiendrons de sa bonté, pour les confier à sa garde, pour en jouir dans sa communion, et pour en user à sa gloire.

 

Théodore MONOD

(à suivre)  

 

 

 

 

REGARDANT A JESUS…

(suite 4)

 

A Jésus, et non point à nos méditations et à nos prières,

A nos conversations pieuses et à nos lectures édifiantes, aux saintes assemblées que nous fréquentons, ni même à notre participation à la cène du Seigneur ; usons fidèlement de tous ces moyens de grâce, mais sans les confondre avec la Grâce elle-même, et sans détourner notre regard de Celui qui seul les rend efficaces, quand, par leur intermédiaire, il se communique lui-même à nous. 

 

A Jésus, et non point à notre position dans l’Eglise chrétienne,

à la famille à laquelle nous appartenons à notre baptême, à l’éducation que nous avons reçue, à la doctrine que nous professons, à l’idée que d’autres se font de notre piété ou à celle que nous nous en faisons nous-mêmes. Plusieurs de ceux qui auront prophétisé au nom de Jésus l’entendront un jour leur dire : « Je ne vous ai jamais connus » (Matthieu 7.22, 23) ; mais il confessera devant son Père et devant ses anges jusqu’au plus humble de ceux qui auront regardé à lui.

 

A Jésus, et non point à nos frères,

non pas même aux meilleurs d’entre eux et aux plus aimés. En suivant un homme, nous courons le risque de nous égarer ; en suivant Jésus, nous sommes certains de ne nous égarer jamais. D’ailleurs, à mettre un homme entre Jésus et nous, il arrive qu’insensiblement l’homme grandit et Jésus diminue ; bientôt nous ne savons plus trouver Jésus quand nous ne pouvons pas trouver l’homme, et si celui-ci vient à nous manquer, tout nous manque ; au contraire, si Jésus se tient entre nous et notre plus intime ami, notre attachement à l’homme sera tout ensemble moins direct et plus profond, moins passionné et plus doux, moins nécessaire et plus utile, instrument de riches bénédictions entre les mains de Dieu lorsqu’il lui plaira de s’en servir, et dont l’absence nous sera une bénédiction encore, lorsqu’il lui plaira de s’en dispenser, pour nous rapprocher d’autant plus du seul ami dont ne nous puissent séparer « ni la mort ni la vie » (Romains 8.38, 39).   

 

Théodore MONOD

(à suivre)  

 

 

 

 

REGARDANT A JESUS…

(suite 3)

 

A Jésus, et non point à nous-mêmes,

à nos pensées, à nos raisonnements, à notre imagination, à nos goûts, à nos désirs, à nos projets.

 

A Jésus, et non point au monde,

à ses convoitises, à ses exemples, à ses maximes, à ses jugements.

 

A Jésus, et non point à Satan,

soit qu’il cherche à nous effrayer par ses fureurs ou à nous séduire par ses flatteries. Oh ! combien nous nous épargnerons de questions inutiles, de scrupules inquiets, de temps perdu, de dangereux pourparlers avec le mal, de dissipation d’esprit, de vains rêves, de désappointements amers, de luttes douloureuses, de chutes lamentables, en regardant tout droit à Jésus ! Suivons-le partout où il nous mènera. Ne perdons pas de vue le sentier qu’il nous trace sans donner même un coup d’œil aux chemins dans lesquels il ne juge pas à propos de nous conduire.

 

A Jésus, et non point à nos systèmes,

si évangéliques qu’ils puissent être. La foi qui sauve, qui sanctifie et qui console, ce n’est pas l’assentiment à la doctrine du salut, c’est l’attachement à la personne du Sauveur. « Il ne suffit pas, disait Adolphe Monod, de savoir Jésus-Christ, il faut avoir Jésus-Christ » ; à quoi l’on peut ajouter que nul ne le connaît véritablement si d’abord il ne le possède. Selon la parole profonde du disciple bien-aimé, c’est dans la vie qu’est la lumière, et c’est en Jésus qu’est la vie (Jean 1.4)

 

(à suivre)  

 

 

 

 

REGARDANT A JESUS

(suite 2)

 

… qui, rentré dans la maison du Père (Jean 14.2) s’occupe à nous y préparer une place, pour que cette bienheureuse perspective nous fasse vivre dans l'espérance et nous prépare à mourir dans la paix, quand viendra le jour de rencontrer ce dernier ennemi qu'il a vaincu pour nous, que nous vaincrons par Lui.

 

Regardant à Jésus

 

… dont le retour certain, à une époque incertaine, est de siècle en siècle l'attente et l'espoir de l'Eglise fidèle, qui s'encourage à la patience, à la vigilance et à la joie par la pensée que le Seigneur est proche. 

« Réjouissez-vous toujours dans le Seigneur; je le répète, réjouissez-vous. Que votre douceur soit connue de tous les hommes. Le Seigneur est proche » (Philippiens 4.4-5). 

« Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout votre être, l'esprit, l'âme et le corps, soit conservé irrépréhensible, lors de l'avènement de notre Seigneur Jésus Christ! » (1 Thessaloniciens 5.23)

 

Regardant à Jésus

 

… le chef et le consommateur de la foi, c’est-à-dire Celui qui en est le modèle et la source, comme il en est l'objet, et qui, du premier pas jusqu'au dernier, marche à la tête des croyants : afin que par Lui notre foi soit inspirée, encouragée, soutenue, amenée à sa consommation suprême.

 

 

(à suivre)  

 

 

 

REGARDANT A JESUS

(suite)

 

révélé par le Saint-Esprit, pour trouver dans sa communion constante la purification de nos cœurs souillés, l'illumination de nos esprits obscurcis, la transformation de nos volontés rebelles; pour être rendus capables de triompher de tous les assauts du monde et du malin, résistant à leur violence par Jésus notre force, déjouant leur ruse par Jésus notre sagesse ; soutenus par sa sympathie et par son secours, lui à qui aucune tentation n'a été épargnée, et qui n'a succombé à aucune.  

 

Regardant à Jésus 

 

qui donne la repentance aussi bien que la rémission des péchés, pour qu'il nous fasse la grâce de connaître, de déplorer, de confesser et de délaisser nos transgressions.  

 

Regardant à Jésus  

 

pour recevoir de lui la tâche el la croix de chaque jour, avec la grâce qui suffit pour porter la croix et accomplir la tâche; patients de sa patience, actifs de son activité, aimants de son amour ; demandant, non point: « Que puis-je ? » mais : « « Que ne peut-il pas ? » et nous attendant à sa vertu, qui se déploie tout entière dans l'infirmité.  

 

Regardant à Jésus  

 

pour sortir de nous-mêmes et nous oublier ; pour que nos ténèbres se dissipent à la clarté de sa face; pour que nos joies soient saintes et que nos douleurs soient sereines ; pour qu'il nous humilie et qu'il nous élève, pour qu'il nous afflige et qu'il nous console, pour  qu'il nous dépouille et qu’il nous enrichisse ; pour qu'il nous enseigne à prier et qu'il réponde à nos prières ; pour que, tout en nous laissant dans le monde, il  nous en sépare, notre vie étant cachée avec lui en Dieu, et notre conduite lui  rendant témoignage devant les hommes.

 

(à suivre)  

 

 

 

« …REGARDANT A JESUS… »

 

(La Bible, épître aux Hébreux 12.2)

 

Trois mots seulement, mais en trois mots c’est tout le secret de la vie.

 

Regardant à Jésus…

 

…dans la Bible, pour y apprendre ce qu’il est, ce qu’il a fait, ce qu’il donne, ce qu’il demande ; pour trouver dans son caractère notre modèle ; dans ses enseignements notre instruction ; dans ses préceptes notre loi ; dans ses promesses notre appui ; dans sa personne et dans son œuvre une pleine satisfaction offerte à tous les besoins de nos âmes.

 

Regardant à Jésus…

 

… crucifié, pour trouver dans son sang répandu notre rançon, notre pardon, notre paix.

 

Regardant à Jésus…

 

… ressuscité pour trouver en lui la justice qui seule nous justifie, et nous permet, tout indignes que nous sommes, de nous approcher avec assurance en son nom, de Celui qui est son Père et notre Père, son Dieu et notre Dieu.

 

Regardant à Jésus…

 

… glorifié, pour trouver en lui notre céleste avocat, complétant par son intercession l’œuvre de sa miséricorde et de notre salut, comparaissant maintenant même pour nous devant la face de Dieu.

 

(à suivre)

 

 

PREPARONS-NOUS A BIEN MOURIR

 

Ou plutôt, vivons bien dès maintenant, afin de pouvoir envisager la mort sans aucune crainte. Le sort de l’homme se règle ici-bas. Il est donc capital que nous décidions aujourd’hui de quelle manière nous voulons affronter l’éternité.

« Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse. » (Ps. 90.12)

« Voilà le Dieu qui est notre Dieu éternellement et à jamais; il sera notre guide jusqu'à la mort. » (Ps. 48.15)

Souvenons-nous sans cesse de Celui qui a vaincu la mort et vivons chaque jour de sa vie éternelle. Lorsqu’il nous faudra partir d’ici-bas, ce ne sera plus la mort pour nous. « J’aime bien la vie, j’en jouis intensément, mais j’aime bien aussi la pensée de mourir, d’aller vers Dieu. Pour moi, vivre et mourir sont une même joie » (A. Kamm).

« Tout est à vous, écrit Paul… soit la vie, soit la mort, soit les choses présentes, soit les choses à venir. Tout est à vous, et vous êtes à Christ, et Christ est à Dieu », 1 Cor.3.21-23. Si la mort même est à nous, c’est que nous en sommes maîtres par la foi. Puissions-nous en faire véritablement l’expérience !

 

 

NOUS VIVONS DES TEMPS APOCALYPTIQUES

 

« Comme Jésus s'en allait, au sortir du temple, ses disciples s'approchèrent pour lui en faire remarquer les constructions.

Mais il leur dit: Voyez-vous tout cela ? Je vous le dis en vérité, il ne restera pas ici pierre sur pierre qui ne soit renversée. » (Evangile de Matthieu 24.1-2)

 

C’est ce qui arriva en l’an 70. 

 

« Il s'assit sur la montagne des oliviers. Et les disciples vinrent en particulier lui faire cette question: Dis-nous, quand cela arrivera-t-il, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde ? » (Matthieu 24.3)

 

Les sectes :

 

« Jésus leur répondit: Prenez garde que personne ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant: C'est moi qui suis le Christ. Et ils séduiront beaucoup de gens. » (Matthieu 24.4-5)

 

Les guerres :

 

« Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerres: gardez-vous d'être troublés, car il faut que ces choses arrivent. Mais ce ne sera pas encore la fin. » (Matthieu 24.6)

 

Les conflits localisés :

 

« Une nation s'élèvera contre une nation… » (Matthieu 24.7)

 

L’affrontement de deux grands blocs, une guerre de civilisations :

 

« …et un royaume contre un royaume… » (Matthieu 24.7)

 

Les famines :

 

« … et il y aura, en divers lieux, des famines… » (Matthieu 24.7) 

 

Les tremblements de terre :

 

« …et des tremblements de terre. Tout cela ne sera que le commencement des douleurs. » (Matthieu 24.7-8)

 

La persécution des chrétiens :

 

« Alors on vous livrera aux tourments, et l'on vous fera mourir; et vous serez haïs de toutes les nations, à cause de mon nom. » (Matthieu 24.9)

 

Les courants religieux apostats :

 

« Plusieurs faux prophètes s'élèveront, et ils séduiront beaucoup de gens. » (Matthieu 24.11)

 

Un christianisme attiédi :

 

« Et, parce que l'iniquité se sera accrue, la charité du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé. » (Matthieu 24.12-13)

 

Une évangélisation planétaire :

 

« Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations. Alors viendra la fin. » (Matthieu 24.14)

 

Chrétiens, c’est l’heure de nous tenir prêts. Jésus vient !

 

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TOUT PLEINEMENT EN JÉSUS

 

Jésus a dit : « Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés! (Évangile de Matthieu 5.6)

 

Il a dit aussi : « Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. » (Évangile de Jean 6.35)

 

Il a dit encore : «Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez. » (Évangile de Matthieu 21.22)

 

La Bible dit : « Lui [Dieu], qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui? » (Épître de Paul aux Romains 8.32) 

 

 

 

SI DIEU EXISTE

 

Connaissez-vous des crises, secoué intérieurement par des tempêtes de toutes sortes ? Vous cherchez une voie, une issue, un terrain sûr et solide. Vous avez soif de réalité ! A considérer ceux qui se disent de Dieu, vous en éprouvez certaines aigreurs. Leurs religions respectives les rendent arrogants, égoïstes, on ne peut plus fiers très souvent. Vous continuez à chercher… Si Dieu existe, vous le voulez réel à vous, vrai à votre cœur et à votre intelligence. S’il existe, c’est d’une relation personnelle avec lui dont vous avez besoin, d’une authentique expérience. S’il est vraiment votre créateur, vous estimez avoir le droit de le connaître. Vous ne voulez pas seulement qu’on vous en dise quelque chose. Ce serait insuffisant. Et puis, vous en avez assez d’être trompé. Mais quel moment merveilleux ce serait si vous le rencontriez! L’impact sur votre vie serait tel qu’elle en serait toute changée, révolutionnée même. Votre existence prendrait une dimension nouvelle et serait enfin comblée. C’est une personne que vous découvririez dans cette rencontre et non une religion, un Dieu vivant et non un dogme ni une tradition. Une vie nouvelle s’ouvrirait à vous. Dieu deviendrait votre compagnon de route, un ami de tous les instants qui jamais ne manquerait.

 

Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie » (La Bible, évangile de Jean 14.6) Était-il insensé de s’exprimer ainsi ? Aucun homme de quelque siècle que ce soit, n’a pu tenir un tel propos. Nous l’aurions jugé fou ! Qu’en est-il de Jésus ? Ses ennemis mêmes de son vivant durent admettre que « jamais homme n’a parlé comme cet homme » (Jean 7.46) Quel aveu ! Comme il le fit il y a plus de vingt siècles, Jésus pose aujourd’hui la question : « Qui dites-vous que je suis ? » (La Bible, évangile de Matthieu 16.15) Pour certains, il fut le premier communiste, pour d’autres un révolutionnaire. D’autres encore ont tenté de le mettre de leur bord en l’interprétant à leur façon et en lui faisant prendre leur sillage.

 

Quant à la Bible, qu’en dit-on généralement ? S’est-on posé la question de savoir pourquoi elle est encore, contre vents et marées, le best-seller mondial ? En 2020, selon l'Alliance biblique universelle, la Bible intégrale a été traduite en 704 langues parlées au total par 5,7 milliards de personnes. Elle reste le livre le plus lu et le plus vendu au monde.

 

Voltaire jouant les prophètes prévoyait qu’elle disparaîtrait à jamais 30 ans après sa mort. Eh bien, 30 ans après lui, les premières sociétés bibliques commençaient à la diffuser massivement ! Jésus a dit : « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas. » (La Bible, évangile de Luc 21.33) 

 

N’avez-vous jamais eu, à l’occasion, l’honnêteté de vous pencher sur les paroles de Celui à partir duquel les hommes ont compté leurs jours ? Il serait grand temps pour vous de le faire…   

 

 

JÉSUS EST LE « TOUT-SUFFISANT »

 

«  Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne œuvre. » (La Bible, 2 Corinthiens 9.8)

 

« Mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus Christ. » (La Bible, Philippiens 4.19)

 

Jésus dit : « C'est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir. » (La Bible, Marc 11.24)

 

« Dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés. » (La Bible, Romains 8.37)

 

Jésus dit : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » (La Bible, Jean 15.7)

 

 

 

JESUS EST VOTRE SECURITE

 

Il a déclaré :

 

« Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. » (Jean 6.37)

 

« Mes brebis entendent ma voix; je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père. » (Jean 10.27-29)

 

La Bible dit :

 

« A celui qui peut vous préserver de toute chute et vous faire paraître devant sa gloire irrépréhensibles et dans l'allégresse, à Dieu seul, notre Sauveur, par Jésus-Christ notre Seigneur, soient gloire, majesté, force et puissance, dès avant tous les temps, et maintenant, et dans tous les siècles! Amen! » (Jude 24, 25)

 

« Le Seigneur est fidèle, il vous affermira et vous préservera du Malin. » (2 Thessaloniciens 3.3)

 

« Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ. »  (Philippiens 1.6)

 

 

   

LA BIBLE, SEUL ECRIT INSPIRE DE DIEU

 

La Bible est, pour les êtres humains que nous sommes, le « mode d'emploi » de la vie et des facultés que nous avons reçues. Ce n'est, bien évidemment, qu'une partie de la vérité. Ce livre est bien autre chose qu'un simple mode d'emploi. Il est la parole de Dieu révélée aux hommes.

Comment pouvons-nous affirmer cela aussi péremptoirement ? Chacun sait que la Bible est le livre saint des chrétiens. Mais pourquoi accepter la Bible comme le seul écrit inspiré de Dieu, et non d'autres livres sacrés, comme les Brâhmanas et les Upanishads de l'Hindouisme, pour ne citer que ceux-là ?

Notre réponse est simple : à cause d'un tombeau vide. Parce que Jésus-Christ est ressuscité des morts, et qu'il est vivant aujourd'hui, nous pouvons croire à la véracité de la Bible. Cette résurrection est le garant de notre foi, comme l'affirme l'apôtre Paul à ceux qui niaient la résurrection :

 

« Et si Christ n'est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine et votre foi aussi est vaine. Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l'égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu'il a ressuscité Christ, tandis qu'il ne l'aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point. Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n'est pas ressuscité. Et si Christ n'est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés. » (La Bible, 1 Corinthiens 15.14-17)

 

Ayant ainsi, par sa résurrection, prouvé son origine divine, Jésus, dont la vie admirable nous est décrite dans le Nouveau Testament, atteste la véracité de l'Ancien Testament [la première partie de la Bible], puisqu'il le cite à plusieurs reprises. Dans la synagogue de Nazareth, il va même jusqu'à reprendre, en les appliquant à lui-même, les paroles du prophète Ésaïe :

 

« L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du Seigneur. Ensuite, il roula le livre, le remit au serviteur, et s'assit. Tous ceux qui se trouvaient dans la synagogue avaient les regards fixés sur lui. Alors il commença à leur dire : Aujourd'hui cette parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre, est accomplie. » (Evangile de Luc 4.18-21)

 

Le Nouveau Testament [seconde partie de la Bible] nous relate l’histoire de Jésus, écrite par ceux-là même qui l’ont suivi, qui ont reçu son enseignement et l’ont transmis.

 

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LE MODE D'EMPLOI

 

Il y a une chose qui nous est particulièrement désagréable lorsqu'il nous arrive de nous procurer une machine d'occasion. Que ce soit un photocopieur, une tondeuse à gazon ou une chaudière à gaz, neuf fois sur dix le mode d'emploi est égaré. Que de tâtonnements, de déboires, et même à la limite, de dangers nous auraient été épargnés si nous avions eu le mode d'emploi !

Le matérialisme est un credo. Nous en fournissons la preuve. Le matérialiste est convaincu que le monde s'est fait tout seul. On parle du "Big Bang", cette explosion créatrice de l'univers par laquelle, paraît-il, tout a commencé. Mais personne. évidemment, ne l'a provoquée. Il suffit de croire qu'elle s'est faite toute seule !

Passons le brin d'herbe, la fleur des champs, les animaux de la forêt, le pigeon voyageur qui retrouve son chemin sur des milliers de kilomètres. le radar de la chauve-souris et bien d'autres merveilles dont nous sommes quotidiennement entourés, et arrêtons-nous seulement quelques instants sur la merveille des merveilles qu'est l'être humain. Quelle machine extraordinaire, géniale de complexité ! Eh bien, pour être matérialiste. il nous faut croire qu'elle s'est fabriquée toute seule, par étapes évolutives, au gré du hasard et de la nécessité ! Quelle conviction robuste ne faut-il pas pour croire une chose aussi incroyable !

Pour notre part. nous avouons humblement ne pas avoir cette créance-là. Nous préférons laisser parler cette intuition que nous portons au plus profond de nous-mêmes. et qui nous dit que quelqu'un est l'Auteur de tout cela. Mais s'il est vrai qu'il existe un Artisan à l'origine de la merveilleuse machine que nous sommes, il n'a quand même pas dû la livrer sans mode d'emploi !

Eh bien, ce mode d'emploi existe. C'est un livre qui, en dépit de tous les efforts déployés pour le détruire au cours des âges, est parvenu jusqu'à nous. Un livre absolument extraordinaire dans sa structure, dans son contenu, dans les effets qu'il produit dans la vie des hommes qui acceptent de le comprendre et d'y conformer leurs pensées et leurs actes. Ce livre est le plus grand best-seller de tous les temps. Ce livre, dans lequel nous avons reconnu l'authentique et divin mode d'emploi de notre vie, c'est la Bible.

 

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VOUS N’AVEZ PAS BESOIN D’UNE RELIGION

 

Les paroles de Jésus sont sans ambiguïté. Ce n'est pas en une religion qu'il nous demande de croire. mais en lui-même :

 

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. » (Jean 6. 47)

 

« Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé... » (Jean 10.9)

 

« Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14.6)

 

Notons bien qu’il ne s'agit pas d'une simple adhésion intellectuelle, comme de croire à Napoléon ou à Clovis. Croire en Jésus. c'est mettre toute sa confiance dans ce que Dieu nous dit de lui dans l'Évangile. Le Saint-Esprit vient alors opérer dans le croyant une véritable renaissance spirituelle lui permettant d'avoir avec le Christ ressuscité une relation personnelle, capable de créer en lui les sentiments et les pensées de Jésus.

La position de Jésus est radicale. Il n'y a pas d'autre moyen de salut qu'en lui, et en lui seul. L'apôtre Pierre fait écho à cette affirmation :

 

« Il n'y a de salut en aucun autre ; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes 4.12)

 

Tout syncrétisme est donc exclu. L'adage populaire : « Toutes les religions sont bonnes, pourvu qu'on les pratique », n'a aucune place dans l'économie de la révélation biblique. C'est tout ou rien. On croit ou on ne croit pas en Jésus, et cela entraîne des conséquences dramatiques. Voici ce qu'en dit l'apôtre Jean :

 

« Et voici ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle. et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. » (1 Jean 5.11-12)

 

Faisant écho aux paroles de Jésus lui-même :

 

« Celui qui croit au Fils a la vie éternelle ; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » (Jean 3.36)

 

Le choix est très simple : 

 

Première attitude :

 

Ou nous croyons, avec le témoignage de la Bible et de l'Histoire que Jésus est réellement ce qu'il prétend être. Nous faisons bien alors de l'accepter dans notre vie comme notre Sauveur personnel. Comme il affirme être le seul chemin vers Dieu. tout système religieux qui ne le reconnaît pas comme tel est nécessairement erroné.

Deuxième attitude :

 

Ou nous disons que Jésus n'est pas véridique. Il n'est alors rien de moins qu'un vulgaire imposteur, et n'est donc absolument pas l'homme admirable que l'on dit. Un menteur de cet acabit se laissant déifier par ses fans. ne mériterait que le mépris.

 

Nous devons accepter le fait qu'il n'y a pas ici de demi-mesure. Si nous sommes honnêtes, nous devons reconnaître que demeurer dans un clair-obscur, disant que Jésus est un des grands personnages de l'Histoire, qui a laissé un grand exemple moral à l'humanité, faisant de lui le premier humaniste, sans pour autant croire en ses paroles, est une attitude inacceptable. Penser ainsi, c'est fuir ses responsabilités, c'est adopter la politique de l'autruche. c'est faire preuve d'une totale incohérence intellectuelle.

 

On ne peut être qu'entièrement pour lui, ou entièrement contre lui.

Quand on accepte le premier terme de l'alternative. on voit vite que l'enseignement de Jésus tient la route, et qu'il est possible d'avoir avec Dieu une véritable relation d'amour. Et lorsqu'on possède cela, on n'a plus besoin d'une religion, quelle qu'elle soit. On a retrouvé sa dimension spirituelle perdue !

 

 

 

CROIS-TU QUE JÉSUS EST LA PAIX ?

 

La Bible dit : « Maintenant, en Jésus-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. Car il est notre paix, lui qui des deux [les Juifs et les non-Juifs] n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation, l'inimitié... » (Éphésiens 2.13-14)

 

La Bible dit : «  Donner à l'empire de l'accroissement, et une paix sans fin au trône de David et à son royaume, l'affermir et le soutenir par le droit et par la justice, dès maintenant et à toujours: Voilà ce que fera le zèle de l'Éternel des armées. » (Esaïe 9.6-7)

 

La Bible dit : « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ. » (Romains 5.1)

 

Jésus a dit : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. » (Jean 14.27) 

 

 

 

L’AMOUR DE JESUS POUR NOUS

 

La Bible dit : « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. » (Romains 5.8)

 

La Bible dit : « Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres; car l'amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour. L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui. Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés.

Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres. Personne n'a jamais vu Dieu; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous. » (1 Jean 4.7-12)

 

La Bible dit : « que Christ habite dans vos cœurs par la foi; afin qu'étant enracinés et fondés dans l'amour, vous puissiez comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l'amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu'à toute la plénitude de Dieu. » (Ephésiens 3.17-19)

 

  

JESUS EST LE SEIGNEUR. LE CROIS-TU ?

 

La Bible dit : « Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. » (Philippiens 2.9-11)

Jésus a reçu le nom qui est au-dessus de tout nom. Il est le Seigneur, le souverain Dominateur de ce règne qu’il est venu fonder par son sacrifice ; une dignité que toute langue doit confesser avec adoration.

 

Jésus lui-même a dit : « Pourquoi m'appelez-vous Seigneur, Seigneur! et ne faites-vous pas ce que je dis? » (Luc 6.46)

Jésus met en garde ses disciples contre le service des lèvres et la fausse profession. Dans ce domaine, c’est l’épreuve qui montre ce que vaut un homme.

 

L’apôtre Pierre a déclaré : « Que toute la maison d'Israël sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » (Actes 2.36)

Puissant appel de l’apôtre, adressé finalement à tous, qui doivent reconnaître avec certitude que Dieu a constitué Jésus comme le Seigneur, le Maître de tous et de toutes choses !

 

L’apôtre Paul a écrit : « Si nous vivons, nous vivons pour le Seigneur; et si nous mourons, nous mourons pour le Seigneur. Soit donc que nous vivions, soit que nous mourions, nous sommes au Seigneur. » (Romains 14.8)

Le chrétien ne s’appartient plus. Dans la vie comme dans la mort, son être entier est consacré au Seigneur. S’il vit, c’est pour servir le Seigneur ; s’il meurt, c’est pour aller auprès du Seigneur. Son unique préoccupation est de servir le Seigneur.

 

  

CROIS-TU QUE JESUS EST LE SAUVEUR DU MONDE ?

 

La Bible dit : « Il [Dieu] nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint Esprit, qu'il a répandu sur nous avec abondance par Jésus Christ notre Sauveur. » (Tite 3.5-6)

Il nous a sauvés, non pas à cause des actions justes que nous avons pu faire, mais parce qu'il a eu pitié de nous. Il nous a sauvés par le bain de la nouvelle naissance et par l'Esprit Saint qui nous donne une vie nouvelle. Cet Esprit Saint, Dieu l'a répandu généreusement sur nous, par Jésus-Christ notre Sauveur.

 

La Bible dit : « Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde. » (1 Jean 4.14)

Le Père a envoyé son Fils pour sauver le monde. Nous, nous avons vu cela et nous en rendons témoignage.

 

La Bible dit : « Car le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » (Luc 19.10)

En effet, le Fils de l'homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu.

 

La Bible dit : « Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16)

Oui, Dieu a tellement aimé le monde qu'il a donné son Fils unique. Ainsi, tous ceux qui croient en lui ne se perdront pas loin de Dieu, mais ils vivront avec lui pour toujours.

 

La Bible dit : « Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. » (Romains 10.9)

Est-ce que ta bouche affirme devant tous que Jésus est le Seigneur? Est-ce que tu crois dans ton cœur que Dieu l'a réveillé de la mort? Dans ce cas, tu seras sauvé.

 

La Bible dit : « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu; et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus Christ. » (Romains 3.23-24)

Tous ont péché et tous sont privés de la gloire de Dieu. Mais dans sa bonté, Dieu les rend justes gratuitement par Jésus-Christ, qui les libère du péché.

 

Crois-tu cela ? L’as-tu expérimenté ?

 

  

OU EN ÊTES-VOUS ?

 

Lorsque les années passent, les services de santé nous invitent à faire régulièrement le point sur nos différentes affections passées et sur notre état général associé aux divers médicaments dont nous avons besoin pour une meilleure vie quotidienne.

Il en va de même pour notre vie chrétienne, appelée à s'enrichir, se fortifier et porter du fruit au fil des années qui passent.

 

Dans le récit de la Genèse, après la chute, Dieu interpelle Adam et Ève par une question: « Où es-tu? » (Genèse 3.8-9). Cette parole, nous pouvons l'entendre de bien des manières: « Où en es-tu dans ta vie? Où en es-tu dans ta relation avec moi ? Où en es-tu dans tes relations avec les autres? »

 

Quelles que soient la forme et la déclinaison que prendra la question, elle aura toujours une double orientation, verticale et horizontale. En effet, la question est posée à des personnes qui se cachent, qui se cachent de Dieu et qui se cachent d'elles-mêmes. En somme, à des personnes qui portent parfois dans leur vie un masque. Aussi, lorsque Dieu nous pose cette même question, c'est le signe qu'il y a quelque chose de précis qui mérite une réponse. Et si je l'entends, je dois l'accueillir comme une invitation à me situer puis à cultiver l'échange avec Dieu. Il nous faut alors faire attention aux réponses qui pourraient être autant de manières de nous cacher.

 

À l'inverse, voilà une réponse claire et franche: « J'ai entendu ta voix dans le jardin, j'ai eu peur parce que je suis nu; je me suis donc caché » (Genèse 3.10). C'est la réponse honnête de quelqu'un qui accepte de sortir de sa cachette, de son intimité et de se montrer à Dieu tel qu'il est, en reconnaissant ses limites et ses besoins.

 

Savez-vous où vous en êtes ? Savez-vous où vous allez ? Savez-vous comment se porte votre foi au Christ Ressuscité ?

 

  

LE PLAN DU SALUT DIVIN

 

1. Selon le plan du salut de Dieu, Jésus-Christ est né par le Saint-Esprit de la vierge Marie. La Bible dit :

« ...Lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme... » (Galates 4.4)

Après son baptême, il a commencé à annoncer la bonne nouvelle du salut. Accomplissant de grands miracles, il a démontré qu’il est le Messie et le Sauveur promis. Mais le peuple juif ne l’a pas accueilli comme tel et l’a fait crucifier par les Romains. Trois jours après sa mort, Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts comme il l’avait annoncé. La Bible dit : 

« Jésus leur dit: C'est là ce que je vous disais lorsque j'étais encore avec vous, qu'il fallait que s'accomplît tout ce qui est écrit de moi dans la loi de Moïse, dans les prophètes, et dans les psaumes. Alors il leur ouvrit l'esprit, afin qu'ils comprissent les Écritures. Et il leur dit: Ainsi il est écrit que le Christ souffrirait, et qu'il ressusciterait des morts le troisième jour... » (Luc 24.44-46)

 

2. Jésus-Christ s’est donné comme sacrifice sur la croix à la place des pécheurs pour le pardon de leurs offenses et pour leur réconciliation avec Dieu. La Bible dit :

« Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire. Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; et nous l'avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. » (Esaïe 53.2-6)

 

3. Jésus-Christ a détruit la puissance de la mort, du péché et remporté une grande victoire sur le diable et sur les démons. La Bible dit :

« Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable. » (1 Jean 3.8)

« Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est à dire le diable, et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude. » (Hébreux 2.14-15)

 

4. Dieu a formé un peuple issu de toutes les nations (Israël premièrement, les nations ensuite). Ce peuple est l’Église. Dieu a envoyé les membres de l’Église dans le monde avec la mission de prêcher la bonne nouvelle du salut à toute la création. La Bible dit :

« Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit... » (Mt 28.19)

« Puis il [Jésus] leur dit: Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. » (Marc 16.15) 

 

5. Nous vivons actuellement dans une période de grâce durant laquelle chaque personne repentante et croyante en Christ peut être sauvée. La Bible dit :

« Puisque nous travaillons avec Dieu, nous vous exhortons à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. Car il dit: Au temps favorable je t'ai exaucé, au jour du salut je t'ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. » (2 Corinthiens 6.1-2)

« Quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé. » (Romains 10.13)

 

 

 

 

QUE FAUT-IL FAIRE POUR ÊTRE SAUVE ?

 

1. Accepter humblement que nous sommes des pécheurs et que nous avons besoin d’être sauvés. La Bible dit :

«  Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (Romains 3.23)

 

2. Reconnaître que nous ne pouvons pas nous sauver par nos bonnes œuvres ou nos efforts :

« C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les œuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Éphésiens 2.8-9)

 

3. Reconnaître que le salut est le don gratuit de Dieu et que nous pouvons être sauvés seulement par la grâce de Dieu au moyen de la foi :

« Le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur. » (Romains 6.23)

«  La grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. » (Tite 2.11)

 

4. Reconnaître et accepter que le salut s’obtient uniquement par une foi personnelle en Jésus-Christ et en son sacrifice offert sur la croix. Croire et proclamer que Jésus-Christ est le Seigneur et le Sauveur :

Jésus dit : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. » (Jean 14.6)

« Dieu notre Sauveur... veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous. » (1 Timothée 2.4-6)

« Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » (Actes 4.12)

« En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce. » (Éphésiens 1.7)

« Sachant que ce n'est pas par des choses périssables, par de l'argent ou de l'or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous avez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d'un agneau sans défaut et sans tache... » (1 Pierre 1.18-19)

 

5. Nous repentir de nos péchés commis et y renoncer. Donner entièrement notre vie à Dieu par le baptême d’eau :

« Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres: Hommes frères, que ferons-nous? Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés. » (Actes 2.37-38)

« Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés. » (Actes 3.19)

« Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils aient à se repentir. » (Actes 17.30)

Jésus dit : « ...Si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. » (Luc 13.3)

« Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1.8-9)

 

 

POURQUOI AVONS-NOUS BESOIN DU SALUT DE DIEU ?

 

1. Nous sommes des êtres humains perdus, déchus et privés de l’état glorieux prévu pour nous par Dieu. La Bible dit :

 

« L'Éternel Dieu dit: Voici, l'homme est devenu comme l'un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d'avancer sa main, de prendre de l'arbre de vie, d'en manger, et de vivre éternellement. Et l'Éternel Dieu le chassa du jardin d'Éden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été pris. C'est ainsi qu'il chassa Adam; et il mit à l'orient du jardin d'Éden les chérubins qui agitent une épée flamboyante, pour garder le chemin de l'arbre de vie. » (Genèse 3.22-24)

 

« Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé; nous sommes tous flétris comme une feuille, et nos crimes nous emportent comme le vent. » (Esaïe 64.5)

 

« Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (Romains 3.23)

 

2. Nous sommes esclaves du péché, de la maladie, de toutes sortes de corruptions et de la mort. La Bible dit :

 

« Il n'y a point de juste, Pas même un seul; nul n'est intelligent, nul ne cherche Dieu; tous sont égarés, tous sont pervertis; il n'en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul… Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (Romains 3.10-12, 23)

 

« Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. » (1 Jean 1.8)

 

« Jésus dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, quiconque se livre au péché est esclave du péché. » (Jean 8.34)

 

3. Depuis la chute, nous nous trouvons sous l’influence et la domination du diable et de ses démons. La Bible dit :

 

« Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. » (1 Jean 5.19)

 

« Jésus dit : Maintenant a lieu le jugement de ce monde; maintenant le prince de ce monde sera jeté dehors. » (Jean 12.31)

 

4. Après la mort, un jugement terrible nous attend. La Bible dit :

 

« il est réservé aux hommes de mourir une seul fois, après quoi vient le jugement. » (Hébreux 9.27)

 

« Puis je vis un grand trône blanc, et celui qui était assis dessus. La terre et le ciel s'enfuirent devant sa face, et il ne fut plus trouvé de place pour eux. Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. La mer rendit les morts qui étaient en elle, la mort et le séjour des morts rendirent les morts qui étaient en eux; et chacun fut jugé selon ses oeuvres. Et la mort et le séjour des morts furent jetés dans l'étang de feu. C'est la seconde mort, l'étang de feu. Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. » (Apocalypse 20.11-15)

 

5. L’homme ne peut se sauver de cette situation tragique. La Bible dit :

 

« Ils ont confiance en leurs biens, et se glorifient de leur grande richesse. Ils ne peuvent se racheter l'un l'autre, ni donner à Dieu le prix du rachat. » (Psaume 49.7-8)

 

« Comment d'un être souillé sortira-t-il un homme pur ? Il n'en peut sortir aucun. » (Job 14.4)

 

6. Le salut vient uniquement de Dieu. La Bible dit :

 

« Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16) 

 

 

 

PLACEZ VOTRE CONFIANCE DANS LES PROMESSES DE DIEU

 

Jésus dit : « Que votre coeur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi. Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n'était pas, je vous l'aurais dit. Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi. » (Jean 14.1-3)

 

« Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation, qui nous console dans toutes nos afflictions, afin que, par la consolation dont nous sommes l'objet de la part de Dieu, nous puissions consoler ceux qui se trouvent dans quelque l'affliction ! » (2 Corinthiens 1.2-4)

 

« Tu es bon, Seigneur, tu pardonnes, tu es plein d'amour pour tous ceux qui t'invoquent. Éternel, prête l'oreille à ma prière, sois attentif à la voix de mes supplications ! Je t'invoque au jour de ma détresse, car tu m'exauces. » (Psaume 86.5-7)

 

« Ne crains point, petit troupeau; car votre Père a trouvé bon de vous donner le royaume. » (Luc 12.32)

 

« Ne crains rien, car je suis avec toi; ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu; je te fortifie, je viens à ton secours, je te soutiens de ma droite triomphante. » (Esaïe 41.10)

 

« Je t'appelle par ton nom: tu es à moi ! Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; et les fleuves, ils ne te submergeront point; si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, et la flamme ne t'embrasera pas. Car je suis l'Éternel, ton Dieu, le Saint d'Israël, ton sauveur. » (Esaïe 43.1-3)

 

« Comme un berger, il paîtra son troupeau, il prendra les agneaux dans ses bras, et les portera dans son sein; il conduira les brebis qui allaitent. » (Esaïe 40.11)

 

 

 

LES 7 PLUS BELLES ASSURANCES DE PRIERES

EXAUCEES DANS LA BIBLE

 

Jésus dit : « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » (Jean 15.7)

 

« Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu'il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée. » (1 Jean 5.14-15)

 

« Mais Dieu m'a exaucé, il a été attentif à la voix de ma prière. Béni soit Dieu, qui n'a pas rejeté ma prière, et qui ne m'a pas retiré sa bonté! » (Psaume 66.19-20)

 

« C'était pour cet enfant que je priais, et l'Éternel a exaucé la prière que je lui adressais. » (1 Samuel 1.27)

 

« Je te loue, parce que tu m'as exaucé, parce que tu m'as sauvé. » (Psaume 118.21)

 

Jésus dit : « C'est pourquoi je vous dis: Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et vous le verrez s'accomplir. » (Marc 11.24)

 

« J'aime l'Éternel, car il entend ma voix, mes supplications; car il a penché son oreille vers moi; et je l'invoquerai toute ma vie. » (Psaume 116.1-2)

 

EN CONCLUSION :

 

Jésus dit à tous : « Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira. Car quiconque demande reçoit, celui qui cherche trouve, et l'on ouvre à celui qui frappe. » (Mathhieu 7.7-8)

Beaucoup de croyants sincères rejoignent le Psalmiste, car ensemble ils peuvent dire : « l'Éternel entend la voix de mes larmes; l'Éternel exauce mes supplications, l'Éternel accueille ma prière. » (Psaume 6.9-10)

L’apôtre Paul recommandait : « Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. » (Philippiens 4.6)

 

 

LES 15 GRANDES PRIÈRES D’ACTION DE GRÂCES

 

1. Action de grâces à Dieu pour sa bonté – par David :

Psaumes 100, 103, 106, 107

 

2. Action de grâces à Dieu pour sa délivrance – par Israël après le passage de la Mer Rouge :

(Exode 15)

 

3. Action de grâces à Dieu pour la naissance de Samuel – par Anne :

1 Samuel 2.1-10

 

4. Action de grâces à Dieu pour sa Parole – par le psalmiste :

Psaume 119

 

5. Action de grâces pour avoir échappé à Babylone – par Esdras

Esdras 7.27

 

6. Action de grâces pour avoir enfanté le Christ – par Marie :

Luc 1.46-51

 

7. Action de grâces à Dieu pour la naissance de Christ – par les anges :

Luc 2.13-14

 

8. Action de grâces à Dieu pour l’enfant Jésus – par Siméon et Anne :

Luc 2.25-38

 

9. Action de grâces à Dieu pour sa sagesse – par David et Paul :

Psaume 139 ; Romains 11.33-36

 

10. Action de grâces pour le privilège de souffrir pour Dieu – par les disciples, et par Paul et Silas :

Actes 5.41 et 16.24-25

 

11. Action de grâces à Dieu pour sa bienveillance – par David :

Psaume 136

 

12. Action de grâces à Dieu pour sa magnifique création – par David, par les vingt-quatre anciens au ciel :

Psaumes 8 et 19 ; Apocalypse 4.10-11 ; 15.3-4

 

13. Action de grâces pour la merveilleuse rédemption divine – par les héritiers du ciel :

Apocalypse 5.8-14 ; 7.9-12

 

14. Action de grâces à Dieu pour son contrôle sur toutes choses – par les vingt-quatre anciens au ciel :

Apocalypse 11.16-18

 

15. Action de grâces à Dieu pour son juste jugement – par une foule nombreuse dans le ciel :

Apocalypse 19.1-10

 

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13 CONSEILS SUR LA PRIÈRE

 

1. « Ne vous inquiétez de rien; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. » (Philippiens 4.6)

 

2. « Jésus leur adressa une parabole, pour montrer qu'il faut toujours prier, et ne point se relâcher. » (Luc 18.1)

 

3. « Persévérez dans la prière, veillez-y avec actions de grâces. » (Colossiens 4.2)

 

4. « Priez sans cesse. Rendez grâces en toutes choses, car c'est à votre égard la volonté de Dieu en Jésus Christ. » (1 Thessaloniciens 5.17-18)

 

5. « Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce afin d'obtenir miséricorde et de trouver grâce, pour être secourus dans nos besoins. » (Hébreux 4.16)

 

6. « En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu. » (Luc 6.12)

 

7. « Bénissez ceux qui vous maudissent, priez pour ceux qui vous maltraitent. » (Luc 6.28)

 

8. « Trois fois j'ai prié le Seigneur de l'éloigner de moi, et il m'a dit: Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. » (2 Corinthiens 12.8-9)

 

9. « Faites en tout temps par l'Esprit toutes sortes de prières et de supplications. Veillez à cela avec une entière persévérance, et priez pour tous les saints. » (Éphésiens 6.18)

 

10. « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » (Jean 15.7)

 

11. « Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. » (1 Jean 3.21-22)

 

12. « Et, lorsque vous êtes debout faisant votre prière, si vous avez quelque chose contre quelqu'un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. » (Marc 11.25)

 

13. « Or, à celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au delà de tout ce que nous demandons ou pensons... » (Éphésiens 3.20)

 

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UN SAUVETAGE

 

          - Au secours, un enfant se noie !

          Des femmes lavant leur linge au bord du canal viennent de voir tomber à l'eau un garçon d'une dizaine d'années. Elles appellent à l'aide. Près de là, un homme peint les grilles d'un bâtiment des Ponts et Chaussées. Il accourt. Il voit une main hors de l'eau cherchant un appui. Il n'hésite pas un instant. C'est un excellent nageur. Il ne prend même pas le temps d'enlever sa veste. Il se jette à l'eau. De toutes ses forces il avance avec rapidité vers l'enfant pour l'arracher à la mort. Il parvient juste à temps à saisir la main de l'enfant et à le ramener sur la berge. Tout tremblant, le garçon se remet peu à peu de son angoisse. Il se jette au cou de cet homme. Il le serre fort et l'embrasse pour lui témoigner sa reconnaissance.

 

          Cet acte de sauvetage illustre le salut de notre âme.

 

          Par nos fautes, nous sommes en état de perdition. Nous essayons de nous accrocher à quelque chose et nous ne trouvons rien qui puisse nous permettre de sortir de notre position. L'homme ne peut se sauver lui-même. Il n'y a personne d'autre que Jésus-Christ qui puisse le sauver car « il n'y a, sous le ciel, aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes par lequel nous devions être sauvés ». (Actes 4:12)

 

          Le salut de l'âme est cependant plus qu'un sauvetage. C'est à la fois:

          La délivrance d'une situation de perdition sans issue,

          Une libération intérieure par l'apport d'un pardon total,

          La communication d'une joie sereine et de force divine pour vivre une vie nouvelle appuyée sur une espérance sûre d'une vie glorieuse au-delà du visible.

 

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 MAIS QUE SE PASSE-T-IL ?

 

          Nous vivons un cauchemar éveillé !

          Nous avions pourtant vu des tsunamis, des guerres civiles, des tremblements de terre, des éruptions volcaniques, des catastrophes épouvantables, des épidémies effrayantes, et nous pensions avoir tout vu.

          Mais non !

          Nous avons été informés de ce qui se passait au loin et nous pensions en être préservés.

          « Pas ici », pensions-nous.

          Mais non !

          Sont entrés dans notre quotidien et dans notre vocabulaire, depuis deux années, des mots qui font frémir : pandémie, distanciation, gestes barrières, cluster, confinement, mais surtout virus et Covid-19.

          Soudain, tout se fige, tout s’arrête !

          Le choc, et l’onde de choc, qui dure, et dure encore !

          Lorsqu’une personne apprend qu’elle est atteinte d’une maladie incurable et fatale, qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre, elle connaît un temps de sidération. Un anéantissement subit de ses forces qui laisse sans voix, sans énergie. Plongée dans un état de mort apparente : incompréhension et stupeur !

          Cet état de sidération touche désormais le monde entier, frappé par un virus mortel qui s’est répandu inexorablement jusque dans les coins les plus reculés. On égrène chaque jour le bilan morbide des décès, des personnes atteintes, des zones rouges, des hôpitaux saturés…

          Au cœur des incertitudes de tous les spécialistes surgit une évidence : rien ne sera plus comme avant : la fin de quelque chose s’est produite !

          Parfois, on ose une question : « A qui la faute ? »

          Lorsqu’un accident se produit, que survient un drame, voire une catastrophe même naturelle, on cherche un coupable. Comme si, dans l’accablement, il fallait pouvoir accuser quelqu’un d’autre et trouver un bouc-émissaire sur qui faire fondre sa colère, son sentiment d’injustice, sa soif de vengeance.

          Faut-il incriminer tel pays, tel laboratoire, telle économie, telle politique ? Qui faire payer ?

          Cependant, un dédommagement peut-il consoler de la mort, celle qui frappe à côté et jusque dans notre entourage ?

          Que faut-il donc faire ? Nul lieu où fuir, nul endroit épargné ; et faire l’autruche ne sauve pas !

          La personne qui apprend que sa mort est soudainement envisagée, chez qui l’échéance est connue, même malade et à l’article de la mort, va avoir tendance à revisiter sa vie. Elle pointera ce qui a vraiment eu de la valeur, elle regrettera ce qui a été terriblement superficiel, inutile et d’une triste banalité. Elle découvrira – mais un peu tard – que l’important et l’essentiel n’ont pas été souvent recherchés, et encore moins vécus.

          Mais mettre la pendule à l’heure, à l’heure de la mort, n’est-ce pas trop tard ?

          Réagir !… La pandémie à laquelle nous sommes confrontés depuis deux années, ne doit ni nous figer dans la peur, ni nous noyer dans la désespérance. C’est devant la réalité de la mort que le sens de la vie peut-être retrouvé.

          Osons parler de la vie !

          La vie n’est pas née de la volonté humaine ni du hasard. Elle vient d’ailleurs. Elle vient de Celui qui a créé l’univers.

          « Au commencement Dieu... » C’est ainsi que commence la Bible. D’une certaine manière, elle se termine par : « A la fin, Dieu ». Nous sommes donc dans un entre-deux, entre Dieu et rien !

          Notre soif, notre envie, notre instinct de vie et de survie prouvent bien que « rien » n’existe pas. Nous ne pouvons aspirer au néant !

          Trouver Dieu, le créateur, et lui faire confiance, ne nous sauvera pas de la pandémie, mais de la mort. Parce qu’alors la vie aura un sens, le vide comblé et l’échéance sera un passage, non une fin.

          Si le Coronavirus nous oblige à nous poser des questions sur ce qui est important dans la vie, ici et maintenant, et sur ce qui vaut la peine de connaître avant qu’il ne soit trop tard, alors ce mal n’aura pas été inutile pour nous. Il faut parfois un grain de sable pour bloquer la mécanique et nous obliger à l’arrêt, à la réflexion et aux bonnes décisions.

          Cette pause devient salutaire si elle peut nous orienter vers une découverte de la Bible et de son message qui transcende les siècles et ouvre sur la vie, et la vie éternelle.

          Le résumé de toute la Bible se trouve dans les Évangiles, au travers des actes et des paroles de Jésus-Christ.

          Le rencontrer _ car il se rencontre et se laisse rencontrer – c’est saisir la vie, au-delà de toutes les circonstances. Laissez-vous contaminer par l’amour et la bienveillance de Dieu, manifestés par Jésus-Christ : vous trouverez la guérison parfaite et définitive.

 

 

FAITES-LE MAINTENANT

 

          « Tournez-vous vers le Seigneur, maintenant qu’il se laisse trouver. Faites appel à lui, maintenant qu’il est près de vous. »  (Esaïe 55.6)

 

          Dieu déclare : « Au moment où se manifestait ma faveur, je t’ai écouté, au jour du salut, je suis venu à ton secours. » (2 Corinthiens 6.2)

 

          Alors, « comment pourrons-nous échapper à la punition si nous négligeons un tel salut ? Le Seigneur lui-même l’a annoncé le premier, puis ceux qui ont entendu le Seigneur nous en ont confirmé la valeur. » (Hébreux 2.3)

 

          Jésus dit : « Préoccupez-vous d’abord du Royaume de Dieu et de la vie juste qu’il demande, et Dieu vous accordera aussi tout le reste. » (Matthieu 6.33)

 

          « Ne te vante pas de ce que sera demain, car tu ignores ce qui se produira aujourd’hui. » (Proverbes 27.1)

 

          Jésus dit aussi : « A quoi sert-il à un homme de gagner le monde entier, si c’est au prix de sa vie ? » (Marc 8.36)

 

          Rappelez-vous : « Chacun de nous devra rendre compte à Dieu pour soi-même. » (Romains 14.12)

 

          « Tout être humain est destiné à mourir une seule fois, puis à être jugé par Dieu. » (Hébreux 9.27)

 

          Jésus a encore déclaré : « Oui, je vous le déclare, c’est la vérité : quiconque écoute mes paroles, et croit en celui qui m’a envoyé, possède la vie éternelle. Il ne sera pas condamné, mais il est déjà passé de la mort à la vie. » (Jean 5.24)

 

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 AYEZ CONFIANCE DANS SES PROMESSES

 

          Ce que Dieu promet dans sa Parole, la Bible, est infaillible et se réalise toujours. Maintenant, la question est de savoir comment nous traitons toutes les promesses de Dieu. En voici une parmi des milliers d’autres :

 

          « Ne le sais-tu pas ? Ne l'as-tu pas appris ? C'est le Dieu d'éternité, l'Éternel, qui a créé les extrémités de la terre; il ne se fatigue point, il ne se lasse point; on ne peut sonder son intelligence. Il donne de la force à celui qui est fatigué, et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance. Les adolescents se fatiguent et se lassent, et les jeunes hommes chancellent; mais ceux qui se confient en l'Éternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point. » (Esaïe 40.28-31)

          Dites alors, comme ce croyant : « Pour moi, je regarderai vers l'Éternel, je mettrai mon espérance dans le Dieu de mon salut; mon Dieu m'exaucera. » (Michée 7.7)

 

          Le prophète Jérémie rend ce témoignage :

          «L'Éternel est mon partage, dit mon âme; c'est pourquoi je veux espérer en lui. L'Éternel a de la bonté pour qui espère en lui, pour l'âme qui le cherche. Il est bon d'attendre en silence Le secours de l'Éternel. » (Lamentations de Jérémie 3.24-26)

 

          David parle du secours de Dieu dans les moments difficiles de sa vie :

          « Il m'a retiré de la fosse de destruction, du fond de la boue; et il a dressé mes pieds sur le roc, il a affermi mes pas. Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, une louange à notre Dieu; beaucoup l'ont vu, et ont eu de la crainte, et ils se sont confiés en l'Éternel. Heureux l'homme qui place en l'Éternel sa confiance ! » (Psaume 40.2-4)

 

          « Notre âme espère en l'Éternel; il est notre secours et notre bouclier. » (Psaume 33.20)

 

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SAISISSEZ PAR LA FOI LES PROMESSES DE DIEU

 

          Voici ce que déclare le Seigneur Dieu, l’unique vrai Dieu :

 

          « C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, c'est dans le calme et la confiance que sera votre force. Mais vous ne l'avez pas voulu! » (Esaïe 30.15)

 

          « Si tu te couches, tu seras sans crainte; et quand tu seras couché, ton sommeil sera doux. Ne redoute ni une terreur soudaine, ni une attaque de la part des méchants;

car l'Éternel sera ton assurance, et il préservera ton pied de toute embûche. » (La Bible, Proverbes 3.24-26)

 

          « Et voici ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. Et si nous savons qu'il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée. » (1 Jean 5.11-15)

 

          « A moi, qui suis le moindre de tous les saints, cette grâce a été accordée d'annoncer aux païens les richesses incompréhensibles de Christ, et de mettre en lumière quelle est la dispensation du mystère caché de tout temps en Dieu qui a créé toutes choses, afin que les dominations et les autorités dans les lieux célestes connaissent aujourd'hui par l'Église la sagesse infiniment variée de Dieu, selon le dessein éternel qu'il a mis à exécution par Jésus Christ notre Seigneur, en qui nous avons, par la foi en lui, la liberté de nous approcher de Dieu avec confiance. » (Ephésiens 3.8-12)

 

          « Espère en l'Éternel! Fortifie-toi et que ton coeur s'affermisse! Espère en l'Éternel! » (Psaume 27.14)

 

          « Fais de l'Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton coeur désire. Recommande ton sort à l'Éternel, mets en lui ta confiance, et il agira. Il fera paraître ta justice comme la lumière, et ton droit comme le soleil à son midi. Garde le silence devant l'Éternel, et espère en lui. » (Psaume 37.4-7)

 

 


 

MA CONFIANCE DANS SES PROMESSES

 

          La définition usuelle qui s’applique à une promesse, est celle d’une déclaration formelle exprimée par quelqu’un, selon laquelle il s’engage à la réaliser jusqu’à son achèvement. Celle-ci, contrairement à une menace, a souvent une connotation positive et dont l’issue est heureuse, digne de confiance.

          S’il y a promesse, nous pouvons donc croire que quelque chose de bon va arriver. Par contre, si quelque chose de mauvais se passe, alors nous appelons cela u abus de notre confiance.

          Ce que Dieu promet dans sa Parole est infaillible et se réalise toujours. Ceci se vérifie tout au long de ses déclarations, car il n’est pas homme pour nous tromper. Celui qui a promis est fidèle et il ne manque pas à ses promesses.

          Maintenant, la question est de savoir comment nous traitons toutes les promesses de Dieu. Ce qui nous sépare d’elles, entre nous et leur accomplissement, c’est le temps !

          Les promesses de Dieu sont une assurance pour ses enfants qui s’attendent avec confiance à leur réalisation. Aujourd’hui, je crois ; demain, je reçois. L’enjeu est de nous approprier aujourd’hui ce que Dieu a offert à chacun de nous depuis des siècles… Pour tous ses enfants par Jésus-Christ, il a un plan de salut et de délivrance.

          Même quand c’est difficile à croire, les promesses de Dieu demeurent inchangées. Rien ne peut bousculer ses intentions à notre égard. Elles sont bonnes, agréables et parfaites.

          Gardons bien en tête que le Seigneur ne fait acception de personne et que malgré nos faiblesses, il mise sur notre confiance en lui pour accomplir ce qu’il a prévu. « Il sait de quoi nous sommes faits. Il se souvient que nous sommes poussière. » (La Bible, Psaume 103.14)

          Alors même que nous pouvons nous inquiéter de ce qui nous arrive ou de ce qui se passera demain, il connaît toutes nos peurs et nos attentes et il ne nous abandonnera jamais. Le Seigneur a fait des promesses éternelles qui, malgré les longues nuits blanches et les interminables journées difficiles, vont se réaliser en leur temps et pour notre plus grand bien. Certes, le moment de la foi mise à l’épreuve est parfois dur à vivre avec espérance. C’est celui qui se situe entre la promesse divine et la réalisation de cette promesse. Ce laps de temps a un mot : confiance.

          Rappelons-nous une fois pour toutes :

          « Il est impossible que Dieu mente. » (La Bible, Hébreux 6.18)

 


 

DIEU M’AIME

 

La première chose que vous devez savoir, c’est que Dieu vous aime énormément.

Son amour est sans limite et sans restriction. Dieu ne veut rien de plus que de vous aimer.

Il a tout fait pour que vous puissiez comprendre et recevoir l’importance de son amour pour vous.

« Tu as du prix à mes yeux, tu comptes beaucoup pour moi et je t’aime. » (La Bible, Esaïe, chapitre 43, verset 4)

 

MA FAÇON DE VIVRE

 

Malheureusement, nous avons été séparés de l’amour de Dieu par ce que la Bible appelle le péché. Plus simplement « pécher » c’est choisir de vivre par nous-mêmes. Nous péchons lorsque nous ignorons Dieu volontairement. Pécher, c’est mener notre vie à notre façon. Du coup, le péché détruit les relations avec les amis, avec la famille et avec Dieu. Le péché est la transgression des lois de Dieu. La Bible dit qu’au final le péché mène à la mort.

« Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu », dit la Bible (Épître de Paul aux Romains, chapitre 3, verset 23).

 

JÉSUS EST MORT POUR MOI

 

Malgré notre comportement, Dieu nous a toujours aimés. Il est allé très loin pour nous montrer son amour : il est venu au milieu de nous au travers de Jésus. A cause de notre péché, nous allons tout droit à la mort, à la perdition éternelle. Mais en mourant sur une croix, Jésus a payé à notre place les conséquences de notre façon de vivre. La bonne nouvelle, c’est qu’il est revenu à la vie pour nous réconcilier avec Dieu. Lorsque nous croyons en Jésus, et nous repentons de nos péchés, nous pouvons expérimenter le pardon de Dieu, son amour, et recevoir une vie nouvelle.

« Le Christ lui-même a souffert, une fois pour toutes, pour les péchés des humains ; innocent, il est mort pour des coupables, afin de vous amener à Dieu. » (La Bible, 1° épître de Pierre, chapitre 3, verset 18)

 

MON CHOIX

 

Dieu a tout fait pour vous montrer combien il vous aime. Jésus est ressuscité, pour vous offrir une seconde chance, en vous aidant et en vous accompagnant. Il vous propose une vie pleine de sens. Vous avez maintenant un choix à faire. Vous pouvez refuser ce cadeau ou, au contraire, prier afin que Dieu vous pardonne de lui avoir tourné le dos, puis inviter Jésus-Christ dans votre vie. Ainsi vous pouvez décider de changer de vie.

« Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé. » (La Bible, Actes des apôtres, chapitre 16, verset 31)

 

Pour tout renseignement, n’hésitez pas à nous écrire. Contact

 


  

 

 

VOTRE PART DANS LE SALUT DE DIEU

 

Croyez

 

          « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, et toi et ta famille. »  (La Bible, Actes 16. 31)

 

 

Repentez-vous

 

          Détournez-vous de vos péchés. Jésus dit : « Si vous ne vous repentez, vous périrez tous comme eux. » (La Bible, Evangile selon Luc 13.3)

 

 

Confessez vos péchés à Jésus

 

          « Il y a un seul Dieu, et un seul médiateur entre Dieu et les hommes Jésus-Christ homme, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. » (La Bible, 1 Timothée 2.5)

 

 

Confessez que Jésus-Christ est le Seigneur

 

          Si tu confesses de ta bouche que Jésus est le Seigneur, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé. » (La Bible, Romains 10.9)

 


  

 4 CHOSES QUE DIEU VEUT QUE VOUS SACHIEZ

POUR LES PARTAGER

 

1. Vous avez besoin d’être sauvé.

 

          Jésus répondit : « Oui, je te le déclare, c’est la vérité : personne ne peut voir le Royaume de Dieu s’il ne naît pas de nouveau. » (Jean 3.3)

          « Tous ont péché et sont privés de la présence glorieuse de Dieu. » (Romains 3. 23)

          « Il n’existe sur la terre personne d’assez juste pour pratiquer le bien sans jamais se tromper. » (Ecclésiaste 7.20)

          « Nous sommes tous impropres à ton service, comme un objet impur ; et toutes nos belles actions sont aussi répugnantes qu’un linge taché de sang. Nos torts nous emportent tous comme les feuilles mortes balayées par le vent. » (Esaïe 64.5)

          « Rien n’est plus trompeur que le cœur humain. On ne peut pas le guérir, on ne peut rien y comprendre. » (Jérémie 17.9)

          « Nous errions tous ça et là comme un troupeau éparpillé, c’était chacun pour soi. Mais le Seigneur lui a fait subir les conséquences de nos fautes à tous. » (Esaïe 53.6)

 

2. Vous ne pouvez pas vous sauver vous-même.

 

          « Dieu nous a sauvés, non point parce que nous aurions accompli des actions justes, mais parce qu’il a eu pitié de nous. Il nous a sauvés et fait naître à une vie nouvelle au travers de l’eau du baptême et par le Saint-Esprit. » (Tite 3.5)

          « Nous savons que l’homme est reconnu juste par Dieu uniquement à cause de sa foi en Jésus-Christ et non parce qu’il obéit en tout à la loi de Moïse. C’est pourquoi, nous aussi, nous avons cru en Jésus-Christ afin d’être reconnus justes à cause de notre foi au Christ et non pour avoir obéi à cette loi. Car personne ne sera reconnu juste par Dieu pour avoir obéi en tout à la loi. » (Galates 2.16)

          « Il arrive qu’un homme estime sa conduite droite, alors que finalement elle le mène à la mort. » (Proverbes 14.12)

          « Moi, je suis le chemin, la vérité, et la vie. Personne ne vient au Père autrement que par moi. » (Jean 14.6)

 

3. Jésus a déjà pourvu à votre salut.

 

          « Dans son propre corps, il a porté nos péchés sur la croix, afin que nous mourions au péché et que nous vivions d’une vie juste. C’est par ses blessures que vous avez été guéris. » (1 Pierre 2.24)

          « En effet, le Christ lui-même a souffert, une fois pour toutes, pour les péchés des humains ; innocent, il est mort pour des coupables, afin de vous amener à Dieu. Il a été mis à mort dans son corps humain, mais il a été rendu à la vie par le Saint-Esprit. » (1 Pierre 3.18)

          « Le Christ était sans péché, mais Dieu l’a chargé de notre péché, afin que, par lui, nous ayons part à l’œuvre salutaire de Dieu. » (2 Corinthiens 5.21)

          « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16)

 

4. Jésus vous rendra capable de résister au mal.

 

          « Ainsi, le Seigneur sait comment délivrer de l’épreuve ceux qui lui sont attachés, et comment tenir en réserve ceux qui font le mal pour les punir au jour du Jugement. » (2 Pierre 2.9)

          « Les tentations que vous avez connues ont toutes été de celles qui se présentent normalement aux hommes. Dieu est fidèle à ses promesses et il ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces ; mais, au moment où surviendra la tentation, il vous donnera la force de la supporter et, ainsi, le moyen d’en sortir. » (1 Corinthiens 10.13)

          « Dès que quelqu’un est uni au Christ, il est un être nouveau: ce qui est ancien a disparu, ce qui est nouveau est là. » (2 Corinthiens 5.17)

 

CMM, Union Chrétienne d’Evangélisation

 


  

 

 IL Y A UNE SOLUTION !

 

          Trouver l’espoir, c’est faire une découverte qui change tout dans la vie et qui nous ramène à la raison pour laquelle nous sommes sur terre.

          Dès l’instant où nous avons commencé à prendre forme dans le ventre de notre mère, un phénomène extraordinaire s’est déclenché en nous. C’est le processus merveilleux de la vie physique. Et pourtant, elle a ses limites et même une fin. Il n’y a pas d’exception à la règle. Pas d’exemption. C’est pourquoi il est capital de trouver l’espoir.

          L’espoir commence par une naissance d’un autre ordre : une naissance spirituelle, qui est le point de départ d’une vie nouvelle. Là aussi c’est un processus merveilleux. Et en plus, cette vie n’a pas de fin. C’est la promesse de la vie éternelle, une vie remplie et pleine de sens, dès maintenant et bien au-delà de notre propre mort.

          Trouver l’espoir, c’est trouver la source même de la vie. C’est comme faire la découverte de la seule source au monde qui produit une eau parfaitement pure, parfaitement désaltérante… Cette eau qui guérit les blessures les plus profondes et étanche les soifs les plus intenses.

          Ce n’est pas un secret : le monde va mal, et il ne s’arrange pas. Les guerres perdurent. Les famines s’installent. Les maladies s’étendent, les crises éclatent. Les cataclysmes tuent, mutilent et détruisent. Les tragédies personnelles frappent sans prévenir. Soumis à des circonstances qui les dépassent, que de millions de victimes sont balayées par les événements, et emportées par les flots en furie ! Et que dire des pandémies ?…

          En plus des problèmes de ce monde, il y a une autre sorte de fléau auquel il faut faire face. Et il est en nous. Pour être honnête, nous voyons tant de choses en nous que nous aimerions ne pas trouver. Les cicatrices de blessures anciennes et d’injustices. Des peurs qui paralysent. La colère qui ne veut pas s’en aller. Des attentes et des rêves évanouis. Une solitude déprimante. Un désir insatisfait de paix et de bien-être. Et un assortiment embarrassant de péchés, d’échecs, d’orgueil et de promesses non tenues.

          Nous avons beau essayer, nous n’arrivons pas à réparer le monde. D’ailleurs, nous ne pouvons même pas nous réparer nous-mêmes. Nous sommes totalement incapables de nous libérer de la crainte, de neutraliser la colère ou de remplir le vide que nous portons au-dedans de nous-mêmes. Nous sommes tout aussi incapables de nous apporter à nous-mêmes une paix durable. Incapables d’ôter la culpabilité qui pèse tant sur notre conscience. Incapables de pardonner nos propres péchés. Tout cela nous dépasse. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il y a une solution. Il y a une réponse !

          Cette solution, cette réponse se trouve en une personne unique : Jésus-Christ. Il a dit : « Je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut aller au Père autrement que par moi. » Jésus fut mis à mort sur une croix, non comme un martyr. Il était venu subir le châtiment de nos péchés, à notre place. Il est ressuscité. Il est remonté au ciel. Il n’est pas une figure du passé. Il est bien vivant aujourd’hui ! Il est là pour tous ceux qui se tournent vers lui.

          Nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes. Mais lui, il le peut. Nous ne pouvons pas nous donner l’espoir, mais lui le peut, car il est l’Espoir. L’espoir de la vie éternelle. L’espoir d’une vie riche de sens et épanouie, aujourd’hui même. Nous avons l’assurance qu’en lui, et en lui seul, le Prince de la paix, nous allons vivre une paix véritable et durable.

          Cet espoir, vous le découvrirez en vous tournant vers Jésus-Christ et en mettant votre foi en lui, reconnaissant vos péchés, réclamant son pardon, et en croyant qu’il vous offre une nouvelle relation avec Dieu. Il a promis de vous pardonner et de vous donner un cœur nouveau, un cœur qui l’aime et qui lui fait confiance. Il a promis de ne jamais vous abandonner. L’espoir et la vie pour maintenant et pour toujours ne se trouvent qu’en Jésus. Si vous ne l’avez déjà fait, n’hésitez pas à mettre votre confiance en lui, sans tarder.

          Quoi que vous pensiez en ce moment, sachez que, dans le cœur de Jésus, vous compterez toujours énormément. Il est sans cesse prêt à vous écouter et à répondre à vos prières sincères. Parlez-lui simplement et honnêtement. Demandez-lui de se révéler à vous. Demandez-lui pardon pour vos péchés. Demandez-lui de guérir et de remettre en ordre les pièces brisées de votre vie, de faire toutes choses nouvelles. Demandez-lui le cadeau de la vie éternelle. Demandez-lui également de conduire votre vie sur une route sûre.

          Jésus-Christ répondra toujours à vos appels. Vous pouvez le prier n’importe quand et n’importe où, et lui confier toutes les questions qui vous assaillent. Il entend. Il écoute. Il comprend. Il pardonnera tous vos chemins d’erreur, vous donnera un véritable espoir, et reconstruira votre vie de fond en comble.

 

           Si vous vous posez des questions sur le sens de la vie, et souhaitez découvrir une réponse chrétienne, n’hésitez pas à nous écrire.

 


  

 

 

TROUVER L’ESPOIR

 

          L’espoir auquel nous aspirons peut être trouvé, même au sein du chaos et de la confusion. Et dès que l’on trouve l’espoir, tout commence à changer. La vie devient différente, indescriptible...Incroyablement nouvelle. A travers l’Histoire et sur les cinq continents, des centaines de millions de gens ont fait l’expérience de cette découverte et témoignent de sa réalité. Ils ont trouvé l’espoir et, en même temps, la paix. Pas juste une sensation de bien-être, mais une paix profonde indépendante des circonstances. Une véritable paix qui irradie tout l’être intérieur.

          Trouver l’espoir, c’est faire trois découvertes remarquables. Celle du chemin qui mène à Dieu. Celle de la vérité qui ne change jamais. Celle de la vie qui ne prend jamais fin. En fait, il n’y a qu’une seule découverte et non pas trois...Toutes se résument en une seule personne : Dieu fait homme, Jésus le Christ. Il est l’expression de l’amour parfait et qui dure.

          Jésus-Christ a dit de lui-même : « Je suis le chemin, la vérité, la vie. Personne ne peut aller au Père autrement que par moi. » Il est le chemin qui mène à Dieu le Père, la vérité qui ne change jamais, la vie qui ne prend jamais fin.

          Des centaines d’années avant que Jésus naisse dans la paille d’une étable de Bethléhem, les prophètes anciens ont écrit sur sa venue. Ils ont prédit avec exactitude de nombreux faits et détails le concernant. Et tous se sont parfaitement accomplis et sans la moindre exception. Chacune de leurs prophéties se réalise en lui. Il est l’accomplissement parfait de la promesse de Dieu. Il a été -et il est aujourd’hui – l’espoir donné à toute l’humanité.

          Pendant 30 ans, Jésus a vécu une vie tranquille dans un lieu appelé Nazareth. Puis il a quitté son village et il a parcouru la Judée, la Samarie et la Galilée pendant trois ans. Il communiquait de remarquables vérités concernant Dieu, accomplissait des actes surnaturels, guérissait les malades d’un simple mot ou d’un simple contact. Il ne prononça jamais le moindre mensonge, n’agit jamais avec méchanceté, et ne rejeta personne qui venait à lui. C’était le Sauveur promis depuis longtemps, Dieu au milieu des hommes.

          Rejeté par ceux qu’il était venu sauver, Jésus fut trahi, accusé faussement, arrêté injustement et jugé comme un vulgaire criminel. Ceux auxquels il venait donner la vie le condamnèrent à mort. Ils le frappèrent sans pitié et se moquèrent de sa souffrance. Puis ils clouèrent ses mains et ses pieds à une croix grossièrement taillée. Sans ménagement, ils soulevèrent cette croix, la plantèrent dans le sol et l’érigèrent comme pour célébrer leur victoire. Jésus mourut ce jour-là.

          On le déposa ensuite dans le tombeau d’un homme riche – autre détail qui avait été annoncé des siècles plus tôt. Trois jours plus tard, ses propres paroles se réalisèrent quand il revint à la vie et sortit lui-même de cette crypte froide, tout comme il l’avait prédit. « Détruisez ce temple  - leur avait-il dit en parlant de son corps – et en trois jours, je le relèverai. » C’est ce qu’il fit.

          Pendant 40 jours, Jésus ressuscité se présenta à ses disciples, les encourageant et priant avec eux. Il leur annonça des temps d’épreuves et de souffrance à venir. Puis il leur fit cette promesse : « Je vais être avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » Ayant pris cet engagement irrévocable, il remonta au ciel.

          Jésus n’est pas une figure du passé. Il est bien vivant aujourd’hui ! Il est là pour tous ceux qui se tournent vers lui. Il offre le pardon des péchés et la vie éternelle à tous ceux qui croient en lui. Il a dit : « Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne soit pas perdu, mais qu’il ait la vie éternelle. » (La Bible, Évangile de Jean, 3.16)

 

          Si vous vous posez des questions sur le sens de la vie, et souhaitez découvrir une réponse chrétienne, n’hésitez pas à nous écrire.

 


 

IREZ-VOUS AU CIEL ?

 

Voici un test qui vous permettra de savoir

si vous irez au ciel après votre mort

 

Cochez la case en face de chaque affirmation

par laquelle vous espérez aller au ciel

 

                         □ 1 – Je suis baptisé

 

                         □ 2 – J’ai ma religion

 

                         □ 3 – J’ai observé les commandements de Dieu

 

                         □ 4 – Je n’ai ni tué ni volé

 

                         □ 5 – J’ai pratiqué l’amour du prochain

 

                         □ 6 – J’ai fait la charité

 

                         □ 7 – J’ai fait de mon mieux

 

                         □ 8 – Je ne suis pas pire que les autres

 

                         □ 9 – Je sais que Dieu est bon et patient

 

                         □ 10 – Dieu n’a pas créé l’homme pour le punir

 

          Voyez maintenant si vous êtes en route pour le ciel…

 

REPONSES AU TEST

« IREZ-VOUS AU CIEL ? »

 

1. Vous n’êtes pas sur le chemin du ciel parce que vous avez été baptisé étant bébé. La Bible n’enseigne nulle part que ce baptême est un moyen d’obtenir le salut. Le baptême (des adultes) est pour ceux qui croient en Jésus-Christ et l’ont accepté comme le Sauveur et le Seigneur de leur vie. (La Bible, Actes 8.12 ; 18.8)

 

2. Une religion, même la meilleure et la plus populaire, ne conduira jamais personne au ciel. Dieu déclare : « Nous sommes tous comme des impurs, et toute notre justice est comme un vêtement souillé. » (La Bible, Esaïe 64.5)

 

3. Aucun être humain ne peut observer sans faillir tous les commandements de Dieu. La Bible déclare : « Car quiconque observe toute la loi [de Dieu], mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. » (La Bible, Jacques 2.10)

 

4. Ne pas tuer, ne pas voler ? Les exigences de Dieu sont bien plus élevées que cela. Jésus a dit que tout homme qui se met en colère contre son frère mérite d’être puni par les juges et par le feu de l’enfer. (La Bible, Matthieu 5.22)

 

5. Oseriez-vous prétendre avoir toujours mis en pratique le deuxième commandement tel que Dieu l’a donné : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » (La Bible, Matthieu 22.36-40)

 

6. Vous vous reposez sur une espérance trompeuse, car vous avez confiance dans vos bonnes œuvres qui, d’après la Bible, ne pourront jamais vous sauver. (Ephésiens 2.8-9 ; Tite 3.4-5)

 

7. Malgré votre bonne volonté et vos efforts, vous n’êtes pas parfait. Il est écrit : « Il n’y a pas de juste, pas même un seul...Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (La Bible, Romains 3.10,23)

 

8. Vous n’êtes pas sur le chemin du ciel parce que vous vous comparez avantageusement aux autres. La Bible dit : « En jugeant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui juges, tu fais les mêmes choses. » (La Bible, Romains 2.1)

 

9. Oui ! Dieu est bon, mais il n’est pas le populaire « Bon Dieu » qui est une caricature du vrai Dieu. Le Dieu que la Bible nous révèle est aussi patient et juste. Il est écrit qu’il ne tient pas le coupable pour innocent. (La Bible, Exode 34.6-7 ; Nombres 14.18)

 

10. C’est vrai que Dieu n’a pas créé l’homme pour le punir, mais celui-ci s’est révolté contre son Créateur et il est devenu ennemi de Dieu. A cause de sa désobéissance, l’homme mérite d’être puni à moins d’être réconcilié avec Dieu. (La Bible, 2 Corinthiens 5.19-20)

 

          La Bible dit : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16)

 

          C’est parce que l’homme ne pouvait pas se sauver lui-même que Dieu a envoyé son Fils pour mourir à la place des pécheurs. Jésus a ainsi accompli parfaitement l’oeuvre nécessaire à notre salut éternel. Tout ce qui nous reste à faire, c’est de recevoir le Sauveur par un acte de repentance et de foi.

 

          La question qui se pose à vous, après avoir participé à ce test, est celle-ci : Est-ce que j’ai reçu Jésus-Christ comme mon Sauveur ? Croyez-vous qu’il est mort pour vous personnellement et qu’il a entièrement et définitivement payé la dette de vos péchés ?

          Jésus a dit : « Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. » (La Bible, Jean 6.37)

          Un choix s’offre à vous. Vous avez une décision à prendre. Prenez la bonne. Vous n’irez pas au ciel par aucun des moyens mentionnés dans le questionnaire. Même si vous vous appliquiez de toutes vos forces à mettre en pratique toutes ces choses, bonnes en elles-mêmes, vous ne seriez quand même pas sur le chemin du ciel.

 

Alors, comment être sauvé ?

 

          La Bible donne une réponse très simple et précise à cette question. Il n’y a qu’un seul et unique moyen pour aller au ciel après votre mort : la foi en Jésus-Christ. Recevez Jésus-Christ aujourd’hui comme votre Sauveur. La Bible dit : « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés. » (La Bible, Actes 3.19)

 

          Pour toute question et tout renseignement, n’hésitez pas à nous écrire : Paul BALLIERE, site « Bâtissez votre vie », 2 impasse du Square, 14840 Cuverville.

 

 


 

CONSEILS AUX NOUVEAUX CONVERTIS

 

          Vous qui vous êtes repentis de vos péchés, qui avez cru au pardon de Dieu, qui avez placé votre foi dans le sacrifice de Jésus sur la croix et qui l’avez accepté comme votre Sauveur et votre Seigneur, il vous faut maintenant grandir dans cette nouvelle vie spirituelle. Parmi les choses importantes auxquelles vous devrez prêter attention pour y parvenir, en voici deux que nous vous recommandons expressément (outre celles que nous vous avons données dans notre précédent article « Et maintenant ? »):

 

La communion fraternelle. Fréquentez une Église locale. Faites-le le plus rapidement possible.Maintenant que vous faites partie de la famille de Dieu, il est important que vous rencontriez régulièrement vos frères et vos sœurs dans la foi, dans la mesure où ce sera possible, compte-tenu du contexte actuel ! La Bible dit : « N’abandonnons pas notre assemblée...mais exhortons-nous réciproquement. » (Hébreux 10.25) Choisir l’Église qui convient n’est pas toujours facile, car vous désirerez sans doute en trouver une qui croit et enseigne clairement les vérités bibliques que notre site et nos publications vous ont fait découvrir. Nous pouvons vous aider. N’hésitez pas à prendre contact avec nous. Ecrivez-nous. Nous vous donnerons l’adresse d’une Église la plus proche de votre domicile. Dans votre Église locale, vous découvrirez beaucoup de choses sur Dieu. L’expérience des autres vous enrichira. Vous apprendrez, par exemple, l’importance que Dieu attache au baptême, l’une de vos prochaines étapes sur le chemin de la foi. D’ailleurs, à cet effet, nous avons créé dans notre site une rubrique, intitulée: « Baptême ». Vous y découvrirez tout l’enseignement biblique à ce sujet.

 

          Dans l’Église locale, vous aurez la joie de partager avec les autres les merveilles de l’Évangile de Jésus-Christ. Vous avez besoin de l’Église, et l’Église a besoin de vous ! Que Dieu vous bénisse dans cette nouvelle étape spirituelle !

 

Le service. Votre privilège sera de servir Dieu de tout votre cœur et de toute votre âme, ainsi que le demande la Parole de Dieu. N’oubliez jamais que « Dieu nous a sauvés, et nous a adressé une sainte vocation. » (2 Timothée 1.9)

          « Ce que Dieu veut, c’est votre sanctification. » (1 Thessaloniciens 4.3)

          Ensuite, cherchez à utiliser les dons particuliers que Dieu vous a donnés pour le servir, et souvenez-vous toujours que vous avez « été créé en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres. » (Éphésiens 2.10) En particulier, soyez attentifs aux possibilités que vous aurez de dire aux autres « tout ce que le Seigneur vous a fait. » (Marc 5.19) Parler de Jésus-Christ n’est pas seulement le devoir de ceux qui croient en lui ; c’est une expérience passionnante !

 

          A partir d’aujourd’hui, cherchez à vivre de telle façon qu’en toutes choses « vous annonciez les vertus de celui qui vous a appelés des ténèbres à son admirable lumière. » (1 Pierre 2.9)

 

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ET MAINTENANT ?

 

          Au fil de nos publications, nous avons soulevé les grandes questions : Dieu existe-t-il ? Parle-t-il ? Qui est-il ? Qui suis-je ? Que s’est-il passé pour que notre monde soit dans un tel état aujourd’hui ? Est-ce grave de pécher ? Y a-t-il un « après la mort » ? La religion peut-elle aider ? Y a-t-il une solution à la quête spirituelle de l’homme ? Pourquoi Jésus a-t-il été crucifié ? Comment puis-je être sauvé ?

          Vous retrouverez ces articles dans la rubrique « Messages de la page d’accueil » de notre site.

 

          Vous qui avez ainsi découvert et suivi le chemin de Jésus-Christ, vous avez désormais beaucoup de raisons de vous réjouir. La confiance que vous avez mise dans le Christ apporte le vrai bonheur.

          L’une des raisons de votre joie est la relation personnelle que vous pouvez maintenant établir avec Dieu. La Bible dit : « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. » (Romains 5.1) C’est par Christ que le problème de vos péchés a été résolu. En effet, « quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés. » (Actes 10.43) Vous faites maintenant partie de la famille de Dieu, car, « à ceux qui croient en son nom, il [Christ] a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jean 1.12). Vous êtes désormais en sécurité pour l’éternité puisqu’ « il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. » (Romains 8.1) Dieu lui-même est entré dans votre vie dans la personne du Saint-Esprit car, selon ce que dit la Bible, « L’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous. » (Romains 8.11) Quelles grandes vérités !

 

          Il vous faut donc maintenant grandir dans cette nouvelle vie spirituelle. Parmi les choses importantes auxquelles vous devrez prêter attention pour y parvenir, en voici deux que nous vous recommandons expressément.

 

La prière. Vous pouvez désormais parler à Dieu, votre Père, chose que vous ne pouviez pas faire avant. Vous pouvez l’adorer et le louer pour sa gloire, sa puissance, sa sainteté et son amour. Vous pouvez lui demander quotidiennement son pardon. Même ceux qui deviennent enfants de Dieu ne sont pas parfaits, mais « si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » (1 Jean 1.9) Vous pouvez le remercier tous les jours pour la bonté qu’il vous témoigne. Vous trouverez tant de raisons de le remercier, y compris les bienfaits quotidiens de la vie que nous avons l’habitude de considérer comme des droits acquis. Avant tout vous désirerez le remercier de vous avoir sauvé, de vous avoir adopté dans sa famille et de vous faire bénéficier de la vie éternelle. Il ne vous sera jamais difficile de le faire. Vous pourrez aussi lui demander de vous aider, de vous fortifier et de vous guider dans votre propre vie et pour celle des autres. Vous prierez en particulier pour les personnes de votre entourage qui sont éloignées de Dieu comme vous l’étiez.

La lecture de la Bible. Dans la prière, vous parlez à Dieu et par la lecture de la Bible, il vous parle. Il est donc très important que vous la lisiez tous les jours, afin d’examiner « ce qui est agréable au Seigneur. » (Éphésiens 5.10) Lorsque vous le ferez, demandez-lui qu’il vous aide à comprendre ce qu’il veut vous dire et à obéir à ses enseignements pour que par eux « vous croissiez pour le salut. » (1 Pierre 2.2) Si vous avez besoin d’aide pour commencer l’étude de la Bible, n’hésitez pas à nous écrire.

 

(à suivre)

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COMMENT PUIS-JE ÊTRE SAUVE ?

 

          Désirez-vous sincèrement être sauvé ? Voulez-vous vous réconcilier avec Dieu quel qu’en soit le prix ou les conséquences ? Si vous répondez négativement, c’est que l’importance du contenu de nos précédents messages vous a échappé *. Vous feriez bien alors de les relire lentement et avec attention en demandant que Dieu vous en montre la vérité.

 

          Si Dieu vous a révélé clairement votre état et que vous voulez être sauvé, alors faites une démarche de repentance sincère envers Dieu et ayez foi en notre Seigneur Jésus-Christ (La Bible, Actes 20.21).

 

          Il vous faut vous repentir. Cela implique un changement radical en ce qui concerne le péché. Votre état d’esprit doit changer. Vous devez admettre que vous êtes pécheur et rebelle envers un Dieu saint et plein d’amour. Votre cœur doit changer : vous devez éprouver une réelle tristesse, de la honte même, en réalisant la bassesse et la souillure de votre péché. Ensuite vous devez renoncer à le pratiquer et modifier complètement le sens de votre vie. Dieu nous engage à pratiquer des « œuvres dignes de la repentance » (La Bible, Actes 26.20). Vous savez ce que vous avez à faire. Dieu ne pardonnera aucun péché auquel vous ne voudrez pas renoncer de vous-même. Lorsque vous vous repentez, vous modifiez vos choix, sans restriction, pour que votre vie plaise parfaitement à Dieu.

 

          Vous devez avoir foi en Christ. D’abord, cela veut dire accepter que Jésus est « le Christ, le Fils du Dieu vivant » (La Bible, Matthieu 16.16) et qu’il « est mort pour des impies » (La Bible, Romains 5.6). Ensuite, cela veut dire croire que, dans sa puissance et dans son amour, Christ veut et peut vous sauver. Enfin, cela veut dire mettre votre confiance en Christ et ne compter que sur lui pour vous réconcilier avec Dieu. Votre nature pécheresse et fière combattra ce désir de rejeter la valeur de votre propre bonté ou de votre religion. Cependant, vous n’avez pas le choix. Vous devez cesser de mettre votre confiance dans tout le reste et croire que Christ « peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui » (La Bible, Hébreux 7.25).

 

          Si Dieu vous a révélé votre besoin et vous a donné le désir de vous tourner vers Christ, alors faites-le maintenant ! Il serait idéal que vous priiez à haute voix, car cela vous aidera à prendre réellement conscience de ce que vous faites. Confessez que vous êtes un pécheur impuissant, perdu et coupable, demandez de tout votre cœur à Christ de vous sauver et de prendre sa juste place de Seigneur dans votre vie, afin qu’il vous permette de vous détourner du péché et de vivre pour lui.

 

          La Bible dit que « si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé » (Romains 10.9), car « quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé » (Romains 10.13). Si vous avez vraiment mis votre confiance en Christ votre Sauveur et que vous le reconnaissez comme votre Seigneur, vous pouvez vous approprier ces promesses !

 

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POURQUOI JÉSUS-CHRIST EST-IL MORT SUR UNE CROIX ?

 

          Le message de la Bible tout entière attire notre attention et dirige notre cœur vers la mort de Jésus.

          Au risque de vous surprendre, le centre du message des Saintes Écritures n’est pas la vie parfaite du Christ, ni son enseignement sublime, ni ses guérisons, ni ses miracles, ni ses prodiges. Certes, tous ces éléments sont importants ; mais vous devez savoir qu’avant tout, Jésus est venu dans le monde pour mourir. « C’est le sort de tout être humain », me direz-vous. Mais la mort de Jésus revêt une valeur exceptionnelle, unique. Qu’est-ce qui la rend si importante ? Elle est une substitution et une expiation. Jésus a porté les péchés de toute l’humanité. Il est le Sauveur du monde.

 

          Jésus est mort à votre place. C’est la démonstration de l’amour de Dieu. La Bible dit : « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. » (Épître aux Romains 5.8) Au regard de la loi de Dieu, qui est sainte, juste, et bonne, tous les êtres humains sont pécheurs et coupables, perdus et sans recours. Savez-vous que chaque péché commis exige une punition ? Comment pouvez-vous alors échapper à la juste colère de Dieu ? Dans le merveilleux plan divin de délivrance et de salut, Jésus-Christ s’est porté volontaire pour prendre votre place et pour subir le juste jugement de vos péchés. C’est pour vous que le Fils de Dieu, qui n’avait pas commis le moindre péché, accepta de souffrir et de mourir. La Bible dit : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui » (Esaïe 53.5) ; et encore : « Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu. » (1° épître de Pierre 3.18) ; lui-même a déclaré qu’il était « venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup. » (La Bible, Évangile de Marc 10.45)

 

          Jésus a porté vos péchés. Le prix de vos péchés a été payé en totalité, et de quelle manière ! Jésus n’est pas seulement mort physiquement, mais aussi spirituellement. Cloué sur la croix, il a crié : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (La Bible, Évangile de Matthieu 27.46) En cet instant effroyable, où Jésus portait sur lui le péché de l’humanité tout entière, Dieu le Père, trop saint pour voir le mal, s’est détourné de son Fils bien-aimé. Jésus endura alors la peine de la séparation d’avec Dieu. Remarquez à quel point la crucifixion de Jésus-Christ montre la parfaite sainteté de Dieu. Tous les péchés, chaque péché, doit être puni et, lorsque le Sauveur prit votre place, il dut répondre de vos péchés comme s’il en avait été lui-même coupable. Lui, le seul homme qui vécut une vie parfaite, souffrit la double peine qu’entraînait la culpabilité des hommes.

 

          Jésus est le Sauveur. C’est en cela que Dieu montre sa puissance au monde entier. Trois jours après sa mort, Christ est ressuscité. La Bible dit : « Dieu a déployé sa force en Christ, en le ressuscitant des morts. » (Épître aux Éphésiens 1.20) Jésus fut « déclaré Fils de Dieu avec puissance, selon l’Esprit de sainteté, par sa résurrection d’entre les morts. » (La Bible, épître aux Romains 1.4) Après qu’il eut souffert, Jésus apparut vivant à ses disciples, et il leur en donna plusieurs preuves.

          En ressuscitant Christ, Dieu a démontré avec puissance qu’il acceptait la mort de son Fils à la place des pécheurs. Ainsi, elle représente le paiement parfait et total de la dette du péché et le fondement sur lequel Dieu accorde un pardon total et gratuit à ceux qui, autrement, seraient condamnés à passer l’éternité en enfer.

 

          Vous sentez-vous personnellement concerné par ce plan d’amour, de délivrance et de salut ? Ne sentez-vous pas la nécessité et l’urgence de vous réconcilier avec Dieu ? Ne voulez-vous pas que Jésus devienne le Sauveur et le Seigneur de votre vie ?

 

          Dans notre prochaine page d’accueil, nous vous indiquerons comment faire la démarche vers Dieu. D’ici là, n’hésitez pas à prendre contact avec nous. Dans la mesure du possible, nous répondrons à vos questions et nous vous montrerons comment entreprendre une vie nouvelle avec Jésus. Bâtissez votre vie, et bâtissez-la sur lui !

 

Paul BALLIERE

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Y A-T-IL UNE SOLUTION ?

 

          Oui. Bien sûr. Elle vient de Dieu, car voici le principal message de la Bible : « Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3.16)

 

          Nous avons déjà vu qu’un Dieu juste et saint doit punir le péché. Mais la Bible dit aussi que « Dieu est amour. » (1 Jean 4.8) En effet, bien que Dieu haïsse le péché, il aime les pécheurs et désire ardemment les pardonner. Mais comment un pécheur peut-il être pardonné alors que la loi de Dieu exige sa mort spirituelle et physique ? Dieu seul pouvait résoudre ce problème, et il l’a fait en la personne de Jésus-Christ. « Le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde. » (1 Jean 4.14)

 

          Dieu le Fils devint homme en adoptant la nature humaine. Quoique Jésus devint pleinement homme, il demeura pleinement Dieu. La Bible dit qu’en Christ « habite corporellement toute la plénitude de la divinité. » (Colossiens 2.9) Son humanité n’enleva rien à sa divinité, ni vice-versa ; il était à la fois pleinement homme et Dieu. Aussi Jésus-Christ était-il un être unique et la Bible confirme cela. Sa conception fut exceptionnelle : il n’avait pas de père naturel, mais fut conçu dans le sein d’une vierge par la puissance miraculeuse du Saint-Esprit. Ses paroles étaient exceptionnelles également : les gens étaient « frappés de sa doctrine ; car il parlait avec autorité. » (Luc 4.32) Ses miracles étaient exceptionnels : il parcourait le pays « guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple » (Matthieu 4.23) et ressuscitant les morts à plusieurs occasions. Son caractère était exceptionnel : « Il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché » (Hébreux 4.15), de sorte que Dieu le Père pouvait dire de lui : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai mis toute mon affection. » (Matthieu 3.17)

 

          Remarquez cette dernière phrase ! Cela signifie qu’en tant qu’homme Jésus respecta parfaitement la loi de Dieu et ne pouvait pas être condamné à cette double peine de mort physique et spirituelle. Cependant, il fut arrêté, victime d’une accusation forgée de toutes pièces, puis condamné sur de fausses preuves, et finalement crucifié à Jérusalem. Sa mort ne fut ni un hasard, ni un accident inévitable. Cela faisait partie du « dessein arrêté » et de « la prescience de Dieu » (Actes 2.23). Le Père envoya le Fils avec un but précis d’endurer la peine de mort que constitue la dette du péché de l’homme. Et Jésus l’a fait de plein gré. Il avait lui-même dit qu’il était venu dans le monde pour « donner sa vie comme la rançon de plusieurs. » (Matthieu 20.28) Sa mort fut aussi exceptionnelle que sa vie.

 

          Il est indispensable que vous saisissiez ce qui s’est passé quand Jésus mourut et ce que sa mort peut vous apporter.

 

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LA RELIGION PEUT-ELLE AIDER ?

 

          On a dit que l’homme est un animal religieux. « L’Encyclopédie de la Religion et de l’Éthique » énumère des centaines de manières par lesquelles les hommes essaient de satisfaire leurs désirs et leurs sentiments religieux. Ils ont adoré le soleil, la lune et les étoiles, la terre, le feu et l’eau, des idoles de bois, de pierre et de métal, des poissons, des oiseaux, etc. Ils ont adoré un grand nombre de dieux et d’esprits issus de leur imagination pervertie. D’autres ont essayé d’adorer le vrai Dieu à travers de nombreux sacrifices, cérémonies, sacrements et services. Mais « la religion », même sincère, ne pourra jamais régler le problème du péché de l’homme, et cela pour au moins trois raisons.

 

          La religion ne peut jamais satisfaire Dieu. La religion est le moyen par lequel l’homme essaie de s’accorder avec Dieu, mais elle est inutile parce que les meilleurs efforts humains sont imparfaits et ne sauraient être acceptés par Dieu. La Bible ne peut pas être plus claire lorsqu’elle dit : « Toute notre justice est comme un vêtement souillé. » (Esaïe 64.5) Dieu demande la perfection et la religion ne peut pas répondre à cette exigence.

 

          La religion ne peut pas effacer le péché. Vos vertus ne pourront jamais éliminer vos vices. Les bonnes actions n’ôteront jamais les mauvaises. Si quelqu’un veut plaire à Dieu, « ce n’est point par les œuvres » qu’il y arrivera, « afin que personne ne se glorifie », dit la Bible (Éphésiens 2.9). Nos expériences ou nos efforts religieux (le baptême, la confirmation, la Sainte Cène, la messe ou le culte, les prières, les cadeaux, les efforts et le temps sacrifiés, la lecture de la Bible) n’élimineront jamais le moindre péché.

 

          La religion ne changera jamais la nature pécheresse de l’homme. Le vrai problème ne réside pas dans le comportement d’un individu, celui-ci n’étant qu’un « symptôme » de l’état spirituel. Le cœur du problème de l’homme réside dans le cœur de l’homme. En effet, il est corrompu et dépravé par nature. Aller à l’église ou participer à des cérémonies religieuses peuvent vous rassurer, mais cela ne vous rendra pas meilleur. « Comment d’un être souillé sortira-t-il un homme pur ? Il n’en peut sortir aucun. » (La Bible, Job 14.4)

 

          Certaines des activités énumérées ci-dessus sont évidemment « bonnes ». En effet, aller à l’église (si elle est fidèle à l’enseignement de la Bible), lire la Bible et prier sont des exemples de ce que Dieu désire que nous fassions. Mais vous ne pourrez pas vous justifier auprès de Dieu parce que vous les pratiquez. Non seulement les œuvres ne vous justifieront pas, mais la foi que vous mettez en elles ne fera qu’augmenter le poids de votre péché et de votre condamnation.

 

          Y a-t-il une solution ? C’est ce que nous verrons dans notre prochain article.

 

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ET APRÈS ?

 

          On exprime beaucoup d’idées sur ce qui arrive après la mort. Certains pensent que nous serons tous annihilés, d’autres que nous irons tous au ciel. D’autres encore croient que les âmes pécheresses préparent dans un lieu particulier leur entrée au ciel. Mais la Bible ne soutient aucune de ces théories.

 

          Voici, plutôt, ce que nous y lisons : « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. » (Hébreux 9.27) Ceux qui entretiennent une bonne relation personnelle avec Dieu seront reçus au ciel et passeront l’éternité en sa glorieuse présence. Les autres « auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force. » (La Bible, 2 Thessaloniciens 1.9) La Bible parle en effet d’un châtiment éternel. Voici quatre vérités importantes qu’elle nous révèle à ce sujet.

 

          Le châtiment éternel existe. Ce n’est pas une notion « inventée par l’Église ». La Bible parle beaucoup plus d’un châtiment éternel, « l’enfer », que du ciel et ne laisse aucun doute sur la réalité de celui-ci. Elle parle aussi du « châtiment de la géhenne » (Matthieu 23.33) et dit que « le corps entier » sera « jeté dans la géhenne » (Matthieu 5.29 ; Luc 16.28).

 

          L’enfer est épouvantable. La Bible le décrit comme un « lieu de tourments », une « fournaise ardente » ; un « feu dévorant » ; « un feu qui ne s’éteint point » (Matthieu 13.42 ; Esaïe 33.14 ; Matthieu 3.12). C’est un lieu de souffrances, « où il y aura des pleurs et des grincements de dents » (Matthieu 22.13), et où les hommes « n’ont de repos ni jour ni nuit » (Apocalypse 14.11). Ce sont des paroles effrayantes mais vraies. Les hommes qui iront en enfer seront isolés de tout bien, maudits par Dieu et privés du moindre secours ou du réconfort que sa présence pourrait leur apporter.

 

          L’enfer est sans appel. Tous les chemins qui mènent à l’enfer sont en sens unique. Il n’y a aucune sortie. Un « grand abîme » (Luc 16.26) sépare l’enfer du ciel. L’horreur, la solitude et l’agonie de l’enfer ne servent pas à purifier les hommes mais à les punir pour l’éternité !

 

          L’enfer est juste. La Bible nous dit que Dieu « jugera le monde selon la justice » (Actes 17.31), et il est parfaitement juste lorsqu’il envoie les pécheurs en enfer. Après tout, il leur donne ce qu’ils ont choisi. Aujourd’hui les hommes rejettent Dieu, demain celui-ci les rejettera. Ils choisissent de vivre dans l’impiété et Dieu confirme leur choix pour toujours. Il est bien difficile d’accuser Dieu d’être injuste ou déloyal.

 

          A la lumière de ces terribles vérités, il est nécessaire que vous réfléchissiez très sérieusement à cette question posée un jour par Jésus à un groupe de personnes : « Comment échapperez-vous au châtiment de la géhenne ? » (Matthieu 23.33)

 

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MAIS QUE S’EST-IL DONC PASSE ?

 

          Voici la réponse la plus simple à cette question : « Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort. » (La Bible, Romains 5.12)

 

          Le premier homme et la première femme (Adam et Eve) jouissaient d’une grande liberté, mais ils avaient également reçu cet avertissement solennel : « Tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » (La Bible, Genèse 2.17) Il s’agissait d’une mise à l’épreuve idéale de la bonne volonté de l’homme à respecter le commandement simplement parce qu’il venait de Dieu. Mais le diable tenta Eve qui douta et désobéit à la parole divine. « La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. » (La Bible, Genèse 3.6)

 

          C’est à ce moment-là que « le péché est entré dans le monde ». L’homme s’est séparé délibérément de Dieu par sa désobéissance. Adam et Eve, au lieu d’aimer Dieu, le craignaient. Ils « se cachèrent loin de la face de l’Éternel, au milieu des arbres du jardin.»(La Bible, Genèse 3.8) Au lieu d’être remplis d’assurance, confiants et heureux, la honte, la culpabilité et la peur les dominaient à cause du péché.

 

          Dieu avait prévenu l’homme qu’il mourrait s’il désobéissait et cela arriva. La mort signifie la séparation. En l’espace d’un effroyable instant, l’homme devint séparé de Dieu : il mourut spirituellement. Il commença aussi à mourir physiquement. Aujourd’hui, l’homme possède une âme morte dans un corps qui se dégrade. Ce ne fut pas tout. Les enfants d’Adam et Eve héritèrent leur nature corrompue et leur caractère pécheur. Depuis, comme la pollution à la source d’une rivière, le péché s’est répandu, tel un véritable poison, sur tous les descendants d’Adam. « Ainsi la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché. » (La Bible, Romains 5.12)

 

          Remarquez ce mot important « tous », dans lequel vous et moi sommes inclus. Il se peut que nous ne nous rencontrions jamais, mais nous avons ceci en commun : nous sommes pécheurs et nous mourrons. « Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous. » (La Bible, 1 Jean 1.8) Si nous disons que nous ne mourrons pas, nous nous couvrons de ridicule. Ergoter à propos de tels faits ne change en rien leur réalité.

 

          Les titres des journaux, de la télévision ou de la radio nous rappellent tous les jours le désordre qui règne dans le monde. Il est facile de condamner la violence, l’injustice, le désordre et les méfaits de notre société. Mais avant de critiquer les autres, demandez-vous si « vous » êtes parfaits et si vous menez la vie qu’un Dieu saint apprécierait. Êtes-vous parfaitement honnête, pur, affectueux, désintéressé ? Dieu connaît les réponses à ces questions et vous aussi ! « Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. » (La Bible, Romains 3.23) Par votre origine, votre nature, vos habitudes et vos choix, vous êtes pécheur. Il est urgent que vous regardiez cette situation en face et les conséquences qui en découlent.

 

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QUI SUIS-JE ?

 

          Beaucoup de gens, poussés par les pressions et les problèmes qu’ils rencontrent aujourd’hui, cherchent sans relâche les moyens de donner un sens et un but à leur vie. Dans nos précédents articles de cette page d’accueil, nous avons abordé le sujet : « qui est Dieu ? » (cliquer sur « articles », puis sur « messages de la page d’accueil » pour lire « la nature de Dieu » et « qui est Dieu »).

          Mais nous, pourquoi existons-nous ? Pourquoi sommes-nous sur cette terre ? La vie humaine a-t-elle un sens, un but ?

 

          Le premier point à éclaircir c’est que l’homme n’est pas seulement quelqu’un qui « existe ». Il est bien plus qu’une accumulation d’atomes correctement assemblés pour édifier ce tout que nous appelons « l’être humain ». La Bible nous dit qu’il est la création d’un Dieu sage et saint. « Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme » (La Bible, Genèse 1.27). L’homme est plus qu’un animal très développé ou un singe très sophistiqué. La différence entre les animaux et lui est aussi grande que celle qui sépare ceux-ci des végétaux. Lorsque nous considérons sa taille, l’homme est minuscule comparé au soleil, à la lune et aux étoiles, mais Dieu lui a donné une place de choix dans l’univers.

 

          Nous voyons cela dans le premier commandement que Dieu fait à l’homme : « Dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre » (La Bible, Genèse 1.28). L’homme devint donc le représentant personnel de Dieu sur la terre, revêtu d’autorité sur toutes les autres créatures vivantes.

 

          Mais l’homme reçut aussi une dignité spéciale. Créé à « l’image de Dieu » ne signifie pas qu’il ait été créé de manière à représenter Dieu en termes de taille ou de forme. En effet, Dieu n’a ni l’une, ni l’autre. De plus, l’homme ne saurait être une miniature de Dieu, possédant toutes ses qualités en petite quantité. Être créé à l’image de Dieu signifie avoir une nature parfaite dans un être immortel, moral, rationnel et spirituel. En d’autres termes, le saint caractère de Dieu se reflétait dans l’homme.

 

          Qui plus est, l’homme désirait constamment obéir avec joie aux commandements de Dieu et vivait de ce fait en parfaite harmonie avec lui. L’homme n’avait alors pas de « crise d’identité » ! Il savait exactement qui il était, pourquoi il était dans le monde et il prenait volontiers la place que Dieu lui assignait.

 

          L’homme n’était pas le seul que cette situation contentait. Dieu aussi était satisfait de l’homme ! Lorsque la création fut terminée, « Dieu vit tout ce qu’il avait fait ; et voici, cela était très bon » (La Bible Genèse 1.31). Des individus parfaits vivaient dans un monde parfait en relation personnelle parfaite entre eux et en parfaite harmonie avec un Dieu parfait.

 

          Ce n’est guère ce que nous vivons aujourd’hui ! Que s’est-il passé ? Nous en parlerons dans notre prochain article.

 

          Si vous désirez vous procurer un exemplaire de la Bible, n’hésitez pas à prendre contact avec nous.

 

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LA NATURE DE DIEU

 

          Dieu n’est ni une puissance, ni une influence ; il est un Être personnel. Il est une personnalité, il éprouve des sentiments, il pense et il agit. Il se révèle dans la Bible.

 

Dieu est saint. « Qui est comme toi parmi les dieux, ô Éternel ? Qui est comme toi magnifique en sainteté, digne de louanges ? » (La Bible, Exode 15.11) Rien n’égale la sainteté de Dieu. « Nul n’est saint comme l’Éternel. » (La Bible, 1 Samuel 2.2) Il est absolument sans défaut et sans tache. La Bible dit de lui : « Tes yeux sont trop purs pour voir le mal, et tu ne peux regarder l’iniquité. » (Habakuk 1.13) C’est ce Dieu saint qui exige de chacun de nous la sainteté. Il nous donne aujourd’hui le commandement suivant : « Vous serez saints, car je suis saint. » (La Bible, 1 Pierre 1.16)

 

Dieu est juste. La Bible dit que « l’Éternel est un Dieu juste » (Esaïe 30.18) et que « la justice et l’équité sont la base de son trône. » (Psaume 97.2) Dieu n’est pas seulement notre Créateur et notre soutien. Il est aussi notre Juge : il récompense et il punit aujourd’hui et dans l’éternité selon sa parfaite justice qui n’admet ni appel ni contestation.

 

Dieu est parfait. Sa connaissance est parfaite. « Nulle créature n’est cachée devant lui, mais tout est nu et découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. » (La Bible, Hébreux 4.13) Dieu sait tout concernant le passé, le présent et l’avenir, y compris toutes nos pensées, toutes nos paroles et toutes nos actions. Sa sagesse est parfaite et dépasse complètement notre entendement. « O profondeur de la richesse, de la sagesse et de la science de Dieu ! Que ses jugements sont insondables, et ses voies incompréhensibles ! » (La Bible, Romains 11.33)

 

Dieu est souverain. Il règne sur l’univers et rien n’échappe à son autorité. « Tout ce que l’Éternel veut, il le fait, dans les cieux et sur la terre. » (La Bible, Psaume 135.6) Avec Dieu les événements fortuits ou inopinés n’existent pas. Il écrit l’histoire du monde et « opère toutes choses d’après le conseil de sa volonté » (La Bible, Éphésiens 1.11) Dieu n’a besoin ni de conseils ni de permission lorsqu’il décide d’accomplir quelque chose. Personne ne peut non plus l’empêcher de faire ce qui lui plaît. « Il n’y a personne qui résiste à sa main et qui lui dise : Que fais-tu ? » (La Bible, Daniel 4.35)

 

Dieu est omnipotent. C’est-à-dire qu’il est tout-puissant. « Voici, je suis l’Éternel, le Dieu de toute chair. Y a-t-il rien qui soit étonnant de ma part ? » (La Bible, Jérémie 32.27) Cela ne veut pas dire que Dieu peut tout faire (il ne ment pas, il ne change pas, il ne se trompe pas, il ne pèche pas, il ne se renie pas), mais il peut faire tout ce qu’il désire en accord avec sa nature.

 

          Il ne s’agit ici que de brèves esquisses de quelques-uns des traits que Dieu nous a révélés sur lui-même dans la Bible. Celle-ci nous présente d’autres vérités concernant Dieu. Mais il y a beaucoup à son sujet que nous ne pouvons pas comprendre. « Il fait des choses grandes et insondables, des merveilles sans nombre. » (La Bible, Job 5.9) Ainsi, « nous ne saurions parvenir jusqu’au Tout-Puissant » (La Bible, Job 37.23), et toute l’intelligence et la raison humaines ne peuvent changer cela. Ne nous en étonnons pas, car autrement il serait indigne de notre culte.

 

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QUI EST DIEU ?

 

          Reconnaître que Dieu existe est une chose, reconnaître qu’il nous parle par la création et au travers des pages de la Bible en est une autre. Mais nous avons besoin d’en savoir davantage sur lui. Qui est-il réellement ?

 

          La Bible donne de nombreuses réponses claires et irréfutables à cette extrêmement importante question. En voici quelques-unes :

 

Dieu est une personne. Il n’est ni une « chose », ni une « puissance », ni une « influence ». Il pense, il éprouve des sentiments, il désire et il agit comme un Être vivant et personnel. Mais il n’est pas quelqu’un là-haut dans les nuages, ni une espèce de Superman. « L’Éternel est un Dieu de vérité, il est un Dieu vivant et un roi éternel. » (La Bible, Jérémie 10.10)

 

Dieu est une pluralité. Il n’y a qu’un seul vrai Dieu. Il dit : « Je suis le premier et je suis le dernier, et hors moi il n’y a point de Dieu. » (La Bible, Esaïe 44.6) Cependant, Dieu s’est révélé comme une « Trinité » composée de trois personnes : le Père, le Fils (Jésus-Christ) et le Saint-Esprit, chacune étant véritablement Dieu dans sa plénitude. La Bible parle de « la gloire de Dieu le Père. » (Philippiens 2.11) Elle dit que « la Parole (Jésus-Christ) était Dieu. » (Jean 1.1) Elle parle du « Seigneur, l’Esprit. » (2 Corinthiens 3.18) Bien qu’il n’y ait qu’un seul Dieu, la Divinité se constitue de trois personnes.

 

Dieu est spirituel. Il n’a pas de traits physiques. Il n’a pas de corps. Ni forme, ni taille ne le définissent. « Dieu est esprit, et il faut que ceux qui l’adorent, l’adorent en esprit et en vérité. » (La Bible, Jean 4.24) Cela signifie que Dieu est invisible. « Personne n’a jamais vu Dieu. » (La Bible, Jean 1.18) Cela veut aussi dire qu’il n’est pas limité dans un seul endroit à la fois, mais qu’il se trouve partout tout le temps. « Ne remplis-je pas, moi, les cieux et la terre ? Dit l’Éternel. » (La Bible, Jérémie 23.24) Il est conscient de tout ce qui se passe dans le monde entier. En ce qui vous concerne, il connaît toutes vos actions, toutes vos paroles, ainsi que toutes les pensées qui traversent votre esprit.

 

Dieu est éternel. Il n’a pas eu de commencement. « D’éternité en éternité tu es Dieu », nous dit la Bible (Psaume 90.2). Il n’y a jamais eu d’époque où Dieu n’existait pas, et il n’y en aura jamais non plus dans l’avenir. Dieu se présente comme « celui qui est, qui était, et qui vient. » (La Bible, Apocalypse 1.8) Il demeure le même éternellement. « Je suis l’Éternel., je ne change pas. » (La Bible, Malachie 3.6) Tout ce que Dieu a été dans le passé, il le sera aujourd’hui et à jamais.

 

Dieu est indépendant. Tout autre être vivant dépend de quelqu’un ou de quelque chose et finalement de Dieu, mais lui est complètement indépendant de sa création. Il peut subsister de lui-même. « Il n’est point servi par des mains humaines, comme s’il avait besoin de quoi que ce soit, lui qui donne à tous la vie, la respiration, et toutes choses. » (La Bible, Actes 17.25)

 

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DIEU PARLE-T-IL ?

 

          La question est vitale. Nous ne pouvons pas connaître Dieu à moins qu’il ne se révèle à nous. « Prétends-tu sonder les pensées de Dieu, parvenir à la connaissance parfaite du Tout-Puissant ? » (La Bible, Job 11.7) Cette révélation est indispensable car Dieu dépasse l’entendement humain.

 

          Dieu se révèle principalement par la création. « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. » (La Bible, Psaume 19.2) Observons simplement l’univers, son équilibre merveilleux, sa diversité et sa beauté et nous en apprendrons beaucoup sur le Dieu qui l’a créé. A travers la création Dieu montre sa prodigieuse puissance, son impressionnante intelligence et son éclatante imagination. « En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils [les hommes] sont donc inexcusables, puisque, ayant connu Dieu, ils ne l’ont point glorifié comme Dieu. » (La Bible, Romains 1.20-21)

 

          Pour communiquer, nous accordons une attention particulière aux mots. Au travers de la Bible, Dieu se sert également de mots pour s’adresser aux hommes. Rien que dans l’Ancien Testament vous trouverez environ 4000 fois (500 dans les cinq premiers livres) des expressions comme « Dieu parla », « Dieu ordonna » ou « Dieu dit ». C’est pour cela qu’on peut affirmer que « ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu. » (La Bible, 2° épître de Pierre 1.21)

 

          Aucun autre livre ne nous apportera un aussi grand nombre de prophéties claires et détaillées qui se sont accomplies à la lettre. Or, les écrivains bibliques qui les ont annoncées affirment parler de la part de Dieu. Il ne serait pas sérieux de notre part d’attribuer ce phénomène au hasard.

 

          De plus, la Bible est une puissance qui change radicalement la vie. Des millions de personnes durant des millénaires ont prouvé par leur expérience personnelle que « la loi de l’Éternel est parfaite, elle restaure l’âme ; le témoignage de l’Éternel est véritable, il rend sage l’ignorant. Les ordonnances de l’Éternel sont droites, elles réjouissent le cœur ; les commandements de l’Éternel sont purs, ils éclairent les yeux. » (La Bible, Psaume 19.8-9)

 

          En deux mille ans, aucun expert n’a pu réfuter la moindre affirmation de la Bible. Pour quelle raison en est-il ainsi ? « Toute l’Écriture [La Bible] est inspirée de Dieu. » (La Bible, 2° épître de Paul à Timothée 3.16) Nous devrions donc l’accepter, « non comme la parole des hommes, mais ainsi qu’elle l’est véritablement, comme la parole de Dieu. » (La Bible, 1° épître de Paul aux Thessaloniciens 2.13)

 

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DIEU EXISTE-T-IL ?

 

          Voilà une question fondamentale. Si Dieu n’existe pas, pourquoi le chercher ? La Bible dit : « Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe » (Épître aux Hébreux 11.6). Savez-vous qu’il existe des signes convaincants de son existence. Prenez l’univers, par exemple. Dire qu’il résulte d’un « accident cosmique » soulève beaucoup de questions, sans en résoudre aucune. Il en est de même de la théorie du « big-bang ». D’où venaient les matériaux d’origine ? Même une telle explosion ne peut produire quelque chose à partir de rien. La théorie de l’évolution, tellement répandue, n’est pas plus crédible. En effet, comment l’extraordinaire complexité des formes de vie a-t-elle pu évoluer du néant ?

 

          Toutes les autres théories concernant l’origine de l’univers sont tout aussi fragiles. La seule explication satisfaisante est celle que donne la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1.1). Notre monde ne provient pas d’un coup de chance qui aurait assemblé des éléments déjà existants. Reconnaissons plutôt que « le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles » (La Bible, Épître aux Hébreux 11.3). C’est Dieu qui est à l’origine de la création. « Car il dit, et la chose arrive ; il ordonne, et elle existe » (La Bible, Psaume 33.9).

 

          Le plan et l’ordre étonnants observés dans cette création, ainsi que les lois universelles qui la régissent depuis l’immensité de l’espace cosmique, jusqu’aux organismes microscopiques confirment le double rôle de Dieu : il a élaboré le projet tel un architecte et il a établi les lois tel un législateur. « Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, [est] le Seigneur du ciel et de la terre » (La Bible, Actes des Apôtres 17.24).

 

          Mais la preuve la plus frappante de la création est l’homme lui-même. Contrairement aux animaux il a une personnalité. Il fait des choses intelligentes, il possède une conscience et il est capable de distinguer le bien du mal. Il peut aimer et éprouver de la compassion. Par-dessus tout, il a l’instinct du culte. D’où tient-il toutes ces qualités ? Elles ne viennent ni de l’évolution, ni d’une chaîne d’accidents ! La Bible nous en donne la réponse la plus claire : « L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie, et l’homme devint un être vivant » (La Bible, Genèse 2.7). L’existence de l’homme n’est pas accidentelle. C’est le Créateur de l’univers qui a voulu qu’il soit « une créature si merveilleuse » (La Bible, Psaume 139.14)

 

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QUATRE LOIS, OU...

COMMENT SE METTRE EN RÈGLE AVEC DIEU

 

          Savez-vous que vous occupez une place de choix, une place particulière dans le cœur de Dieu ? C’est pourquoi il a envoyé son Fils Jésus-Christ. Il veut que vous bénéficiiez pleinement de la vie. Il vous propose de connaître une vie qui vaut la peine d’être vécue, dès maintenant, et pour l’éternité. Cette offre, gratuite pour vous, a coûté à Dieu la vie de son Fils. Désormais, grâce à la mort – et à la résurrection d’entre les morts – de Jésus, vous avez tout à la fois la possibilité d’être pardonné de vos péchés, d’hériter de la vie éternelle, et d’avoir, dès ici-bas, la capacité de vous épanouir dans une vie de plénitude, une vie rayonnante et féconde.

          Mais comment peut-on remettre sa vie entre les mains de Jésus-Christ ? Comment un être humain peut-il entretenir une relation personnelle et vivante avec le Seigneur, le Dieu de l’univers? De même qu’il existe des lois physiques qui régissent l’univers matériel – telles que l’arrivée des pluies ou le lever du soleil – il existe aussi des lois spirituelles qui régissent vos relations avec Dieu. C’est en vous soumettant à ces lois que vous ferez de Jésus-Christ, le Seigneur de votre vie.

 

          En voici quatre :

 

          1. L’amour et le plan de Dieu pour vous.

 

          Dieu vous aime et a conçu un merveilleux programme pour votre vie. La Bible dit : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16). Jésus lui-même a déclaré : « Je suis venu afin que mes brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10.10). Cependant, la seule connaissance de l’amour de Dieu et de son plan pour vous n’est pas suffisante. Il y a des choses qui ont gâché cette relation d’amour avec Dieu. C’est ce que nous précise la seconde loi.

 

          2. L’homme est pécheur et séparé de Dieu.

 

          Il ne peut donc ni connaître véritablement l’amour de Dieu, ni bénéficier du programme pour sa vie.

          L’homme avait été créé pour entretenir une relation personnelle avec Dieu. Cette communion franche et directe, Adam et Eve la connaissaient dans le jardin d’Éden, avant que le péché n’entre dans le monde. Ils étaient les amis intimes de Dieu. Ils parlaient à leur Créateur comme un fils et une fille parlent à leur père.

          Malheureusement, ils décidèrent de suivre le chemin qu’ils s’étaient tracé plutôt que celui tracé par Dieu. Dès lors, la communion qu’ils avaient entretenue avec Dieu fut rompue. Depuis ce jour, les hommes ont toujours préféré suivre leurs propres voies, et vivre indépendamment de Dieu. Cette attitude revêt plusieurs formes ; elle est parfois l’attitude d’indifférence adoptée à l’égard de Dieu ; mais elle peut aussi se muer en révolte ouverte. Quelle que soit sa manifestation, cette volonté d’indépendance, la Bible la désigne du nom de péché.

          L’homme est séparé de Dieu. La Bible dit : « Le salaire du péché, c’est la mort » (Romains 6.23) Dès lors, tous les efforts accomplis par les êtres humains pour atteindre Dieu et jouir de la vie promise sont vains : vie honnête, bonnes actions, philosophie, et même religion, tout est voué à l’échec. Aucun effort humain n’a constitué – et ne constituera jamais – un pont capable d’enjamber l’abîme séparant l’homme et Dieu.

          La troisième loi explique comment ce fossé peut être franchi.

 

          3. Jésus-Christ est la seule solution de Dieu en faveur de l’homme pécheur.

 

          Par lui, vous pouvez goûter l’amour de Dieu et en faire l’expérience dans votre vie.

 

          Il est mort à votre place. La Bible dit : « Dieu prouve son amour envers nous en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous » (Romains 5.8).

 

          Il est ressuscité d’entre les morts. La Bible dit : « Christ est mort pour nos péchés...Il a été enseveli...Il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures...Il est apparu à Pierre, puis aux douze. Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois... » (1 Corinthiens 15.3-6).

 

          Il est le seul chemin d’accès à Dieu. Jésus dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie ; nul ne vient au Père que par moi » (Jean 14.6).

 

          Dieu a établi un pont au-dessus du gouffre qui nous séparait de lui. Ce pont, c’est son Fils Jésus acceptant de mourir sur la croix, à notre place – en subissant la condamnation que méritaient nos fautes.

          Mais il ne suffit pas de connaître ces trois lois pour retrouver notre place dans le programme de Dieu. Il faut aussi comprendre le contenu de la quatrième loi.

 

          4. Nous devons accueillir personnellement Jésus-Christ comme Sauveur et Seigneur.

 

          Ensuite seulement, nous serons en mesure de connaître, par expérience, l’amour de Dieu et nous pourrons entrer dans le plan de Dieu.

 

          Nous devons accueillir le Christ. La Bible déclare : « A tous ceux qui l’ont reçu, à ceux qui croient en son nom, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu » (Jean 1.12).

 

          C’est par la foi que nous accueillons Christ. « C’est par la grâce que vous êtes sauvés, dit la Bible, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne se glorifie » (Éphésiens 2.8-9).

 

          Quand nous acceptons le Christ, nous faisons l’expérience de la nouvelle naissance. Jésus dit à Nicodème, un docteur de la loi : « En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu » (Jean 3.3).

 

          Nous recevons le Christ en l’invitant personnellement. Il dit : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe ; si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui » (Apocalypse 3.20).

 

          Toutes les expressions telles que « recevoir » ou « accueillir » Christ, signifient que l’homme doit se tourner vers le Christ. Cela exige qu’il tourne le dos à ses péchés, qu’il s’en repente sincèrement et les délaisse. Nous ne pouvons adopter une attitude si radicale par notre propre force. Au départ, nous devons pourtant désirer ardemment renoncer à notre péché et reconnaître au Christ tous les droits sur notre vie. Ensuite, dans un acte de foi, nous l’invitons à prendre possession de notre vie, et d’en assurer la nouvelle orientation. Au premier abord, une telle démarche semble difficile, mais en réalité, c’est une décision simple à prendre. Ce qui vous est demandé, c’est de dire, dans un acte de volonté : « Seigneur Jésus, je reconnais que je suis pécheur, je me repens de mes péchés et les abandonne ; je veux désormais que tu prennes la direction de ma vie ». Si vous avez formulé cette prière de tout votre cœur, Jésus-Christ l’exaucera.

 

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ET MAINTENANT ?

 

          Au fil de nos publications, nous avons soulevé les grandes questions : Dieu existe-t-il ? Parle-t-il ? Qui est-il ? Qui suis-je ? Que s’est-il passé pour que notre monde soit dans un tel état aujourd’hui ? Est-ce grave de pécher ? Y a-t-il un « après la mort » ? La religion peut-elle aider ? Y a-t-il une solution à la quête spirituelle de l’homme ? Pourquoi Jésus a-t-il été crucifié ? Comment puis-je être sauvé ?

          Vous retrouverez ces articles dans les différentes rubriques de notre site.

 

          Vous qui avez ainsi découvert et suivi le chemin de Jésus-Christ, vous avez désormais beaucoup de raisons de vous réjouir. La confiance que vous avez mise dans le Christ apporte le vrai bonheur.

          L’une des raisons de votre joie est la relation personnelle que vous pouvez maintenant établir avec Dieu. La Bible dit : « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. » (Romains 5.1) C’est par Christ que le problème de vos péchés a été résolu. En effet, « quiconque croit en lui reçoit par son nom le pardon des péchés. » (Actes 10.43) Vous faites maintenant partie de la famille de Dieu, car, « à ceux qui croient en son nom, [Christ] a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu ». (Jean 1.12). Vous êtes désormais en sécurité pour l’éternité puisqu’ « il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. » (Romains 8.1) Dieu lui-même est entré dans votre vie dans la personne du Saint-Esprit car, selon ce que dit la Bible, « L’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous. » (Romains 8.11) Quelle grandes vérités !

 

          Il vous faut donc maintenant grandir dans cette nouvelle vie spirituelle. Parmi les choses importantes auxquelles vous devrez prêter attention pour y parvenir, en voici une que nous vous recommandons expressément : fréquenter une Église locale. Maintenant que vous faites partie de la famille de Dieu, il est important que vous rencontriez régulièrement vos frères et vos sœurs dans la foi ! Aussi, nous vous suggérons de le faire le plus rapidement possible. Choisir l’Église qui convient n’est pas toujours facile, car vous désirerez sans doute en trouver une qui croit et enseigne clairement les vérités bibliques que notre site et nos publications vous ont fait découvrir. Nous pouvons vous aider. N’hésitez pas à prendre contact avec nous. Ecrivez-nous. Nous vous donnerons l’adresse d’une Église la plus proche de votre domicile. Dans votre Église locale, vous découvrirez beaucoup de choses sur Dieu. L’expérience des autres vous enrichira. Vous apprendrez, par exemple, l’importance que Dieu attache au baptême, l’une de vos prochaines étapes sur le chemin de la foi. D’ailleurs, à cet effet, nous créons dans notre site une nouvelle rubrique, intitulée: « Baptême ». Vous allez y découvrir tout l’enseignement biblique à ce sujet.

 

          Dans l’Église locale, vous aurez la joie de partager avec les autres les merveilles de l’Évangile de Jésus-Christ. Vous avez besoin de l’Église, et l’Église a besoin de vous ! Que Dieu vous bénisse dans cette nouvelle étape spirituelle !

 

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POURQUOI JÉSUS-CHRIST EST-IL MORT SUR UNE CROIX ?

 

          Le message de la Bible tout entière attire notre attention et dirige notre cœur vers la mort de Jésus.

          Au risque de vous surprendre, le centre du message des Saintes Écritures n’est pas la vie parfaite du Christ, ni son enseignement sublime, ni ses guérisons, ni ses miracles, ni ses prodiges. Certes, tous ces éléments sont importants ; mais vous devez savoir qu’avant tout, Jésus est venu dans le monde pour mourir. « C’est le sort de tout être humain », me direz-vous. Mais la mort de Jésus revêt une valeur exceptionnelle, unique. Qu’est-ce qui la rend si importante ? Elle est une substitution et une expiation. Jésus a porté les péchés de toute l’humanité. Il est le Sauveur du monde.

 

          Jésus est mort à votre place. C’est la démonstration de l’amour de Dieu. La Bible dit : « Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. » (Épître aux Romains 5.8) Au regard de la loi de Dieu, qui est sainte, juste, et bonne, tous les êtres humains sont pécheurs et coupables, perdus et sans recours. Savez-vous que chaque péché commis exige une punition ? Comment pouvez-vous alors échapper à la juste colère de Dieu ? Dans le merveilleux plan divin de délivrance et de salut, Jésus-Christ s’est porté volontaire pour prendre votre place et pour subir le juste jugement de vos péchés. C’est pour vous que le Fils de Dieu, qui n’avait pas commis le moindre péché, accepta de souffrir et de mourir. La Bible dit : « Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui » (Esaïe 53.5) ; et encore : « Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu. » (1° épître de Pierre 3.18) ; lui-même a déclaré qu’il était « venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de beaucoup. » (La Bible, Évangile de Marc 10.45)

 

          Jésus a porté vos péchés. Le prix de vos péchés a été payé en totalité, et de quelle manière ! Jésus n’est pas seulement mort physiquement, mais aussi spirituellement. Cloué sur la croix, il a crié : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (La Bible, Évangile de Matthieu 27.46) En cet instant effroyable, où Jésus portait sur lui le péché de l’humanité tout entière, Dieu le Père, trop saint pour voir le mal, s’est détourné de son Fils bien-aimé. Jésus endura alors la peine de la séparation d’avec Dieu. Remarquez à quel point la crucifixion de Jésus-Christ montre la parfaite sainteté de Dieu. Tous les péchés, chaque péché, doit être puni et, lorsque le Sauveur prit votre place, il dut répondre de vos péchés comme s’il en avait été lui-même coupable. Lui, le seul homme qui vécut une vie parfaite, souffrit la double peine qu’entraînait la culpabilité des hommes.

 

          Jésus est le Sauveur. C’est en cela que Dieu montre sa puissance au monde entier. Trois jours après sa mort, Christ est ressuscité. La Bible dit : « Dieu a déployé sa force en Christ, en le ressuscitant des morts. » (Épître aux Éphésiens 1.20) Jésus fut « déclaré Fils de Dieu avec puissance, selon l’Esprit de sainteté, par sa résurrection d’entre les morts. » (La Bible, épître aux Romains 1.4) Après qu’il eut souffert, Jésus apparut vivant à ses disciples, et il leur en donna plusieurs preuves.

          En ressuscitant Christ, Dieu a démontré avec puissance qu’il acceptait la mort de son Fils à la place des pécheurs. Ainsi, elle représente le paiement parfait et total de la dette du péché et le fondement sur lequel Dieu accorde un pardon total et gratuit à ceux qui, autrement, seraient condamnés à passer l’éternité en enfer.

 

          Vous sentez-vous personnellement concerné par ce plan d’amour, de délivrance et de salut ? Ne sentez-vous la nécessité et l’urgence de vous réconcilier avec Dieu ? Ne voulez-vous pas que Jésus devienne le Sauveur et le Seigneur de votre vie ?

 

          Dans notre prochaine page d’accueil, nous vous indiquerons comment faire la démarche vers Dieu. D’ici là, n’hésitez pas à prendre contact avec nous. Dans la mesure du possible, nous répondrons à vos questions et nous vous montrerons comment entreprendre une vie nouvelle avec Jésus. Bâtissez votre vie, et bâtissez-la sur lui !

 

Paul BALLIERE

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Voir l'article : "L'IMPORTANCE DE LA MORT DE JÉSUS-CHRIST"

 


 

EST-CE GRAVE DOCTEUR ?

 

          C'est la première question qui nous préoccupe lorsque, malades, nous avons consulté un médecin et que le diagnostic tombe. Quoi qu'il en soit, le traitement médical est alors approprié à la gravité du mal.

          Une démarche identique s'impose face au péché. Ce fléau spirituel est d'une gravité extrême et ses conséquences éternelles sont redoutables.

          Ce qui n'empêche pas certains de reconnaître, non sans légèreté, et presque allègrement, qu'ils sont pécheurs; mais ils ne changent rien à leur style de vie. D'autres se tranquillisent, se repliant derrière une bien fragile excuse: « tout le monde le fait! »

          D'autres encore, des provocateurs, se font un jeu du péché, ou pire encore, se vantent de leurs souillures.

          Cependant, la question subsiste: « Est-ce grave de pécher ? »

 

Y a-t-il des « bons » et des « mauvais » pécheurs ?

 

          Nous sommes pécheurs. La Bible dit: « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu » (Épître aux Romains 3.23). Ce n'est pas à dire que nous soyons mauvais à l'extrême, ou que nous passons notre temps à commettre des fautes. Cela ne signifie pas non plus que nous soyons dépourvus du moindre bon sens, incapables de distinguer le bien du mal, ni d'accomplir de bonnes œuvres, utiles et louables. Mais cela veut dire que le péché a envahi tous les compartiments de notre personnalité: notre esprit, nos pensées, nos sentiments, notre volonté, notre caractère, nos réactions, notre imagination. La Bible dit: « Le cœur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant: qui peut le connaître ? » (Jérémie 17.9) La racine de notre mal ne provient pas de ce que nous faisons, mais de ce que nous sommes. Nous ne sommes pas pécheurs parce que nous péchons. Nous péchons parce que nous sommes pécheurs.

 

Un « cancer spirituel » généralisé

 

          Nous sommes souillés. Jésus, le grand médecin des âmes, n'a usé d'aucun ménagement lorsqu'il a établi son diagnostic: « C'est du dedans, c'est du cœur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres, les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie. Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme.» (La Bible, Évangile de Marc 7.21-23) L'analyse est complète. Tout y est: nos pensées, nos paroles, nos actes, nos motivations.

          Jésus nous montre ici l'extrême gravité du péché aux yeux de Dieu, quels que soient le caractère et la forme de la faute. Certains limitent la notion de péché aux plus graves méfaits, comme le vol, le meurtre, et autres barbaries, mais la Bible révèle clairement qu'aux yeux du Dieu saint et juste, nous n'avons aucun droit de commettre le péché, quel qu'il soit. Soyons bien conscients que le péché est tout ce qui n'est pas en accord avec la pureté absolue de Dieu.

          Sommes-nous prêts, maintenant, à affronter cette troublante question: « Qui dira: J'ai purifié mon cœur, je suis net de mon péché ? » (La Bible, Proverbes 20.9) Pouvez-vous le dire ? Non ? Dieu a donc raison. Comme toujours.

 

Une rébellion

 

          La Bible dit: « Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. » (1° épître de Jean 3.4) Il est question, ici, de la loi de Dieu. Tout péché est une rébellion consciente (rarement inconsciente) contre l'autorité et les commandements de Dieu. Aucun décret de notre loi civique ne nous oblige à mentir, à tromper, à nourrir des pensées impures ou à commettre toutes sortes de mauvaises actions. Nous choisissons de pécher. Nous choisissons de désobéir à la sainte loi divine. Nous l'enfreignons délibérément, et c'est grave parce que « Dieu est un juste juge. » (Psaumes 7.12) Ne pensons surtout pas qu'il sera « tendre », ou « faible » en face du péché. Ne créons pas Dieu à notre image ! Le péché ne restera pas impuni. Nous en voyons déjà les conséquences sur notre planète qui se déchire de toutes parts. Que sera alors le châtiment final et éternel, après la mort, de ceux qui auront pris à la légère le message de Dieu ? La Bible dit: « Chacun de nous rendra compte pour lui-même » (Épître aux Romains 14.12); et encore: « Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. » (Hébreux 9.27)

 

          Comment faire pour changer de vie ? Comment être transformé ? Nous répondrons prochainement, sur notre site, à ces grandes questions. En attendant, nous vous encourageons à consulter nos différents articles qui seront, nous l'espérons du moins, d'une grande utilité spirituelle pour votre vie.

 

Voir l'article : QUELLE EST LA SITUATION ACTUELLE DE L'HOMME DEVANT DIEU ? 

 


 

DIEU EXISTE-T-IL ?

 

          Voilà une question fondamentale. Si Dieu n’existe pas, pourquoi le chercher ? La Bible dit : « Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe » (Épître aux Hébreux 11.6). Savez-vous qu’il existe des signes convaincants de son existence. Prenez l’univers, par exemple. Dire qu’il résulte d’un « accident cosmique » soulève beaucoup de questions, sans en résoudre aucune. Il en est de même de la théorie du « big-bang ». D’où venaient les matériaux d’origine ? Même une telle explosion ne peut produire quelque chose à partir de rien. La théorie de l’évolution, tellement répandue, n’est pas plus crédible. En effet, comment l’extraordinaire complexité des formes de vie a-t-elle pu évoluer du néant ?

 

          Toutes les autres théories concernant l’origine de l’univers sont tout aussi fragiles. La seule explication satisfaisante est celle que donne la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Genèse 1.1). Notre monde ne provient pas d’un coup de chance qui aurait assemblé des éléments déjà existants. Reconnaissons plutôt que « le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles » (La Bible, Épître aux Hébreux 11.3). C’est Dieu qui est à l’origine de la création. « Car il dit, et la chose arrive ; il ordonne, et elle existe » (La Bible, Psaume 33.9).

 

          Le plan et l’ordre étonnants observés dans cette création, ainsi que les lois universelles qui la régissent depuis l’immensité de l’espace cosmique, jusqu’aux organismes microscopiques confirment le double rôle de Dieu : il a élaboré le projet tel un architecte et il a établi les lois tel un législateur. « Le Dieu qui a fait le monde et tout ce qui s’y trouve, [est] le Seigneur du ciel et de la terre » (La Bible, Actes des Apôtres 17.24).

 

          Mais la preuve la plus frappante de la création est l’homme lui-même. Contrairement aux animaux il a une personnalité. Il fait des choses intelligentes, il possède une conscience et il est capable de distinguer le bien du mal. Il peut aimer et éprouver de la compassion. Par-dessus tout, il a l’instinct du culte. D’où tient-il toutes ces qualités ? Elles ne viennent ni de l’évolution, ni d’une chaîne d’accidents ! La Bible nous en donne la réponse la plus claire : « L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie, et l’homme devint un être vivant » (La Bible, Genèse 2.7). L’existence de l’homme n’est pas accidentelle. C’est le Créateur de l’univers qui a voulu qu’il soit « une créature si merveilleuse » (La Bible, Psaume 139.14)

 

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